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Nous sommes à J+68 de glue fasciste aux Etats-Unis, à 427 ppm de CO₂ dans l’atmosphère et aujourd’hui – haut les cœurs – on se demande si nous assisterons bientôt à une « guerre des nuages ». Eh oui, cette perspective n’a rien de science-fictionnelle… Des pays investissent déjà dans leur capacité à contrôler les conditions météorologiques et, dans certaines zones tendues (Israël-Iran, Chine-Inde), des gouvernements s’accusent mutuellement de vol d’eau atmosphérique.
Malgré différentes théories avancées, l’orage dévastateur à Dubaï n’a pas été causé par des techniques d’ensemencement des nuages. Une conjonction rare de phénomènes météorologiques a engendré des précipitations record. Preuve de plus du réchauffement climatique.
Alors que les budgets consacrés à cette technique pour provoquer la pluie, pratiquée depuis 2020, ne sont pas rendus publics, les chercheurs demandent une évaluation scientifique du rapport coûts-bénéfices.
Depuis plusieurs années, la Chine travaille sur un programme expérimental de géo-ingénierie intégrant l’ensemencement de nuages. Ce même programme a fait l’objet d’un récent élargissement. L’objectif ? Pouvoir ajuster la météo sur 56 % de son territoire, du jamais vu dans de telles proportions.
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Nous sommes à J+68 de glue fasciste aux Etats-Unis, à 427 ppm de CO₂ dans l’atmosphère et aujourd’hui – haut les cœurs – on se demande si nous assisterons bientôt à une « guerre des nuages ». Eh oui, cette perspective n’a rien de science-fictionnelle… Des pays investissent déjà dans leur capacité à contrôler les conditions météorologiques et, dans certaines zones tendues (Israël-Iran, Chine-Inde), des gouvernements s’accusent mutuellement de vol d’eau atmosphérique.
Malgré différentes théories avancées, l’orage dévastateur à Dubaï n’a pas été causé par des techniques d’ensemencement des nuages. Une conjonction rare de phénomènes météorologiques a engendré des précipitations record. Preuve de plus du réchauffement climatique.
Alors que les budgets consacrés à cette technique pour provoquer la pluie, pratiquée depuis 2020, ne sont pas rendus publics, les chercheurs demandent une évaluation scientifique du rapport coûts-bénéfices.
Depuis plusieurs années, la Chine travaille sur un programme expérimental de géo-ingénierie intégrant l’ensemencement de nuages. Ce même programme a fait l’objet d’un récent élargissement. L’objectif ? Pouvoir ajuster la météo sur 56 % de son territoire, du jamais vu dans de telles proportions.