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Catherine Jeandel
Même si le groupe de travail officiel a refusé la proposition de créer une nouvelle époque géologique nommée anthropocène, le débat n’est pas clos pour autant.
Le couple océan-climat, stabilisé depuis 8000 ans, est remis en question par les activités humaines. Pour Catherine Jeandel, océanologue géochimiste au laboratoire d’études en géophysique et océanographiques spatiales (Legos) et directrice de recherche au CNRS, il est urgent de réduire les émissions de carbone pour maintenir l’équilibre entre l’océan et l’atmosphère.
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Les Mardis de l'Espace des sciences avec Catherine Jeandel, océanographe et géochimiste, Directrice de recherche CNRS au Laboratoire d'études en Géophysique et Océanographie Spatiales (LEGOS) à Toulouse. La Cop 21 s’est déroulée en décembre dernier. La spécialiste des océans Catherine Jeandel, fera un état des lieux après ce grand rassemblement. À quels impacts peut-on s'attendre pour un réchauffement climatique de 4 à 6°C ? Aujourd’hui en 2016, quelles solutions peut-on proposer dans les grands secteurs d'activité comme les transports, l’industrie, l’habitat, l’agriculture ou l’alimentation, de l'échelle individuelle à l'échelle collective ?
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Catherine Jeandel
Même si le groupe de travail officiel a refusé la proposition de créer une nouvelle époque géologique nommée anthropocène, le débat n’est pas clos pour autant.
Le couple océan-climat, stabilisé depuis 8000 ans, est remis en question par les activités humaines. Pour Catherine Jeandel, océanologue géochimiste au laboratoire d’études en géophysique et océanographiques spatiales (Legos) et directrice de recherche au CNRS, il est urgent de réduire les émissions de carbone pour maintenir l’équilibre entre l’océan et l’atmosphère.
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Les Mardis de l'Espace des sciences avec Catherine Jeandel, océanographe et géochimiste, Directrice de recherche CNRS au Laboratoire d'études en Géophysique et Océanographie Spatiales (LEGOS) à Toulouse. La Cop 21 s’est déroulée en décembre dernier. La spécialiste des océans Catherine Jeandel, fera un état des lieux après ce grand rassemblement. À quels impacts peut-on s'attendre pour un réchauffement climatique de 4 à 6°C ? Aujourd’hui en 2016, quelles solutions peut-on proposer dans les grands secteurs d'activité comme les transports, l’industrie, l’habitat, l’agriculture ou l’alimentation, de l'échelle individuelle à l'échelle collective ?