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Des expérimentations d’introduction à Paris de telles essences exotiques pourraient ainsi permettre d’évaluer leurs potentialités d’acclimatation dans nos villes et les services écologiques qu’elles seraient susceptibles d’y assurer, en particulier dans le contexte du changement climatique actuel. Cette diversification des essences dans les villes apparaît d’autant plus cruciale que plus de 70 % des espèces actuelles de nos villes, dont toutes les essences indigènes en Île-de-France, seront en situation de risque par rapport au changement climatique d’ici à 2050 à Paris et dans les autres grandes villes françaises.
Les températures actuelles interrogent sur la façon dont on construit nos villes. Le consultant et ingénieur en énergie Marc Muller appelle à un changement de paradigme.
Les conclusions des Assises nationales de la forêt et du bois, lancées par le gouvernement en octobre 2021 avec pour objectif de « penser la forêt française de demain », devraient être rendues dans les prochains jours. Un des axes majeurs de cette réflexion concernait le renforcement de la résilience des forêts et la préservation de la biodiversité.
Notre civilisation thermo-industrielle dépend tellement des énergies et en particulier du pétrole que ça en fait peur. L'effondrement inéluctable qui devrait suivre est intimement lié à cette dépendance dont les pics pétroliers (conventionnels atteints et de roche mère en cours) en sont le premier symptôme.
Marc Müller, Jean-Marc Jancovici nous montrent comment les limites physiques qui viennent nous amènent tout droit vers une vie et une économie sous contrainte auxquelles on va devoir vite se préparer et s'adapter, n'en déplaise aux chantres de la croissance (verte...). Cela sous fond de critiques à peine caricaturale de la folie SUV qui gagne le monde par Thomas VDB
Atteindre le zéro carbone en 2050 est un virage de société qui ressemble à une épingle à cheveux au milieu d'une autoroute triple pistes à l'heure de pointe ! En reprenant simplement les grands chiffres de notre consommation d'énergie et les grands enjeux climatiques de notre époque, on prend conscience de la profondeur de l'ornière dans laquelle nous nous sommes enfoncés. Face à cela, a technologie seule ne va de loin pas nous sauver. Pour la simple et bonne raison que nous n'avons pas les potentiels énergétiques renouvelables pour maintenir nos modes de vie tels qu'ils sont.
Dans nombre de métropoles mondiales, à l’image de Paris ou de Montréal – qui s’est engagée dans un ambitieux programme de plantation de 500 000 arbres au cours de la décennie 2021-30 –, les forêts urbaines tentent de pousser… plus ou moins facilement !
Les éco-carburants, les carburants de synthèses, l'hydrogène et l'avion propre ne sont que du greenwashing sans aucun fondement physique. A force de répéter que ces solutions vont arriver, on pourrait presque croire que c'est vrai. Pourtant ça ne l'est pas.
L’ensemble des propositions réparties en 24 thèmes clefs La stratégie de financement. Le dossier pour les élu·e·s de France