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cop26

septembre 2022

Essor du véhicule électrique, de l'hydrogène ou de l'électricité bas carbone: la coopération internationale doit s'accélérer pour permettre la transition des secteurs les plus émetteurs et tenir les engagements climatiques internationaux, prône mardi un rapport commandé lors de la COP26. Lors de la conférence sur le climat l'an dernier à Glasgow, 45 pays s'étaient engagés à mettre l'accent sur la collaboration internationale pour déployer des solutions plus vertes dans plusieurs secteurs d'activité: électricité, transport terrestre, acier, hydrogène et agriculture. L'idée est de rendre les technologies respectueuses de l'environnement plus abordables financièrement, notamment pour les pays plus pauvres.

mai 2022

Deux instituts d'études spécialisés ont appelé vendredi les pays du G20 à renforcer rapidement leurs engagements climatiques pour tenter de respecter les objectifs de l'accord de Paris comme ils l'ont promis lors de la dernière conférence climat COP26. "Aucun des pays du G20 n'en fait assez pour maintenir l'espoir de limiter le réchauffement à 1,5°C" par rapport à l'ère pré-industrielle, a déclaré dans un communiqué Tom Evans, de l'institut E3G qui publie une analyse des derniers engagements de ces pays conjointement avec le Energy and Climate Intelligence Unit.

janvier 2022

Une rencontre virtuelle des principaux pollueurs mondiaux organisée jeudi par les États-Unis n’a pas permis de relancer une dynamique entravée par les préoccupations nationales des gouvernements.
Parmi les quelques avancées de la COP26 fin 2021, on trouve l’engagement, signé par plus de 140 pays, de faire cesser la déforestation tropicale d’ici à 2030. La déforestation constitue en effet une cause majeure d’émissions de gaz à effet de serre, et la conservation des puits de carbone forestier semble incontournable pour l’atteinte de la neutralité carbone.
Bruxelloise de 25 ans, Nadège Carlier est doctorante en sciences politiques à l’UCLouvain. Elle a également été désignée comme déléguée ONU francophone du Forum des jeunes, organe officiel de représentation de la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles, à la COP 26 qui s’est tenue à Glasgow. Nous l’avons rencontrée pour qu’elle nous fasse part de son expérience.
Une production record de charbon en Chine est annoncée pour 2021, quelques semaines seulement après la COP26 à Glasgow, où les discussions se sont soldées par des désaccords sur l’engagement à abandonner le combustible.
Sur les 194 Parties signataires de l'Accord de Paris ayant déposé auprès des Nations Unies leurs « contributions déterminées au niveau national »(1) (engagements pour lutter contre le réchauffement climatique, « INDC » ou « NDC » en anglais), 182 Parties avaient inclus des objectifs relatifs aux énergies renouvelables à mi-novembre 2021 après la COP26 (dont 144 avec des objectifs quantifiés et seulement 13 s'engageant avec un pourcentage d'énergies renouvelables dans leurs mix énergétiques respectifs).
Selon les Nations Unies, les engagements pris par les parties lors de la COP26 à Glasgow aboutiraient à une hausse de températures de 2,9 à 3,1 degrés d'ici à 2100. Des nouveaux engagements en 2022 seront essentiels pour garder en vie l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C et les pays sont encouragés à accroître l'ambition de leurs engagements avant la COP27 qui se tiendra en Égypte du 7 au 18 novembre.

décembre 2021

Echec retentissant comme à Copenhague en 2009 ? Succès historique comme à Paris en 2015 ? Entre les deux ? La dernière conférence climat de l'ONU a inspiré tous ces sentiments et, alors que l'humanité tente de se sauver d'elle-même, le temps de l'action concrète est venu.
Kort na de klimaattop in Glasgow stuurden de Teachers for Climate een open brief aan vice-minister president van de Vlaamse regering en Vlaams minister van onderwijs Ben Weyts. Deze brief verscheen integraal in De Wereld Morgen. Hij werd ondertekend door zo’n 200 mensen uit het onderwijsveld (kleuter-, lager-, secundair-, volwassen-, hoger- en universitair onderwijs), onder wie meerdere Grootouders voor het Klimaat. Ook wij publiceerden de open brief.
Dans la foulée de la COP26 de Glasgow, la France doit rehausser ses objectifs climatiques pour 2030, renforcer leurs mises en oeuvre et "reprendre l'initiative à l'international", recommande le Haut Conseil pour le climat dans un avis publié jeudi.
Comme d’autres conférences climat avant elle, la COP26, qui s’est tenue à Glasgow début novembre 2021, aura pris l’allure d’un grand rassemblement tantôt critiqué pour la démagogie du contraste entre actions et discours, tantôt attendu pour l’impact qu’il aura sur les générations futures (en se promettant d’agir « avant qu’il ne soit trop tard »).
Klimaatactivisten uit Afrika voelen zich uitgesloten en genegeerd in het globale klimaatbeleid. Afrika is nochtans een van de hardst getroffen regio’s. MO* sprak met vijf klimaatactivisten uit verschillende Afrikaanse landen. ‘De klimaattop in Glasgow was een slag in ons gezicht.’‎
Le Giec et l\'IPBES sont clairs, dans leur rapport d\'atelier coparrainé, sur le fait que nous ne pouvons réussir à inverser les crises du changement climatique et de la perte de biodiversité que par une réponse intégrée et ambitieuse.
Le 13 novembre, la 26e Conférence des parties a pris fin. Autant le savoir, cette nIEWs ne va pas être une analyse poussée de la COP26 : je vais plutôt tenter, avec légèreté, de vous raconter ma semaine à Glasgow. Toutefois, ...
Le Shift Projet poursuit son Plan de transformation de l’économie française (PTEF) avec la publication d'un quatrième rapport consacré cette fois à la santé. Le secteur, jusque-là rarement pointé du doigt, représente tout de même 8 % des émissions de gaz à effet de serre dans l'Hexagone. Le think tank émet plusieurs recommandations pour décarboner la filière alors qu'un mouvement a émergé sur le sujet lors de la COP26 de Glasgow sur le climat.
World leaders must commit to boosting cycling levels to reduce carbon emissions and reach global climate goals quickly and effectively
C’était l’un des derniers grands projets liés au charbon en Afrique. Mais la centrale de San Pedro, dans le sud-ouest de la Côte d’Ivoire, pourrait bien ne jamais voir le jour.

novembre 2021

Les mines à ciel ouvert de Singrauli illustrent le dilemme auquel est confronté le deuxième pays le plus peuplé du monde, expliquant sa résistance à l'élimination progressive du charbon prônée durant le sommet de la COP26 à Glasgow au début du mois.
Et au milieu, de nombreux observateurs qui oscillent entre approbation et critique, entre espoir et désespoir face aux résultats de cette COP26 de Glasgow qui était vue comme cruciale pour l'avenir de l'humanité.
Le président sénégalais Macky Sall s'est catégoriquement opposé lundi à un arrêt des financements de l'exploitation des énergies fossiles, qui porterait "un coup fatal" à des économies comme celle de son pays.
Op de voorbije klimaattop in Glasgow deed president Trudeau van Canada ronkende beloftes. Zijn goedkope woorden staan echter in schril contrast met wat hij in eigen land uitricht. Daar blijft hij zweren bij fossiele brandstof en worden Inheemse mensen die zich daartegen verzetten brutaal aangepakt.
L’Ademe présentait ce mardi un rapport détaillant les solutions potentielles pour parvenir à cet objectif de la COP26. Certaines impliquent un changement drastique de nos modes de vie, d’autres font le pari de la technologie.
A l’occasion de la COP26, le chercheur en géopolitique de l’environnement et des migrations François Gemenne répond à 10 questions sur le réchauffement climatique
Les tourbières sont sorties de leur solitude pour éclairer la COP26. Et si elles constituaient l'une des solutions au réchauffement climatique ?
