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Un premier bateau chargé de vivres pour la population affamée par plus de cinq mois de guerre est arrivé vendredi au large de la bande de Gaza, au moment où les Palestiniens se rassemblaient sous tension pour la première grande prière depuis le début du ramadan.
Le premier ministre Abiy Ahmed nie la grave crise alimentaire qui touche le nord du pays. Les autorités d’Addis-Abeba sont accusées d’abandonner les Tigréens à leur sort afin de parachever la mise à genoux de la province.
Plus d’un an après la fin de la guerre civile, près d’un millier de personnes sont mortes de faim dans la région, où 2 millions d’habitants souffrent de malnutrition aiguë. Une situation qui risque de s’étendre à l’Amhara voisine.
After hottest day ever, researchers say global heating may mean future of crop failures on land and ‘silent dying’ in the oceans
L'insécurité alimentaire aiguë risque d’augmenter en ampleur et en gravité dans 18 « points chauds » de la faim dans le monde, comprenant un total de 22 pays, selon un nouveau rapport des Nations Unies publié lundi. Le rapport, publié par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), souligne le risque d'un débordement de la crise soudanaise, augmentant le risque d'impacts négatifs dans les pays voisins, et avertit que le phénomène météorologique El Niño fait craindre des extrêmes climatiques dans les pays vulnérables du monde entier.
Changement climatique, insécurité, inflation, pénuries alimentaires : les pays de la région font face à des « défis multidimensionnels », analyse les Nations unies.
Le Malawi, pris dans les affres d’une insécurité alimentaire grandissante, a obtenu un financement d’urgence du Fonds monétaire international, d’un montant de 88,3millions de dollars. Il est le premier pays à bénéficier d’un mécanisme prévu pour faire face aux chocs mondiaux dus à la guerre en Ukraine.
a Corne de l’Afrique et de nombreuses régions d’Afrique de l’Est sont au cœur d’une sécheresse dévastatrice. Pour la cinquième année consécutive, l’absence de pluie a été enregistrée. Les analystes s’attendent à ce que la sixième – qui débutera en mars prochain – soit également une saison «sans pluie». Alors que les champs sont en jachère et que des millions de têtes de bétail meurent de soif, les pays de la région connaissent une situation d’insécurité alimentaire et humanitaire sans précédent. Selon le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies, quelque 22 millions de personnes en Ethiopie, en Somalie et au Kenya risquent de mourir de faim.
En amont de la COP27 de Charm-el-Cheikh sur le climat, qui se tiendra en Égypte du 6 au 18 novembre prochains, un sommet de préparation se tient en ce moment à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo. Le pays, qui détient une grande partie de la deuxième forêt tropicale au monde, a bousculé la communauté internationale en refusant désormais de choisir entre lutte contre la pauvreté et lutte contre le changement climatique. Un moyen de pointer le manque de financements des pays riches, qui donne le ton des négociations à venir.
Ce chiffre provient d'un rapport publié mercredi par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), en parallèle de l'Assemblée générale de l'ONU à New York.
Des chercheurs de l’université de Rutgers aux États-Unis ont évalué l’impact de l’utilisation des armes atomiques sur le climat et la production alimentaire. Il en ressort que même un conflit atomique limité à l’Inde et au Pakistan entrainerait une réduction de 7 % des rendements agricoles mondiaux dans les 5 années suivant les explosions et pourrait déboucher sur une famine qui provoquerait la mort de 2 milliards de personnes.
L’accord signé en juillet entre Kyiv et Moscou a permis à plusieurs cargos de quitter les ports de la mer Noire. Mais le rythme est trop faible pour vider les silos ukrainiens et les denrées ne vont pas vers les pays les plus menacés par les pénuries, qui seront au menu des discussions entre l’ONU, la Turquie et l’Ukraine.
Premièrement, nos systèmes alimentaires sont toujours très dépendants des énergies fossiles. Notre agriculture intensive est très gourmande en engrais azotés (NdlR : produits à partir de gaz naturel) et en pesticides. L'agriculture utilise également des machines très énergivores.
La crise alimentaire mondiale déclenchée par la guerre en Ukraine va faire des millions de victimes en rendant de larges populations plus vulnérables aux maladies infectieuses, au risque de déclencher une nouvelle crise sanitaire, a averti le responsable du Fonds mondial, organisation qui lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose.
L’inflation touche de plein fouet le continent africain, où même les classes moyennes voient leur pouvoir d’achat se réduire dangereusement. Au Kenya et en Afrique du Sud, cette situation économique, analyse “The Mail & Guardian”, pourrait mener à des tensions sociales et des heurts qui pèseront à terme sur la stabilité de l’État.
