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Grégory
Twee jaar na de Russische invasie woedt de oorlog in Oekraïne nog steeds in alle hevigheid. Ondanks de vernietigende impact van het geweld is het einde nog niet in zicht. Volgens de vredesbeweging faalt de militaire aanpak en is het de hoogste tijd om te ijveren voor een staakt-het-vuren en diplomatie. "Vrede is niet alleen mogelijk maar ook noodzakelijk."
La pêche sera donc interdite jusqu’au 1er juin sur une bonne partie de la Mellier, de la Rulles et sur un tronçon de la Semois. Pour rappel 17.000 litres d’huile se sont écoulés d’un site désaffecté d’Infrabel à Marbehan. Une partie de cette huile contient du PCB, un polluant très toxique pour l’environnement. Pour la société de pêche locale, l’impact financier sera énorme puisqu’aucune cotisation ne rentrera dans les caisses cette année. Autre problème : il faudra récupérer les pécheurs qui auront déserté les rives quand l’interdiction sera levée. " C’est un problème qui s’était déjà posé il y a une trentaine d’années lors d’une précédente pollution au mazout provenant de chez Fina", se rappelle Albert Piquard, le secrétaire et trésorier de la société de pêche de Marbehan. "A l’époque, nous avons perdu 20 pécheurs sur 70 et nous avons mis 5 ans pour les récupérer. ".
Dans les régions les plus venteuses de Wallonie, les projets éoliens se multiplient. C’est le cas au nord de Namur. Luminus aimerait installer sur le territoire de Meux (La Bruyère) quatre éoliennes d’une hauteur maximale de 200 mètres. Pour Stéphane Cornet, le porte-parole du producteur d’électricité, le site est idéalement situé tout en respectant la réglementation wallonne : " Les éoliennes généreraient une bonne production tout en étant situées à bonne distance des habitations. Ça permettrait d’économiser 6600 tonnes de CO2 et de fournir l’équivalent de la production l’électricité nécessaire pour 13.000 familles ! Par ailleurs, les citoyens qui le désirent pourront investir dans l’une des éoliennes via une coopérative " La Bruyère reste relativement neutre dans ce dossier pour l’instant mais son bourgmestre Yves Depas le reconnaît : ces éoliennes qui seraient installées sur un terrain communal sont intéressantes financièrement puisqu’elles rapporteraient environ 200.000 euros par an. " C’est un avantag
Par John Dearing, Gregory Cooper et Simon Willcock via The Conversation, traduction A l’encontre. Selon une étude parue dans la revue Nature Sustainability, sous la pression des activités humaines, nous pourrions subir des effondrements des écosystèmes avec des points de basculements jusqu’à 80% plus tôt que ce que les modèles envisagent.
Partout dans le monde, les forêts tropicales humides se transforment en savane ou en terres agricoles, la savane s’assèche et se transforme en désert, et la toundra glacée fond. En effet, des études scientifiques ont désormais enregistré des « changements de régime » de ce type dans plus de 20 types d’écosystèmes différents, où des points de basculement ont été franchis. Dans le monde entier, plus de 20 % des écosystèmes risquent de changer de régime ou de s’effondrer. Ces effondrements pourraient se produire plus tôt qu’on ne le pense. L’homme soumet déjà les écosystèmes à de nombreuses pressions, que nous appelons « stress ». Si l’on ajoute à ces pressions une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes liés au climat, la date à laquelle ces points de basculement sont franchis pourrait être avancée de 80 %.
Around the world, rainforests are becoming savanna or farmland, savanna is drying out and turning into desert, and icy tundra is thawing. Indeed, scientific studies have now recorded "regime shifts" like these in more than 20 different types of ecosystem where tipping points have been passed. Around the world, more than 20% of ecosystems are in danger of shifting or collapsing into something different.
We ran computer programs that simulate ecosystems 70,000 times and the results are very worrying.
Le chercheur Pierre Veltz et le consultant Grégory Richa rappellent, dans une tribune au « Monde », qu’il faut agir sur tous les fronts : conception, marketing, design ; fabrication, distribution et logistique ; fin de vie et recyclage ; modes d’usage et modèles économiques
A major concern for the world’s ecosystems is the possibility of collapse, where landscapes and the societies they support change abruptly. Accelerating stress levels, increasing frequencies of extreme events and strengthening intersystem connections suggest that conventional modelling approaches based on incremental changes in a single stress may provide poor estimates of the impact of climate and human activities on ecosystems. We conduct xperiments on four models that simulate abrupt changes in the Chilika lagoon fshery, the Easter Island community, forest dieback and lake water quality—representing ecosystems with a range of anthropogenic interactions. Collapses occur sooner under increasing levels of primary stress but additional stresses and/or the inclusion of noise in all four models bring the collapses substantially closer to today by ~38–81%. We discuss the implications for further research and the need for humanity to be vigilant for signs that ecosystems are degrading even more rapidly than previo