Klimaatverandering wordt vaak besproken alsof het een uniek atmosferisch fenomeen is. Maar de crisis is diep verweven met de oceaan, en dat aspect is grotendeels verwaarloosd in internationale klimaatbesprekingen. De laatste internationale klimaatonderhandelingen hebben enige vooruitgang geboekt door, voor de eerste keer, oceanen permanent te verankeren in het multilaterale klimaatveranderingsregime. Maar het klimaatpact van Glasgow is nog steeds mijlen verwijderd van waar het moet zijn om het belang van oceanen voor ons klimaatsysteem adequaat weer te geven.
COP26 blijkt opnieuw een zaak te worden van regeringen die met grote woorden spreken over het klimaat, maar niets doen om de grote vervuilers te stoppen. Jeremy Corbyn heeft daar een uitgesproken mening over: de wereldbevolking kan onze toekomst alleen redden door de macht weer in eigen handen te nemen.
De klimaatconferentie COP26 zit er weer op. Velen blijven vertwijfeld achter. Was het voldoende? Blijft het niet bij intenties? Ook in het onderwijs zit die twijfel en heerst onbehagen. In een open brief die op sociale media circuleert, vragen leerkrachten en professoren zich af wat te doen met de angst voor de toekomst van leerlingen en studenten. En of de Vlaamse regering en minister van Onderwijs Ben Weyts in het bijzonder daarover geen signaal kunnen geven. Liefst krachtiger dan wat Vlaanderen nu aan voorstellen heeft gedaan.
Plusieurs études ont montré cet automne que ces engagements étaient insuffisants. En particulier, l’analyse du secrétariat de l’Accord de Paris(1) a montré qu’ils conduisaient à 2,7 °C d’augmentation moyenne des températures d’ici la fin du siècle. C’est mieux que les 3 ou 3,5° qu’annonçaient les contributions initiales des États en 2015, mais c’est bien loin des objectifs posés dans l’Accord de Paris !
L’objectif de la COP26 était de taille : conclure le cycle de négociations entamé après la COP21. Autrement dit, s’accorder sur des règles générales et des outils de mise en œuvre des Accords de Paris. Ces derniers reposaient sur les participations volontaires des pays quant à l’atténuation du changement climatique (CC), tenus de publier tous les 5 ans leur engagement de réduction d’émissions (les fameuses “NDC”, Nationally Determined Contribution). Alors qu’en est-il ? Ces NDC sont-elles respectées ? A quel point la Cop26 et ses dispositions sont-elles (in)suffisantes ? Mr Mondialisation était sur place : bilan.
Les pays africains producteurs de gaz et de pétrole, ainsi que ceux où de récentes découvertes de ces énergies fossiles suscitent des espoirs de développement, n'entendent pas pour l'instant y renoncer en dépit des recommandations de la dernière conférence climat de Glasgow en Ecosse, la COP26.
Volgens Vijay Prashad en Zoe Alexandra heeft de COP26 bitter weinig kunnen waarmaken van de dringende eisen die wereldleiders en civil society organisaties stelden om de planeet te redden, aangezien het bedrijfsbelangen waren die er de overhand hadden.
La 26e conférence internationale sur le climat (COP26) se termine à Glasgow sur de nombreuses promesses et un manque d’engagements concrets, avec pourtant une prise de conscience de l’urgence climatique par l’ensemble des pays participants.
De klimaattop in Glasgow was een mislukking, een zoveelste gemiste kans. Vage beloftes, compromissen, niet-bindende afspraken, gefoefel in de marge. En dat terwijl de werkelijke CO2 uitstoot wereldwijd een stuk hoger is dan wat de officiële cijfers ons vertellen. COP26, op zich al een veeg teken: al zesentwintig jaar lopen de wereldleiders achter de feiten aan.
La Commission Européenne a présenté à Bruxelles une proposition de loi pour enrayer la déforestation. Elle souhaite aller plus loin que l’accord signé par une centaine de pays lors de la COP26 à Glasgow. La stratégie de l’Europe consiste alors à verdir ses importations, en garantissant des produits non responsables de la dégradation des forêts.
Tijdens de COP26 was Bidens kritiek op het klimaatbeleid van andere landen niet mals. In eigen land lijkt de president van de Verenigde Staten er echter niet toe in staat om een klimaatplan van de grond te krijgen. Dit werd bevestigd door een recente veiling van vergunningen voor boorrechten om gas en olie te verkrijgen in de Golf van Mexico.
Grieks econoom Yanis Varoufakis ziet drie redenen waarom de laatste klimaatconferentie opnieuw een debacle is geworden: een wereldwijd probleem van free-riding (de onrechtmatige overconsumptie van basisgrondstoffen door de grote bedrijven), het gebrek aan internationale coördinatie en ... het kapitalisme.
Anuna De Wever, bekend boegbeeld van Youth for Climate vertelt in een openhartig en pittig interview hoe ze de klimaattop in Glasgow heeft beleefd, welk bilan ze van de top maakt en hoe het nu verder moet met onze planeet.
Grootouders voor het Klimaat is bitter ontgoocheld met de resultaten van de COP26- klimaattop in Glasgow. De dringende oproep (zie verder) van de Grootouders en ouderenverenigingen aan onze regeringen om het tij te keren met een ambitieus klimaatakkoord en meer klimaatrechtvaardigheid werd niet beantwoord met maatregelen die nu dringend nodig zijn. De overheden komen zo hun zorgplicht voor de volgende generaties niet na. De dikwijls scherpe reacties van de ambassadeurs van de Grootouders stromen nu binnen.
Oliebedrijven werken intens samen om de afbouw van olie en gas tegen te werken, schrijft onderzoeker Dario Kenner van de Universiteit van Sussex na de klimaattop in Glasgow. “Nu is het moment om hen te confronteren en hun invloed af te bouwen.”
Une contribution d'Alice Arts, membre de l'Etincelle, un kot-à-projet néo-louvaniste centré sur le journalisme dont La Libre Etudiant est partenaire.
De klimaattop in Glasgow was een mislukking, een zoveelste gemiste kans. Vage beloftes, compromissen, niet-bindende afspraken, gefoefel in de marge. En dat terwijl de werkelijke CO2 uitstoot wereldwijd een stuk hoger is dan wat de officiële cijfers ons vertellen. COP26, op zich al een veeg teken: al zesentwintig jaar lopen de wereldleiders achter de feiten aan.
Volgens VUB-klimaatwetenschapper Wim Thiery leven we nu in het cruciale decennium voor de aanpak van de klimaatcrisis. DeWereldMorgen.be vroeg hem naar zijn evaluatie van de voorbije klimaatconferentie COP26 in Glasgow.
COP26 is afgelopen. Wat leverde het op? Enkele broodnodige doorbraken om de 1,5°-doelstelling in leven te houden, maar ook moeizaam verworven en magere resultaten op vlak van internationale klimaatfinanciering en solidariteit. Het zijn zijden draadjes, al was er vooruitgang. Of toch: als deze COP nu dienst doet als springplank voor échte actie.
La COP26 sur le climat n'a pas été "un échec" mais les engagements doivent maintenant être pleinement mis en œuvre, a appelé jeudi le directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Fatih Birol. "Je ne suis pas d'accord avec l'idée que Glasgow serait un échec", a-t-il déclaré en soulignant les "nombreux et importants résultats positifs" du sommet.
Si les Etats tiennent tous leurs promesses en matière de réduction des gaz à effet de serre, le réchauffement climatique sera tout de même bien au-delà des ambitions de l'accord de Paris, entraînant des phénomènes destructeurs sur toute la planète.
La climatologue franco-canadienne Corinne Le Quéré, également coauteure pour le GIEC, préside le Haut-Conseil pour le Climat français. Elle revient dans cette interview sur le bilan de la COP26 de Glasgow. Corinne le Quéré estime que bien qu’imparfait, le Pacte Glasgow s’inscrit dans une dynamique d’avancée dans l’action climatique.
Dénonçant l’influence des entreprises à la COP26 et l’échec de ce sommet, quelque 200 universitaires internationaux demandent dans cette lettre de prendre des « décisions plus radicales ». Et appellent à une « révolution verte » face à l’urgence climatique.