La crise alimentaire mondiale se profile. Depuis la crise sanitaire, les français redécouvrent les pénuries de matières premières mais depuis quelques mois, ce sont les denrées alimentaires qui sont touchées.
Alors qu’avant le début de la guerre en Ukraine il y avait 150 millions de personnes en situation d’insécurité alimentaire aiguë, elles sont aujourd’hui 280 millions, explique Olivier De Schutter, rapporteur spécial de l’ONU sur l’extrême pauvreté, interrogé sur La Première. A cela s’ajoutent, dans une série de pays, "des conflits, des ruptures climatiques, une dette qui les empêche d’acheter des produits alimentaires à des prix exorbitants qui résultent de l’affolement des marchés. Dans ces pays (comme l’Ethiopie, le Sud-Soudan, le Nigéria, le Yémen, l’Afghanistan, la Somalie), le risque de famine se précise d’heure en heure. Malheureusement la communauté internationale n’a pas les moyens de réagir et il y a tout lieu de s’inquiéter pour la vingtaine de pays que la FAO (l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) et le Programme alimentaire (PAM) ont identifiés".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky alerte sur les risques de pénuries alimentaires provoqués par le blocage des ports ukrainiens. Selon lui, ce dernier pourrait avoir des conséquences gravissimes et provoquer une “terrible crise alimentaire”.
Les spécialistes estiment que le pays de Jair Bolsonaro a régressé de trente ans sur cette question. En 1998, comme aujourd’hui, près de 32 millions de Brésiliens souffraient de la faim.
L’ONU craint « un ouragan de famines » en Afrique, où de nombreux pays sont dépendants du blé importé d’Ukraine ou de Russie.
Les conflits armés ont aggravé les effets délétères du réchauffement climatique dans la région, et plongé des populations entières, dont des millions de déplacés, en situation d’urgence alimentaire. Leur extrême vulnérabilité est aujourd’hui accentuée par la pandémie de Covid-19 et les conséquences économiques de la guerre en Ukraine.
Food supply expert paints grim global picture hunger 05.23.2022 By Arvin Donley NEW YORK, NEW YORK, US — Global wheat inventories currently stand at about 10 weeks of global consumption, a food supply expert said during a special meeting of the United Nations Security Council on May 19. Sara Menker, chief executive officer of Gro Intelligence, an organization that gathers and analyzes global food and agricultural data, said she disputes official government agency estimates that put global wheat inventories at 33% of annual consumption, countering inventories are closer to 20%. “It is important to note that the lowest grain inventory levels the world has ever seen are now occurring while access to fertilizers is highly constrained, and drought in wheat growing regions around the world is the most extreme it’s been in over 20 years,” Menker said. “Similar inventory concerns also apply to corn and other grains. Government estimates are not adding up.” Menker told the security council that while much of the blame
Au moins 20 millions de personnes font face à un risque de famine cette année en raison de la sécheresse qui s'aggrave au Kenya, en Somalie et en Ethiopie, s'est alarmé mardi le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies. De longs mois de sécheresse dans la Corne de l'Afrique ont ravagé les cultures et le bétail et forcé de nombreuses personnes à quitter leur foyer en quête d'eau et de nourriture.
Selon l’organisation des Nations unies pour l’alimentation, le panier moyen avait augmenté en mars de 12,6 % après le déclenchement de la guerre en Ukraine, et la hausse dépassait les 33 % sur un an. Pour les pays les plus pauvres, c’est la famine qui menace.
Farine de maïs, riz, sucre, huile, tomates, bière... tout augmente. Les ménages congolais, dont les trois quarts vivent sous le seuil de pauvreté, s'inquiètent des conséquences économiques de la guerre menée par la Russie en Ukraine.
Toujours disponible en Europe, l’ingrédient de base du pain et des pâtes subit une explosion de ses tarifs mondiaux à cause du conflit russo-ukrainien et de la reprise économique post-covid. Gare à la flambée des produits finis !
À cause d’une crise économique gravissime et de mauvaises récoltes dues à la sécheresse, les Afghans sont proches de la famine. Depuis l’arrivée des talibans au pouvoir, la population s’enfonce dans la pauvreté.
Les maigres moissons de septembre terminées, le Niger, État aride qui fait déjà face depuis des années à des attaques djihadistes meurtrières, s'apprête à affronter un autre fléau : une grave crise alimentaire.
Dans le sud de l’île, où plus de neuf personnes sur dix vit sous le seuil de pauvreté, une sécheresse historique, aggravée par la crise climatique mondiale, fait des ravages. Amnesty International tire la sonnette d’alarme.
Alors que l'Agence des Nations unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) doit publier, lundi 12 juillet, un rapport sur l'état de la sécurité alimentaire dans le monde, l'ONG Oxfam révèle dans un rapport rendu public vendredi que le nombre de personnes en situation de famine a été multiplié par six depuis le début de la pandémie.


