Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:

filtre:
virus H5N1
L’idée, reprise par la secrétaire d’Etat à l’agriculture, Brooke Rollins, inquiète scientifiques et vétérinaires. Cela donnerait l’occasion au virus de muter pour devenir plus dangereux. Pour mieux combattre le virus, faut-il le laisser circuler ? Face à la diffusion à très grande échelle du virus influenza aviaire H5N1 – on parle de grippe aviaire quand il touche l’humain – dans les élevages de volailles aux Etats-Unis, le ministre de la santé américain, Robert F. Kennedy Jr, propose une stratégie provoquant l’inquiétude des scientifiques et des vétérinaires. Au lieu d’abattre les bêtes dans les élevages contaminés, les agriculteurs « devraient peut-être envisager la possibilité de laisser circuler [le virus] dans les troupeaux afin qu[’ils] puiss[ent] identifier les oiseaux et préserver ceux qui y sont immunisés », a proposé cet antivax notoire à plusieurs reprises depuis début mars, notamment sur la chaîne conservatrice Fox News.
La pénurie a provoqué une flambée des prix en magasin et le pays va importer des milliers de tonnes d’œufs de Turquie. En trois ans, la propagation du virus H5N1 a contraint les exploitations américaines à éliminer 158 millions de dindes, de poulets et, surtout, de poules pondeuses.
Un homme de 65 ans est mort début janvier après avoir contracté la souche H5N1 de la grippe aviaire en Louisiane. Les autorités sanitaires notent toutefois que la victime souffrait déjà d’autres maladies.
Le premier cas humain grave de grippe aviaire aux Etats-Unis est porteur d'un virus qui aurait muté à l'intérieur de son organisme pour s'adapter aux voies respiratoires humaines, ont annoncé jeudi les autorités sanitaires américaines.
La Californie a déclaré l'état d'urgence dans la crise de la grippe aviaire. Dans le même temps, un premier cas grave de contamination humaine au virus H5N1 a été détecté en Louisiane. L'analyse de l'épidémiologiste Marius Gilbert et du virologue Steven Van Gucht.
Un adolescent au Canada et un enfant en Californie sont tombés malades sans que l’on sache comment, après une première personne dans le Missouri. Les épidémiologistes redoutent une circulation à bas bruit du virus qui est à l’origine d’une épizootie parmi les vaches laitières aux Etats-Unis.
De nouvelles recherches montrent que le virus de la grippe aviaire H5N1 est en train d'évoluer de manière inquiétante.
Un homme du Missouri, contaminé par le virus H5N1, est devenu le premier patient pour lequel il n’a pour l’instant pas été possible de comprendre la voie de transmission. De quoi réveiller le spectre d’une contagion de la grippe aviaire entre les humains. Mais les experts interrogés par France 24 estiment qu’il est encore tôt pour s'inquiéter d'une pandémie.
De nouvelles recherches sur les mammifères marins suggèrent que le virus s’adapte de plus en plus aux hôtes mammifères.
Des traces du virus H5N1 ont été détectées dans du lait de vache pasteurisé sur le sol américain, ont déclaré mardi les autorités sanitaires du pays. Les échantillons ne présentaient vraisemblablement aucun risque pour la santé humaine.
Ces dernières semaines, un foyer de grippe aviaire A (H5N1) hautement pathogène s'est propagé dans les élevages de vaches laitières américains.
Après la découverte de fortes concentrations de virus H5N1 dans le lait de vaches contaminées par la grippe aviaire aux Etats-Unis, l'OMS a recommandé vendredi d'appliquer des mesures de sécurité alimentaire de bon sens comme l'usage de lait pasteurisé.
Après la découverte de fortes concentrations de virus H5N1 dans le lait de vaches contaminées par la grippe aviaire aux Etats-Unis, l’Organisation mondiale de la santé insiste sur la nécessité de consommer «seulement du lait pasteurisé».
En circulation depuis près de 30 ans, cette grippe aviaire s’est transmise à quelques rares occasions à l’homme chez qui elle peut être virulente. Mais la transmission récente, aux USA du virus à un bovin et puis de celui-ci à un fermier fait craindre une propagation potentiellement plus importante.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a fait part de sa préoccupation face à la propagation croissante de la souche H5N1 de la grippe aviaire à de nouvelles espèces, y compris les humains. Pour l’infectiologue Yves Van Laethem, il est urgent de relancer les systèmes de surveillance et de détection des infections.
La grippe aviaire décime des espèces déjà menacées par le changement climatique et la perte d’habitat.
Le virus H5N1 est responsable de la mort d’un ours polaire en Alaska. Loin d’être une maladie ne touchant que la volaille, la grippe aviaire affecte désormais un grand nombre d’espèces de mammifères.
Une fille de 11 ans est morte, le mercredi 22 février, après avoir contracté la grippe aviaire dans la province de Prey Veng. Il s’agit du premier décès lié au virus H5N1 recensé dans le pays depuis 2014.