Alors que la COP26 s’achève, avec peu d’espoir pour une transformation véritable de nos modes de fonctionnement, revenons sur les climats du passé et leurs impacts sur la faune sauvage. Nous vivons dans l’ère quaternaire, commencée il y a 2,58 millions d’années ; une paille à l’échelle de l’histoire de la Terre, mais une période au climat particulièrement tourmenté : pas moins de 50 oscillations climatiques de diverses ampleurs et durées, et entre 8 et 10 glaciations rien qu’au cours des derniers 800 000 ans.
Dans le sillage d’une Cop 26 qui aura vu la Belgique se présenter à la conférence sur le climat sans accord, l’État belge va (de nouveau) devoir répondre d’inaction climatique devant la justice, après avoir déjà été condamné par un premier jugement en juin dernier.
Après la COP 26, l’heure est au bilan pour les chercheurs Gaël Giraud (CNRS) et Loïc Giaccone (Georgetown Environmental Justice Program). Ils reconnaissent les avancées, comme la signature d’accords sectoriels. Mais on n’a jamais été aussi éloigné des objectifs de l’accord de Paris. Et cette nouvelle COP a révélé une faille démocratique.
Op de klimaattop in Glasgow werd na meer dan twee weken van onderhandelen een akkoord bereikt. Landen die vandaag al sterk lijden onder de gevolgen van de klimaatverandering hebben tot op het einde getracht om meer garanties van rijke naties te krijgen. Dat is niet helemaal gelukt, blijkt uit dit overzicht.
Plutôt que les vaines palabres de la COP26, Isabelle Attard a écouté avec attention les paroles de Greta Thunberg. Lorsque la jeune activiste dit que « nous allons faire le changement, qu’ils le veuillent ou non », l’ex-députée devenue anarchiste y voit une sagacité pleine d’espoir.
Op de klimaattop in Glasgow werd na meer dan twee weken van onderhandelen een akkoord bereikt. Landen die vandaag al sterk lijden onder de gevolgen van de klimaatverandering hebben tot op het einde getracht om meer garanties van rijke naties te krijgen. Dat is niet helemaal gelukt, blijkt uit dit overzicht.
Revolutie (de; v; meervoud: revoluties): ontleend aan middeleeuws Latijn revolutio: 'omloop van een hemellichaam’, omwenteling. Nooit had ik gedacht dat mijn denken op zo’n korte tijd compleet zou overhoopgegooid worden. Revolutie. Dat is wat mij vorige week intern is overkomen en ik kan alleen maar proberen dit zo snel mogelijk met zoveel mogelijk anderen te delen. Want de tijd dringt.
La COP26 vient de s’achever à Glasgow. Pour la première fois, la diminution des énergies fossiles a été évoquée, mais sans calendrier précis. L’analyse d’Armelle Le Comte, chargée de plaidoyer Climat à Oxfam, de retour de la COP.
De internationale klimaattop in Glasgow is op zijn einde gelopen. Vlaamse Klimaatbewegingen: Greenpeace, Oxfam, Climaxi en WWF geven hun reactie. De organisaties erkennen dat het akkoord positieve punten bevat en een belangrijk signaal geeft, maar ook dat het verre van perfect is, de 1,5°C-doelstelling aan een zijden draadje hangt en belangrijke zaken weer op de lange baan geschoven worden. Wel klinkt de roep om een betere, klimaatrechtvaardige wereld steeds luider, en de rol die jongeren, inheemse leiders en activisten hierin spelen, wordt duidelijker.
Zaterdag 13 november. COP 26 eindigde meer dan 24 uur te laat. In de zoektocht naar een balans tussen ambitie en solidariteit, is het voorzitterschap erin geslaagd een delicaat compromis te bereiken tussen alle partijen. Dit definitieve akkoord is verre van volmaakt, maar geeft niettemin een impuls aan de strijd tegen de klimaatcrisis. Het moet nu worden vertaald naar ambitieuze en solidaire maatregelen.
Op de klimaattop in Glasgow is meer dan 24 uur na de officiële deadline alsnog een akkoord bereikt. Daarin is op het allerlaatste moment nog een belangrijke tekst over steenkool verwaterd, om landen als India en China tegemoet te komen.
One point five to keep the planet alive, dat was de inzet van deze top. Na veertien dagen onderhandelen is de woede bij klimaatactivisten en landen uit het Zuiden groot en terecht. Hoe moet het nu verder?
Nog maar een jaar geleden eisten een miljoen mensen een Europese wet tegen geïmporteerde ontbossing. Deze woensdag presenteert de Europese Commissie een ongekend en langverwacht wetsvoorstel in deze richting. WWF roept de lidstaten op om hun verantwoordelijkheid te nemen, aangezien ze zojuist tijdens COP26 een toezegging hebben gedaan om ontbossing tegen 2030 te stoppen.
Les négociations climatiques de la COP26 ont abouti au Pacte de Glasgow, une déclaration jugée décevante par de nombreux observateurs. Le climatologue Jean Jouzel dresse un premier bilan de la COP26 de Glasgow plus nuancé. Lisez notre entretien avec l’ancien vice-président du GIEC Jean Jouzel pour faire le point sur les négociations climatiques.
La COP26 a accouché d’un ensemble de décisions qui vont aider à la mise en œuvre de l’Accord de Paris. C’est un pas dans la bonne direction, c’est bien plus que du bla-bla, mais c’est très insuffisant. Parmi les points positifs, je vois : ...
Augmentation des déluges au mieux, canicules extrêmes et régulières au pire… Tour d’horizon des scénarios catastrophes.
La COP 26 s’est achevée le 13 novembre 2021, après une prolongation de 24 heures. Il semblerait que son principal « succès » soit la finalisation du fonctionnement des marchés carbone. Avec toujours aucun accord sur l’aide aux pays du Sud – le « Fonds vert » que vous évoquez dans la première partie de notre entretien – et, globalement, un document final très en deçà des attentes. À quel point faut-il parler d’un échec (prévisible) ?
Alors même que sa capitale est souvent plongée dans un brouillard toxique, l'Inde a mené la charge pour affaiblir les engagements contre le charbon lors du sommet de la COP26, privilégiant, selon les experts, sa croissance économique au détriment de l'avenir de la planète.
Le renoncement de l’Inde et de la Chine sur le charbon et la persistance du profond clivage Nord-Sud illustrent les insuffisances des objectifs pris à Glasgow, qui dessinent un monde à 2,7°C de réchauffement.
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a balayé les critiques affirmant que le pays avait empêché, avec l'Inde, un engagement plus concret du monde à sortir du pétrole, combustible fossile particulièrement polluant.
Le dénouement de la COP26, marqué par l’intervention de l’Inde pour demander non plus une sortie du charbon mais une réduction, n’est en fait que le résultat de décennies de déni climatique de la part des pays riches. Sur la réduction des émissions, la solidarité avec les pays du Sud et la sortie de toutes les énergies fossiles, ils ont manqué à leurs promesses. Cela n’a fait que contribuer à creuser le fossé et la méfiance entre les deux blocs.
Maintenant, c’est un combat direct pour la survie. Le Pacte climatique de Glasgow, malgré tout son langage sobre et diplomatique, ressemble à un pacte suicidaire. Après tant d’années gâchées de déni, de distraction et de retard, il est trop tard pour un changement progressif. Avoir de bonnes chances d’éviter plus de 1,5°C de chauffage, c’est réduire les émissions de gaz à effet de serre d’environ 7 % chaque année : plus vite qu’elles n’ont baissé en 2020, au plus fort de la pandémie.
À Glasgow, les discussions de la COP26 ont abouti ce 13 novembre (soit un jour après la date de conclusion initialement prévue) à l’adoption d’un texte de compromis des près de 200 Parties présentes.
Après deux semaines intenses de tractations et une journée de prolongations, la COP26 a accouché de timides avancées. Au Royaume-Uni, certains médias voient le verre à moitié plein, quand d’autres le voient à moitié vide, voire totalement vide.
Comment programmer la sortie des énergies fossiles alors que celles-ci ne font pas partie de la négociation sur le changement climatique ?