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alimentation famine

mars 2024

Un premier bateau chargé de vivres pour la population affamée par plus de cinq mois de guerre est arrivé vendredi au large de la bande de Gaza, au moment où les Palestiniens se rassemblaient sous tension pour la première grande prière depuis le début du ramadan.
Le premier ministre Abiy Ahmed nie la grave crise alimentaire qui touche le nord du pays. Les autorités d’Addis-Abeba sont accusées d’abandonner les Tigréens à leur sort afin de parachever la mise à genoux de la province.

janvier 2024

Plus d’un an après la fin de la guerre civile, près d’un millier de personnes sont mortes de faim dans la région, où 2 millions d’habitants souffrent de malnutrition aiguë. Une situation qui risque de s’étendre à l’Amhara voisine.

juillet 2023

After hottest day ever, researchers say global heating may mean future of crop failures on land and ‘silent dying’ in the oceans

mai 2023

L'insécurité alimentaire aiguë risque d’augmenter en ampleur et en gravité dans 18 « points chauds » de la faim dans le monde, comprenant un total de 22 pays, selon un nouveau rapport des Nations Unies publié lundi. Le rapport, publié par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), souligne le risque d'un débordement de la crise soudanaise, augmentant le risque d'impacts négatifs dans les pays voisins, et avertit que le phénomène météorologique El Niño fait craindre des extrêmes climatiques dans les pays vulnérables du monde entier.

janvier 2023

Changement climatique, insécurité, inflation, pénuries alimentaires : les pays de la région font face à des « défis multidimensionnels », analyse les Nations unies.

novembre 2022

Le Malawi, pris dans les affres d’une insécurité alimentaire grandissante, a obtenu un financement d’urgence du Fonds monétaire international, d’un montant de 88,3millions de dollars. Il est le premier pays à bénéficier d’un mécanisme prévu pour faire face aux chocs mondiaux dus à la guerre en Ukraine.

octobre 2022

a Corne de l’Afrique et de nombreuses régions d’Afrique de l’Est sont au cœur d’une sécheresse dévastatrice. Pour la cinquième année consécutive, l’absence de pluie a été enregistrée. Les analystes s’attendent à ce que la sixième – qui débutera en mars prochain – soit également une saison «sans pluie». Alors que les champs sont en jachère et que des millions de têtes de bétail meurent de soif, les pays de la région connaissent une situation d’insécurité alimentaire et humanitaire sans précédent. Selon le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies, quelque 22 millions de personnes en Ethiopie, en Somalie et au Kenya risquent de mourir de faim.
En amont de la COP27 de Charm-el-Cheikh sur le climat, qui se tiendra en Égypte du 6 au 18 novembre prochains, un sommet de préparation se tient en ce moment à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo. Le pays, qui détient une grande partie de la deuxième forêt tropicale au monde, a bousculé la communauté internationale en refusant désormais de choisir entre lutte contre la pauvreté et lutte contre le changement climatique. Un moyen de pointer le manque de financements des pays riches, qui donne le ton des négociations à venir.

septembre 2022

Ce chiffre provient d'un rapport publié mercredi par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), en parallèle de l'Assemblée générale de l'ONU à New York.

août 2022

L’accord signé en juillet entre Kyiv et Moscou a permis à plusieurs cargos de quitter les ports de la mer Noire. Mais le rythme est trop faible pour vider les silos ukrainiens et les denrées ne vont pas vers les pays les plus menacés par les pénuries, qui seront au menu des discussions entre l’ONU, la Turquie et l’Ukraine.
Des chercheurs de l’université de Rutgers aux États-Unis ont évalué l’impact de l’utilisation des armes atomiques sur le climat et la production alimentaire. Il en ressort que même un conflit atomique limité à l’Inde et au Pakistan entrainerait une réduction de 7 % des rendements agricoles mondiaux dans les 5 années suivant les explosions et pourrait déboucher sur une famine qui provoquerait la mort de 2 milliards de personnes.

juillet 2022

Premièrement, nos systèmes alimentaires sont toujours très dépendants des énergies fossiles. Notre agriculture intensive est très gourmande en engrais azotés (NdlR : produits à partir de gaz naturel) et en pesticides. L'agriculture utilise également des machines très énergivores.

juin 2022

La crise alimentaire mondiale déclenchée par la guerre en Ukraine va faire des millions de victimes en rendant de larges populations plus vulnérables aux maladies infectieuses, au risque de déclencher une nouvelle crise sanitaire, a averti le responsable du Fonds mondial, organisation qui lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose.
L’inflation touche de plein fouet le continent africain, où même les classes moyennes voient leur pouvoir d’achat se réduire dangereusement. Au Kenya et en Afrique du Sud, cette situation économique, analyse “The Mail & Guardian”, pourrait mener à des tensions sociales et des heurts qui pèseront à terme sur la stabilité de l’État.