Langue(3/3)
Médias(8/8)
filtre:
virus H5N1

mars 2025

L’idée, reprise par la secrétaire d’Etat à l’agriculture, Brooke Rollins, inquiète scientifiques et vétérinaires. Cela donnerait l’occasion au virus de muter pour devenir plus dangereux. Pour mieux combattre le virus, faut-il le laisser circuler ? Face à la diffusion à très grande échelle du virus influenza aviaire H5N1 – on parle de grippe aviaire quand il touche l’humain – dans les élevages de volailles aux Etats-Unis, le ministre de la santé américain, Robert F. Kennedy Jr, propose une stratégie provoquant l’inquiétude des scientifiques et des vétérinaires. Au lieu d’abattre les bêtes dans les élevages contaminés, les agriculteurs « devraient peut-être envisager la possibilité de laisser circuler [le virus] dans les troupeaux afin qu[’ils] puiss[ent] identifier les oiseaux et préserver ceux qui y sont immunisés », a proposé cet antivax notoire à plusieurs reprises depuis début mars, notamment sur la chaîne conservatrice Fox News.

mars 2025

La pénurie a provoqué une flambée des prix en magasin et le pays va importer des milliers de tonnes d’œufs de Turquie. En trois ans, la propagation du virus H5N1 a contraint les exploitations américaines à éliminer 158 millions de dindes, de poulets et, surtout, de poules pondeuses.

janvier 2025

Un homme de 65 ans est mort début janvier après avoir contracté la souche H5N1 de la grippe aviaire en Louisiane. Les autorités sanitaires notent toutefois que la victime souffrait déjà d’autres maladies.

décembre 2024

Le premier cas humain grave de grippe aviaire aux Etats-Unis est porteur d'un virus qui aurait muté à l'intérieur de son organisme pour s'adapter aux voies respiratoires humaines, ont annoncé jeudi les autorités sanitaires américaines.
La Californie a déclaré l'état d'urgence dans la crise de la grippe aviaire. Dans le même temps, un premier cas grave de contamination humaine au virus H5N1 a été détecté en Louisiane. L'analyse de l'épidémiologiste Marius Gilbert et du virologue Steven Van Gucht.
Un adolescent au Canada et un enfant en Californie sont tombés malades sans que l’on sache comment, après une première personne dans le Missouri. Les épidémiologistes redoutent une circulation à bas bruit du virus qui est à l’origine d’une épizootie parmi les vaches laitières aux Etats-Unis.

novembre 2024

De nouvelles recherches montrent que le virus de la grippe aviaire H5N1 est en train d'évoluer de manière inquiétante.

septembre 2024

Un homme du Missouri, contaminé par le virus H5N1, est devenu le premier patient pour lequel il n’a pour l’instant pas été possible de comprendre la voie de transmission. De quoi réveiller le spectre d’une contagion de la grippe aviaire entre les humains. Mais les experts interrogés par France 24 estiment qu’il est encore tôt pour s'inquiéter d'une pandémie.

juin 2024

De nouvelles recherches sur les mammifères marins suggèrent que le virus s’adapte de plus en plus aux hôtes mammifères.

avril 2024

Des traces du virus H5N1 ont été détectées dans du lait de vache pasteurisé sur le sol américain, ont déclaré mardi les autorités sanitaires du pays. Les échantillons ne présentaient vraisemblablement aucun risque pour la santé humaine.
Ces dernières semaines, un foyer de grippe aviaire A (H5N1) hautement pathogène s'est propagé dans les élevages de vaches laitières américains.
Après la découverte de fortes concentrations de virus H5N1 dans le lait de vaches contaminées par la grippe aviaire aux Etats-Unis, l'OMS a recommandé vendredi d'appliquer des mesures de sécurité alimentaire de bon sens comme l'usage de lait pasteurisé.
Après la découverte de fortes concentrations de virus H5N1 dans le lait de vaches contaminées par la grippe aviaire aux Etats-Unis, l’Organisation mondiale de la santé insiste sur la nécessité de consommer «seulement du lait pasteurisé».
En circulation depuis près de 30 ans, cette grippe aviaire s’est transmise à quelques rares occasions à l’homme chez qui elle peut être virulente. Mais la transmission récente, aux USA du virus à un bovin et puis de celui-ci à un fermier fait craindre une propagation potentiellement plus importante.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a fait part de sa préoccupation face à la propagation croissante de la souche H5N1 de la grippe aviaire à de nouvelles espèces, y compris les humains. Pour l’infectiologue Yves Van Laethem, il est urgent de relancer les systèmes de surveillance et de détection des infections.