Les principaux points du "Pacte de Glasgow sur le Climat" adopté à la COP26, au terme de deux semaines de négociations:
Les 196 pays de la COP26 ont adopté samedi 13 novembre un accord pour accélérer la lutte contre le réchauffement de la planète. Mais sans garantir le respect des objectifs de l’accord de Paris visant à limiter le réchauffement en deçà de 2 °C, ni répondre aux demandes d’aide des pays pauvres.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a estimé que l'accord sur le changement climatique conclu samedi par la COP26 à Glasgow était "un pas dans la bonne direction" mais souligné que "le travail est loin d'être achevé".
Voici les principales réactions internationales à l'accord adopté samedi par la COP26 à Glasgow pour accélérer la lutte contre le réchauffement de la planète mais sans assurer de parvenir à le contenir à 1,5°C de plus qu'à l'ère pré-industrielle.
De nombreuses ONG ont exprimé leur déception à l'issue de la COP26 de Glasgow, samedi soir, jugeant l'accord décevant même s'il laisse une étroite fenêtre pour limiter le réchauffement climatique à +1,5°C, comme le prévoit l'accord de Paris.
Le Royaume-Uni a annoncé formellement l’adoption d’une décision finale à l’issue de la COP26. Jusqu’à la dernière minute, la question des énergies fossiles a fait débat, avec la Chine et l’Inde à la manœuvre.
Les décisions adoptées à la COP26, à Glasgow, vont aider à la mise en oeuvre de l'accord de Paris sur le climat, a souligné dimanche le climatologue Jean-Pascal van Ypersele (UCLouvain), estimant qu'il s'agit d'un "pas dans la bonne direction". "C'est bien plus que du bla-bla, mais c'est très insuffisant", résume-t-il.
La COP27 se tiendra du 7 au 18 novembre 2022 dans la ville balnéaire de Charm el-Cheikh, au bord de la mer Rouge. La ville située dans la péninsule du Sinaï, très touristique, est connue pour ses plages et ses récifs coralliens. Quant à la COP28, elle sera organisée par les Emirats arabes unis. L'évènement devrait avoir lieu du 6 au 17 novembre 2023. La COP26 s'est achevée samedi soir avec l'adoption du Pacte de Glasgow sur le climat.
"L'ensemble des textes adoptés à Glasgow ne diminue pas immédiatement les émissions de gaz à effet de serre, mais crée un cadre et des signaux de plus en plus clairs vers la décarbonation pour tous les gouvernements, tous les acteurs économiques et tous les citoyens. Maintenant, au boulot", conclut le climatologue.
Les quelque 200 pays de la COP26 ont adopté samedi un accord loin de faire l'unanimité. Le "pacte de Glasgow" est jugé en deça des espérances de départ. L'accord pour accélérer la lutte contre le réchauffement climatique ne garantit pas de tenir l'objectif de le contenir à 1,5 °C, ni de répondre aux demandes d'aide des pays pauvres.
This was filmed at a UN press conference during the final days of COP26.
Now it’s a straight fight for survival. The Glasgow Climate Pact, for all its restrained and diplomatic language, looks like a suicide pact. After so many squandered years of denial, distraction and delay, it’s too late for incremental change.
Tout ça pour ça. Quand on pense aux attentes suscitées par cette COP26, à l’énergie et aux moyens (souvent coûteux en gaz à effet de serre) déployés, on ne peut qu’être épouvantablement déçus, voire révoltés devant le résultat obtenu à Glasgow par les dirigeants de la planète. Le message envoyé aux jeunes mobilisés en masse pour tenter de sauver ce qu’il reste à sauver c’est, en gros : «On va tous dans le mur mais laissez-nous en profiter à fond d’ici là.»
Adélaïde Charlier, coordinatrice de "Youth for Climate", admet qu’il "y a eu des avancées" mais regrette qu’il n’ait pas été décidé d’arrêter complètement les subsides aux énergies fossiles et au charbon
Une analyse partagée par Adélaïde Charlier, la coordinatrice francophone de "Youth for Climate" de Belgique. "Il y a eu des côtés positifs, mais surtout négatifs", a-t-elle fait savoir sur le JT de 13h de la RTBF. La jeune militante regrette que la conférence ne soit pas allée plus loin concernant les énergies fossiles et le charbon.
Après deux semaines d'âpres négociations, la COP26 a pris fin, samedi 13 novembre, avec un accord en demi-teinte, déjà largement critiqué et dont le patron de l'ONU, Antonio Guterres, a lui-même relevé les faiblesses.
Les 196 pays de la COP26 ont adopté, samedi, un accord pour accélérer la lutte contre le réchauffement de la planète. Accord qui n'est pas jugé à la hauteur de l'urgence par les associations de défense de l'environnement.
De COP en COP le système capitaliste recycle les vieilles promesses mais s'emploie à ne rien changer. Mais désormais le roi est nu. L'échec de la COP26 met un point final au mythe d'une coexistence possible entre capitalisme et écologie. Les faits sont posés: la préservation de l'un ne se fera pas sans abandon de l'autre. Chacun devra maintenant se positionner en conséquence.
Un nouveau projet de déclaration finale de la conférence de Glasgow sur le climat appelle samedi à "accélérer les efforts" vers la sortie du charbon et le rythme des engagements des pays pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Le dernier projet de décision invite les États parties à l'accord de Paris à relever leurs engagements de réduction d'émissions dès la fin 2022. Le texte, ce qui serait une première s'il était adopté, appelle à accélérer la sortie du charbon (sans technique de capture du carbone). Si la formulation a été édulcorée par rapport à un premier brouillon de texte, l'évocation, même à demi-mots et de manière alambiquée, de la fin du charbon et des énergies fossiles est vue par les ONG comme une (demi-)victoire.
Nous avons rencontré Frédéric Durand, auteur d’un ouvrage de référence sur le réchauffement. Le géographe résume les enjeux de la COP 26, entre urgence absolue de mesures fortes et danger des fausses bonnes solutions, comme le nucléaire.
Les pays qui s'engagent dans la lutte contre le réchauffement climatique s'exposent à des poursuites judiciaires du secteur des énergies fossiles, évaluées à des milliers de milliards de dollars à l'échelle planétaire par des ONG qui y voient une menace pour les décisions prises dans les conférences sur le climat. Nombre d'accords internationaux, tels que le Traité sur la charte de l'énergie ou des traités de libre-échange, contiennent des mécanismes de règlement des litiges qui permettent à des entreprises et investisseurs étrangers de poursuivre directement les États devant des tribunaux d'arbitrage.
La présidence britannique de la COP26 tentait samedi de défendre son projet qui selon elle "fait réellement avancer les choses", alors que plusieurs points controversés notamment sur l’aide aux pays pauvres menaçaient de faire dérailler la conclusion d’un accord destiné à freiner le réchauffement de la planète.
Après quinze jours de négociations, les États ont adopté sur le fil, samedi, un texte commun à la COP26 pour accélérer la lutte contre le réchauffement climatique.
L’accord adopté à l’issue de la COP26 de Glasgow est largement insuffisant pour limiter à 1,5 °C la hausse globale des températures. Les demandes de financement des pays pauvres qui en subiront le plus les effets ont été écartées tandis que les promesses de sortie des énergies fossiles ont été affaiblies.
Il n’aura fallu que quelques minutes après la fin de la COP26, pour que de nombreux représentants gouvernementaux sautent sur Twitter afin de se dédouaner de cet accord à minima. Cependant, aucun n’a expliqué pourquoi il a voté "oui".
La COP26 va s’achever à Glasgow après deux semaines de négociations. Décriée pour son manque d’inclusion, elle n’aura pas permis l’adoption de décisions suffisantes pour répondre à l’urgence et aux défis des pays les plus impactés par le changement climatique.
Les questions de l’aide aux pays moins développés et de la sortie des énergies fossiles menacent de faire dérailler la conclusion d’un accord destiné à freiner le dérèglement climatique.
La COP26 se termine à Glasgow. Greenpeace est déçue du fragile et faible accord final qui n’offre aucune réponse à une crise climatique déjà menaçante. La Belgique a réussi à se soustraire à sa responsabilité de gros pollueur malgré quelques belles promesses. En raison du blocage flamand, notre pays a une fois de plus fait piètre figure sur la scène internationale.
À l’issue d’une conférence marquée par la mise à l’écart des communautés les plus impactées et l’omniprésence des lobbies, la COP26 accouche une fois de plus d’engagements sans ambition qui repoussent l’action aux calendes grecques.
After two weeks of talks in Glasgow, diplomats from almost 200 countries have agreed to ramp up their carbon-cutting commitments, phase out some fossil fuels and increase aid to poor countries on the front lines of climate change.
Mais le succès d’une COP ne se mesure ni au nombre de ses participants, ni à celui des déclarations produites. Il se juge à sa capacité d’accélérer l’action climatique sur le terrain. En la matière, que peut-on retenir de cette 26e édition ? Un accroissement timoré des objectifs de réduction d’émissions
Criminel parce que les Etats promettent de rester en-deçà de 1,5°C mais nous conduisent vers 2,7°C au moins. Indécent parce que les pays riches refusent de payer le prix de leur responsabilité historique, au détriment des populations pauvres. Dilatoire parce qu'ils vendent une "neutralité carbone" de long terme pour ne (presque) rien faire à court terme. Ils nous font honte.
« Le résultat de la COP26 laisse les pays développés libres de continuer à polluer, et donne le feu vert à des massifs accaparements de terres dans les pays en développement pour des projets de compensation. Alors que la présidence britannique et ses alliés s’auto-congratulent, il aurait été préférable qu’aucun accord ne soit atteint.
La fermeture des centrales nucléaires belges se fera "parce que c'est dans l'accord de gouvernement" et parce que les conditions ne seraient pas réunies pour une éventuelle prolongation, a déclaré vendredi le président du PS, Paul Magnette, en marge de la COP26 à Glasgow.
Vingt-deux pays ont adopté vendredi une feuille de route initiée par la France visant à coopérer pour adapter leurs forces armées à l'impact du changement climatique et décarboner les activités militaires, encore très dépendantes des énergies fossiles.
Les ministres de cinq pays européens ont estimé jeudi à la COP26 que l'énergie nucléaire était "incompatible" avec les critères de la liste des investissements considérés comme "durables" actuellement élaborée par l'UE.
Les pays participants à la COP26 sont invités à limiter les financements "inefficaces" aux énergies fossiles et à accélérer la sortie de l’utilisation du charbon "sans système de capture" carbone, dans un nouveau projet de décision finale, publié par la présidence britannique vendredi matin. Cette formulation est édulcorée par rapport à une précédente version du texte qui appelait simplement à "accélérer la sortie du charbon et des financements aux énergies fossiles".
C’est sa première COP, ici à Glasgow, après le rendez-vous manqué de Madrid. Adelaïde Charlier, l’une des figures de proue du mouvement Youth for climate, avait entrepris, fin 2019, un périple en voilier, vers le Chili, où devait se tenir la COP25. Mais en raison de troubles sociaux dans le pays andin, la conférence climat s’était finalement tenue à Madrid. La COP26, elle ne pouvait donc pas la rater.
Les pays participants à la COP26 sont invités à limiter les financements "inefficaces" aux énergies fossiles et à accélérer la sortie de l'utilisation du charbon "sans système de capture" carbone, dans un nouveau projet de décision finale, posté par la présidence britannique vendredi matin. Cette formulation est adoucie par rapport à une précédente version du texte qui appelait simplement à "accélérer la sortie du charbon et des financements aux énergies fossiles".
Après des jours et des nuits de débats et de discours, c’est la toute dernière ligne droite à la COP 26. Elle doit officiellement s’achever ce soir, à 19 heures, à Glasgow, mais comme souvent, les pays membres pourraient bien jouer les prolongations ce week-end pour tenter de parvenir à un accord sur le climat. Quels sont les échos de ces deux semaines de COP26 ? Nadège Carlier, Bruxelloise de 25 ans, membre de la délégation belge, est l’invitée de François Heureux sur la Première.
Le deuxième projet d’accord publié ce vendredi matin à Glasgow assouplit la demande faite aux pays d’accélérer l’élimination progressive du charbon et des énergies fossiles.
Ce vendredi, en collaboration avec Romain Weikmans, enseignant à l’ULB et spécialiste des politiques climatiques, nous nous penchons sur la question à 100 milliards de dollars. Ce montant de 100 milliards de dollars annuels est censé être mobilisé par les pays riches pour aider les pays en développement à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et à s’adapter aux conséquences du dérèglement climatique.
Parmi les déconvenues du sommet de la COP26 qui touche à son terme figure la décision de lAustralie de maintenir ses mines à charbon ouvertes pendant des décennies. Les opposants à cette énergie fossile peinent à se faire entendre dans ce pays, qui entend en profiter jusqu’au bout.
A l’aube d’une nouvelle déclaration de la Conférence des Nations Unies pour le Climat, en son dernier jour, petit rembobinage pour comprendre les moments clés de cette COP26, qui a officiellement démarré ce 1er novembre 2021.
Après une semaine d’hésitation, la France a rejoint une nouvelle alliance s’engageant à mettre un terme d’ici à la fin 2022 au financement à l’étranger de projets d’énergies fossiles. Mais la portée de cet engagement reste limitée.
En marge de la COP26 à Glasgow, des activistes ont trouvé un moyen bien à eux d'alerter leurs concitoyens sur l'urgence climatique ... Ils dégonflent les pneus des voitures de luxe! Selon la BBC, le collectif Tyred of SUVs a revendiqué avoir ciblé une soixantaine de véhicules dans le "quartier riche". Leurs propriétaires pouvaient également découvrir sur leur pare-brises une "contravention climatique".
Huit pays dont la France se sont engagés à éliminer l’exploitation des énergies fossiles de leur territoire. Mais cette nouvelle alliance ne comprend pas les principaux États producteurs d’hydrocarbures dans le monde, comme les États-Unis, l’Arabie Saoudite et la Norvège.
La Belgique a signé vendredi à Glasgow, à l'occasion du dernier jour (en principe) de la COP26, la déclaration sur la fin du financement public international des combustibles fossiles.
Op de laatste dag van de klimaattop in Glasgow wordt koortsachtig onderhandeld. Maar zowat iedereen gaat er nu al van uit dat er vanavond nog geen akkoord zal zijn. Na onderhandelingen tot diep in de nacht kwam vroeg op vrijdagmorgen een nieuwe ontwerptekst uit de bus. Daarin zijn een aantal opvallende bepalingen uit een eerdere versie al weer afgezwakt
Pour Laurence Tubiana, directrice de la Fondation européenne pour le climat, si de bonnes annonces ont déjà été faites, la contribution de plusieurs pays, dont le Brésil, est loin d'être suffisante.
La COP26, qui prend fin ce 12 novembre, risque encore d'être un catalogue de bonnes intentions, non suivi de mesures concrètes, regrette Franklin Dehousse. Le professeur à l'ULiège, ancien juge à la Cour de justice de l'Union européenne, analyse les raisons de 30 ans d'immobilisme climatique.
La 26e Conférence climat (COP26) qui se tient à Glasgow ferme officiellement ses portes ce vendredi 12 novembre, mais une prolongation du sommet durant le week-end est largement probable. Hier, près de 200 climatologues ont publié une lettre ouverte. Ils dénoncent en substance le peu de considération accordée au dernier rapport du Giec, au regard des conclusions politiques qui se dessinent. Le climatologue français Jean Jouzel, ancien vice-président du Giec et signataire de la lettre, ne cache pas son énervement.
De nombreux sujets de discorde, notamment le financement des pays pauvres et les énergies fossiles, restent à dénouer avant l’adoption d’une déclaration finale ce vendredi soir.
La tenue de la COP sur les changements climatiques tombe vraiment mal. La priorité de l’instant n’est pas climatique, mais résolument géopolitique, économique et stratégique. A la sortie de la pandémie, aucun pays ne veut rater le wagon de la croissance et, au demeurant, perdre une place dans le classement international du pouvoir. Le réchauffement attendra et les dirigeants l’ont bien compris. Pour avoir la paix, il leur a suffi d’émettre un objectif zéro carbone assez lointain dans le temps. L’exemple de la pétrolière Arabie saoudite est particulièrement hilarant.
Le brouillon de l’accord de Glasgow inclut, pour la première fois de l’histoire des COP, la question des combustibles fossiles. Certes, ce passage sera probablement supprimé d’ici à l’adoption finale du texte. L’accord de Glasgow sera à l’évidence très décevant. Mais « avec 20 ans de retard, les combustibles pourraient bien entrer dans le processus de COP. Et c'est peut-être le meilleur moyen de s'assurer qu'ils ne sortent plus jamais du sol », espèrent Nicolas Haeringer, Amélie Canonne et Maxime Combes, depuis la COP26 à Glasgow.
La Première ministre de la Barbade, Mia Mottley, est une puissante défenseuse des nations insulaires, particulièrement vulnérables au changement climatique. À Glasgow, elle dynamite les négociations.
Txai Surui a 24 ans, elle est sur le point d'obtenir un diplôme de droit et appartient à la tribu indigène Paiter Surui. Les peuples indigènes ne participent pas aux négociations de la COP26 à Glasgow, mais grâce à son discours lors de l'ouverture du sommet sur le climat, Txai est devenue l'une des stars de la conférence.
Une douzaine de pays, ne comprenant aucun grand producteur, a lancé jeudi à la COP26 une coalition "Beyond oil and gas" (BOGA, au delà du pétrole et du gaz), pour favoriser la transition hors de ces énergies fossiles. Le Danemark et le Costa Rica, co-présidents, ont présenté cette initiative visant "une sortie maîtrisée du pétrole et du gaz" à laquelle se sont joints 10 autres pays ou "entités sous-étatique": Californie, France, Groenland, Irlande, Italie, Nouvelle-Zélande, Pays de Galles, Portugal, Québec, Suède.
Ce mercredi 10 novembre, c’était la journée consacrée au transport à la COP26. L’occasion de réaliser un focus sur le transport de marchandises, (qui comme d’autres secteurs devra lui aussi faire des efforts pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre (GES).
Avez-vous bien lu nos mises en garde ? C’est la question que posent en substance plus de 200 climatologues, dont le Belge Jean-Pascal van Ypersele, qui appellent la COP26 à agir immédiatement et massivement contre le réchauffement.
Ils auront parlé financements, énergie, jeunesse et transports. Même les forêts et les océans ont eu leur place dans les négociations de Glasgow. L’agriculture, elle, n’aura pas fait date.
Les promesses de réduction des émissions de CO2 pour limiter le réchauffement sonnent creux tant que le monde ne sort pas des énergies fossiles, a déclaré jeudi le secrétaire général de lONU à la COP26.
Depuis le début officiel de la COP26, qui a lieu du 31 octobre au 12 novembre à Glasgow, Action Solidarité Tiers Monde (ASTM) dénonce l’accès inégal des représentant·e·s des pays du Sud à la 26e édition de la conférence et présente ses positions en vue de ce rendez-vous crucial dans la lutte contre le changement climatique. L’ASTM est sur place pour suivre de près les négociations et soutenir les voix du Sud global et des mouvements sociaux.
« Les promesses sonnent creux quand l’industrie des énergies fossiles continue de recevoir des milliers de milliards de subventions (…) ou quand des pays continuent à construire des centrales à charbon », a déclaré, jeudi 11 novembre, le secrétaire général de l’Organisation des nations unies (ONU), Antonio Guterres, à la veille de la fin de la COP26. « Les annonces ici à Glasgow sont [toutefois] encourageantes, mais elles sont loin d’être suffisantes », a-t-il estimé.
À la COP26, les États auront présenté leurs objectifs, plus ou moins ambitieux, en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ce suivi et cette comptabilité climatiques posent plus généralement la question de l’évaluation des performances environnementales de chaque pays.
La Flandre va in fine probablement devoir suivre l'allure du train de la lutte contre le changement climatique. "L'espoir vient de l'union européenne", selon le professeur belge. "L'UE va finir par imposer à la Belgique ce qu'il doit se passer, et la Flandre va devoir s'aligner. Ce qui est dommage, c'est que s'il elle s'y préparerait dès maintenant, ce serait beaucoup plus facile de mettre en oeuvre les politiques nécessaires. On menant ce combat d'arrière garde, elle va rendre le boulot plus compliqué."
Le secteur de la construction est connu pour être l’un des grands acteurs du réchauffement climatique. Il représente en moyenne 11% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde.
Parmi les signataires de la déclaration de la Coalition des hautes ambitions, figurent une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement, dont ceux des pays voisins de la Belgique : France, Allemagne, Pays-Bas, Luxembourg, mais aussi le vice-président de la Commisison européenne, Frans Timmermans.
Une trentaine de pays et une douzaine de constructeurs automobiles se sont engagés mercredi à la COP26 à Glasgow à travailler à la fin de la commercialisation de voitures et camionnettes neuves thermiques au plus tard en 2040.
Pas d’accord belge sur la répartition des efforts climatiques à la COP26 de Glasgow. C’est un revers majeur pour la Belgique, pour le Premier ministre Alexander De Croo, et pour Ecolo avec trois ministres en charge du climat. Un revers de la main infligé par la N-VA.
Les toutes nouvelles promesses annoncées à la COP26 de Glasgow engendreraient un réchauffement de la planète d'environ 2,4°C d'ici la fin du siècle, selon le groupe de recherche Climate Action Tracker. Cela les placerait loin de la limite de 1,5°C, que les scientifiques estiment nécessaire pour éviter les effets les plus dévastateurs du changement climatique.
Le premier projet de résolution de la COP26 publié mercredi encourage les pays à réviser à la hausse leurs engagements de réduction d'émissions de gaz à effet de serre dès 2022, soit trois ans avant la date prévue par l'accord de Paris.
Plusieurs pays et constructeurs ont annoncé mercredi à Glasgow vouloir «faire en sorte que toutes les nouvelles voitures et camionnettes vendues soient zéro émission dans monde d’ici 2040 et au plus tard en 2035 dans les principaux marchés».
De mooie beloftes over netto-nul-uitstoot die overheden en grote bedrijven in het kader van de klimaattop maken, dienen slechts als afleidingsmanoeuvre, schrijven Maureen Santos en Linda Schneider van de Heinrich-Böll-Stiftung. ‘Deze schijnbaar ambitieuze doelstellingen komen neer op de zoveelste ronde van “greenwashing” omdat netto nul niet echt nul is.’
A l’issue du dixième jour des discussions de la 26e Conférence des parties (COP) pour le climat des Nations unies, la Chine et les Etats-Unis ont conclu une « déclaration conjointe sur le renforcement de l’action climatique », a annoncé l’émissaire pour le climat chinois, Xie Zhenhua, mercredi 10 novembre. « Les deux parties reconnaissent l’écart existant entre les efforts actuels et les objectifs de l’accord de Paris, donc nous renforcerons conjointement l’action climatique », a-t-il ainsi déclaré devant la presse depuis Glasgow, en Ecosse.
L’accord annoncé mercredi à la COP26 par la Chine et les États-Unis pour renforcer leur ambition climatique est "un pas dans la bonne direction", a salué dans la foulée le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres. Le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, a également salué cette annonce.
If Cop26 were to be staged, it would be as a political drama in two long acts. Act one would see the leaders of wealthy countries such as Britain, the US and Australia smiling broadly as they strut the Glasgow stage with their friends, wring their hands and manage the world’s expectations. Act two would see them knifing each other offstage and kicking poor countries hard before running away.
Net zero is popular among polluters for good reason – it’s toothless compared to emissions restrictions and a carbon tax
Après dix jours de discussions à Glasgow, une première mouture de la déclaration finale de la COP26 appelle les pays à « réviser et renforcer », dès 2022, les contributions nationales qui fixent les engagements à court terme.
Parmi les thèmes nouveaux qui résonnent dans les halls et les couloirs de la COP 26 cet automne figure celui de la « transition juste ». Ainsi, le 4 novembre dernier, plusieurs chefs d’État et de gouvernement ont co-signé une « Déclaration sur la transition internationale juste ». Mais de quoi parle-t-ton, au juste ?
Les tout nouveaux engagements climatiques des Etats n’ont que marginalement amélioré les chances de l’humanité de freiner le réchauffement de la planète, a regretté l’ONU mardi, appelant encore à plus d’ambition d’ici la fin de la COP26 sur le climat.
Quelque 200 millions d'euros (232 millions de dollars) ont été mobilisés en faveur du Fonds d'adaptation, ce qui représente la levée de fonds la plus importante jamais enregistrée en faveur de ce fonds de l'Onu qui finance des projets et programmes visant à aider des communautés vulnérables de pays en développement à s'adapter aux changements climatiques.
Au programme de la COP26 ce mardi 9 novembre : "Faire progresser l’égalité de genre et la pleine et entière participation des femmes et des filles dans l’action climatique." Genre et climat. Les deux seraient donc liés.
Après une première semaine riche en annonces plus ou moins significatives, la COP26 entre dans le dur. Les négociations sur le climat, qui doivent s’achever vendredi, deviennent plus techniques. Les dirigeants sont en train de bûcher sur «de nouveaux plans climatiques d’ici 2023 pour maintenir 1,5°C à portée de main, les flux financiers, les règles de reporting et le fonctionnement des marchés mondiaux du carbone», résume l’European Climate Foundation. Avec trois mauvais élèves qui tentent de freiner les actions ambitieuses : l’Arabie saoudite, le Brésil et l’Australie. Libération fait le point sur trois dossiers brûlants.
Le rapport annuel de référence du Programme des Nations unies (Pnue) pour l'environnement publié juste avant la conférence climat de Glasgow mettait en garde contre un réchauffement "catastrophique" de +2,7°C, ou de +2,2°C en ajoutant les objectifs de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
La part des énergies fossiles, première source du réchauffement climatique, est aussi élevée qu'il y a dix ans, quand celle des renouvelables n'a que légèrement progressé. Rana Adib, directrice du réseau d'experts Ren21, est venue à la COP26 pour doper le déploiement des énergies vertes. Eolien, solaire, géothermie, hydroélectricité... sont passés de 8,7% à 11% de la consommation énergétique mondiale de 2009 à 2019. Mais sur fond de demande accrue, pétrole, gaz et charbon sont toujours à plus de 80%, souligne ce réseau réunissant chercheurs, agences de l'énergie, ONG, industriels... Alors que faire?
La Belgique ne s'est pas encore accordée sur la répartition de l'effort climatique entre ses différentes entités. Une discussion entre ministres du Climat est encore prévue ce mardi à Glasgow, en marge de la COP26. Quant à la répartition des efforts entre pays de l'UE, le débat doit être mené au sein du Conseil de l'UE.
Le Climate Action Tracker (CAT), un consortium de scientifiques sur le climat, tire la sonnette d’alarme dans sa mise à jour mondiale annuelle publiée ce mardi. Il pointe le déficit de crédibilité de la COP26 à Glasgow alors que l’action réelle des Etats ne reflète pas les promesses de réduction des émissions, à moyen ou long terme. Les parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur le réchauffement du climat ne font ni assez fort, ni assez vite pour limiter la hausse du thermomètre de la planète, selon le CAT.
Alors qu’une centaine de pays dont le Brésil se sont une nouvelle fois engagés lors de la COP26 à mettre fin à la déforestation d’ici 2030, en Amazonie, le jaguar et la harpie féroce se retrouvent déja menacés, au risque de bientôt disparaître. Un danger pour la biodiversité et tout l’écosystème.
Les services de météo britanniques ont présenté mardi, en marge de la COP26, un rapport sur l’une des principales conséquences du dérèglement climatique : le stress thermique, qui nuit aux fonctions vitales du corps humain.
Si l'Union européenne est finalement prête à se joindre, à la COP26, à la "High Ambition Coalition", ce n'est toujours pas le cas de la Belgique, en raison du blocage de la Flandre, a-t-on appris mardi à Glasgow.
La Conférence COP26, à Glasgow prend la mesure du défi qui nous attend. Plusieurs dirigeants ont dit qu’il ont dit qu’il faut agir maintenant pour sauver le monde. L’ancien secrétaire-général de l’ONU Ban Ki Moon a déclaré que nous avions laissé tomber le monde, laissé tomber les communautés les plus vulnérables.
La neuvième journée de la COP26 était réservée à l’étude de la situation plus vulnérable des femmes face au changement climatique.
Les tout nouveaux engagements climatiques des Etats n'ont que marginalement amélioré les chances de l'humanité de freiner le réchauffement de la planète, a regretté l'ONU mardi, appelant encore à plus d'ambition d'ici la fin de la COP26 sur le climat.
Le premier “brouillon” de la décision finale de la COP26 ne mentionne pas les énergies fossiles et leur responsabilité évidente dans le réchauffement. Un “oubli flagrant” dénonce Greenpeace tandis que le pétrole, le charbon et le gaz ont pléthore de “négociateurs” infiltrés à Glasgow, selon Global Witness.
De politieke wereldleiders zijn in Glasgow om tot een klimaatakkoord te komen. Over één aspect wordt hardnekkig gezwegen: het militaire. Wist je dat het leger VS meer CO2 uitstoot dan een land als Zweden? Daarnaast is er een gevaarlijk nucleair opbod bezig in het Midden Oosten.
Eén van ‘s werelds belangrijkste zeereservaten, dat rond de Galapagoseilanden, zal aanzienlijk worden uitgebreid. Dat akkoord sloten Ecuador, Colombia, Panama en Costa Rica vorige week tijdens de klimaattop in Glasgow. ‘We beschermen hiermee niet alleen de toekomst van ons land, maar die van de hele mensheid.’
Minstens 503 lobbyisten voor de fossiele sector hebben een aanvraag ingediend om deel te nemen aan de VN-klimaattop in Glasgow. Die gaat momenteel de tweede week in. Verschillende ngo’s klagen hun massale aanwezigheid aan.
Sustainable food systems are a cornerstone to cutting emissions but have been largely absent from the agenda in Glasgow. Farming is a complex issue on the journey to net zero, as it is both a source and sink for emissions. About 20% of global emissions come from agriculture and land use, and this rises to more than 25% for the food system as a whole, which includes processing, packaging and transport.
Temperature rises will top 2.4C by the end of this century, based on the short-term goals countries have set out, according to research published in Glasgow on Tuesday. That would far exceed the 2C upper limit the Paris accord said the world needed to stay “well below”, and the much safer 1.5C limit aimed for at the Cop26 talks.
La COP 26 s’est ouverte à Glasgow sur un constat alarmant : nos émissions de gaz à effet de serre sont reparties à la hausse et la perspective d’un réchauffement contenu sous les 1,5 °C s’éloigne… La présidence britannique va devoir faire preuve d’un grand volontarisme pour renverser la vapeur. Décryptage avec Céline Phillips, coordinatrice du pôle Initiatives multilatérales de l’ADEME et membre de l’équipe de négociation française à la COP 26.
"Nous envisageons désormais le pire des scénarios, dans lequel nous serions contraints de nous relocaliser avec la submersion de nos terres", a déclaré Simon Kofe, chef de la diplomatie des Tuvalu, lors d'un entretien accordé à Reuters.
le projet Education4Climate s’est notamment penché sur l’offre d’enseignement des universités belges. Il ressort que seulement 3% des cours y sont consacrés à l’université, partiellement ou exclusivement.
In Paris, all governments solemnly promised to come to COP26 with more ambitious 2030 commitments to close the massive 2030 emissions gap that was already evident in 2015. Three years later the IPCC Special Report on 1.5°C reinforced the scientific imperative, and earlier this year it called a climate “code red.” Now, at the midpoint of Glasgow, it is clear there is a massive credibility, action and commitment gap that casts a long and dark shadow of doubt over the net zero goals put forward by more than 140 countries, covering 90% of global emissions.
La COP ne réunit pas que les décideurs politiques, diplomates et fonctionnaires. Des expert·es, des ONG, des jeunes se retrouvent pour des discussions "de couloir" et des discours qui donnent le ton.
Qui pouvait ainsi imaginer que la Chine, puis l'Inde, s'engageraient à la neutralité carbone ? Leur objectif est toutefois plus lointain que la date de 2050 prônée par les scientifiques pour espérer limiter le réchauffement à +1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle, objectif le plus ambitieux de l'accord de Paris.
Alors qu’une quarantaine de pays se sont engagés à ne plus recourir au charbon dans les décennies à venir lors de la conférence sur le climat cruciale de Glasgow, l’Australie n’a pas signé cet engagement.
Les pays vulnérables les plus affectés par les conséquences du réchauffement climatique pourraient voir leur PIB par habitant s'effondrer de plus de 80%, selon un rapport publié lundi à l'occasion de la COP26.
Pascoe Sabido en sait quelque chose, en tant que chercheur pour le groupement d’ONG Fossil Free Politics et le Corporate Europe Observatory il entend ce discours depuis des années et l’a vu progressivement passer de la bouche des industriels à celles des décideurs européens : " Ce que l’on nous dit partout en Europe, c’est que l’hydrogène est le nouveau sauveur. Il va décarboniser nos économies et nous pouvons continuer comme avant simplement en injectant de l’hydrogène dans tout. Mais en réalité, ce récit développé par l’industrie gazière n’est rien d’autre qu’un conte de fées. Et je suis très déçu de voir tous nos gouvernements écouter ces contes de fées au lieu de préparer la sortie de notre dépendance aux énergies fossiles " se désole-t-il.
La promesse non tenue de milliards d'aide climat des pays riches empoisonne la COP26, mais les pays pauvres veulent faire avancer à Glasgow un autre dossier lié : celui des dommages qu'ils subissent déjà.
Sortie des énergies fossiles dès 2022, absence de la France dans des décisions, manifestations en masse à Glasgow... Alors que s’ouvre la deuxième semaine de négociations de la COP26 en Écosse, retour sur ce qu’il ne fallait pas manquer.
"Le greenwashing est le nouveau déni climatique": l'économiste française Laurence Tubiana, directrice de la Fondation européenne pour le climat et l'une des architectes de l'accord de Paris en 2015, met en garde contre des engagements climatiques dont la plupart restent difficiles à vérifier. "Crédibilité et redevabilité seront les mots clés pour cette semaine" ultime de négociations à la COP26, dit-elle.
La plupart des pays ont manqué d'"ambition" pour mettre en œuvré l'accord de Paris sur le climat, a regretté lundi l'ancien président américain Barack Obama, appelant à "faire plus" et louant la "colère" de la jeunesse sur la crise climatique.
A mi-parcours de la COP26, les pays en développement ont fustigé lundi les engagements selon eux insuffisants des pays les plus riches, accusés de sacrifier les vies de milliards d'habitants de la planète en première ligne du réchauffement climatique.
La présence massive des représentants de l’industrie des combustibles fossiles dans les négociations internationales sur le climat inquiète les ONG environnementales, qui demandent des règles plus strictes.
À mi-parcours de la cruciale COP26, l'ancien président américain Barack Obama, en déplacement à Glasgow, a regretté lundi le manque d'ambition de la plupart des pays et salué la "colère" de la jeunesse.
Selon l'ONG Global Witness, qui a épluché la liste des délégations à la conférence sur le climat, le lobby des énergies fossiles, principales émettrices de gaz à effet de serre, est mieux représenté dans les couloirs de la conférence que les pays les plus durement touchés par les conséquences du réchauffement climatique.
Zaterdag zakten enkele honderden klimaatactivisten van Extinction Rebellion naar Brussel om de Wetstraat te bezetten en zo de desastreuze politieke respons op de ecologische crisis aan te klagen. Met deze actie van geweldloze burgerlijke ongehoorzaamheid wilde de beweging woede uitdrukken na jaren van betogen, klimaatspijbelen en petities ondertekenen.
Minstens 503 lobbyisten voor de fossiele sector hebben een aanvraag ingediend om deel te nemen aan de VN-klimaattop in Glasgow. Die gaat momenteel de tweede week in.
En pleine COP26, une enquête du Washington Post montre un écart entre les émissions de gaz à effet de serre déclarées et les émissions réelles. Plus de 8 milliards de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre sont cachées.
Une enquête du quotidien américain The Washington Post constate un « écart significatif » entre le niveau des émissions de gaz à effet de serre officiellement annoncé par certains États… et le niveau réel de ces mêmes émissions. La faute à des méthodes de recueil des données souvent moins exigeantes que celles effectuées par les scientifiques.
Les résultats de la COP26, qui se tient actuellement Glasgow, devront être scrutés à la loupe. Mais il est déjà certain que cette conférence ne résoudra rien, pas plus que la COP21 à Paris en 2015. Pour affronter le basculement climatique, il faudra sortir des logiques productivistes inhérentes au capitalisme et engager une bifurcation vers un tout autre système économique et politique.
8th November, London/ Glasgow - At least 503 fossil fuel lobbyists, affiliated with some of the world's biggest polluting oil and gas giants, have been granted access to COP26, flooding the Glasgow conference with corporate influence. 
Mais selon les observateurs il y a un gouffre entre ces proclamations et les réductions d'émissions à atteindre pour tenir les objectifs de l'accord de Paris: maintenir la hausse des températures par rapport à l'ère pré-industrielle sous la barre de +2°C, si possible 1,5°C.
Le réchauffement climatique menace l’existence d’un lac en Hongrie. Le niveau du lac de Velence, le troisième plus grand du pays, baisse dangereusement. Sa température a grimpé de 1,5 °C en 50 ans. Sa surface rétrécit comme peau de chagrin : 23 kilomètres carrés selon les estimations les pessimistes, contre 28 kilomètres carrés il y a peu encore.
A 10.000 km de son Brésil natal, le chef du peuple kaingang plante un jeune chêne dans la forêt communautaire de Kilfinan, un projet visant à reboiser les Highlands écossais et à apprendre des peuples autochtones d'autres continents, en profitant de la COP26.
"Cette COP est peut-être la première où l'énergie nucléaire a une chaise à la table, où elle a été considérée et a pu échanger sans le fardeau idéologique qui existait avant", dit à l'AFP Rafael Mariano Grossi, le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Différents articles dédiés au réchauffement climatique et à la COP26, sont publiés par notre rédaction ces derniers jours. On y parle de causes, de conséquences… Mais il est tout aussi important de crever quelques abcès et de tordre scientifiquement le coup à quelques idées reçues !
Changer le monde sans violence, est-ce possible ? A l’occasion de la COP26, des mouvements de désobéissance civile non violents cherchent à faire pression sur les gouvernements pour lutter contre le changement climatique. C’est le cas notamment du mouvement écologiste Extinction Rébellion.
Le Congo-Brazzaville va planter 40.000 hectares de forêt en vue de séquestrer plus dix millions de tonnes de carbone et lutter contre les changements climatiques, selon le ministère de l'Économie forestière.
And yet, their leaders continue to avoid making strong commitments on climate action. Heatwaves, droughts, fires and floods will increase in severity and frequency, creating risk and instability for today’s G20 growth models. Most G20 countries share one trait: long and densely populated coastlines, replete with vital infrastructure that will, over time, stand in the way of dangerous turbulence.
«Règles», «finance» et «ambition». Voilà les trois points sur lesquels devront se concentrer les pourparlers en cours à la COP26, qui a officiellement démarré lundi à Glasgow (Ecosse), selon Laurent Fabius.
Plusieurs milliers de personnes ont participé à la marche des jeunes pour le climat à Glasgow ce vendredi, dont l’étudiant Nikita Mickevics interrogé par «Libération», qui ira également défiler samedi lors d’une grande manifestation où sont attendues près de 50 000 personnes.
Prenant la parole devant des milliers de militants en herbe – et d’autres plus chevronnés –, Greta Thunberg n’a pas pris de gants : “Ce n’est un secret pour personne que la COP26 est un échec”, a-t-elle lancé, selon la BBC.
Zuhal Demir (N-VA) s'est en effet envolée lundi en direction de Marbella pour passer deux jours au soleil, tandis que Zakia Khattabi se rendait à Glasgow en train pour la COP26. Bart Somers (Open Vld) s'était lui aussi rendu en Espagne. Ben Weyts (N-VA), Matthias Diependaele (N-VA) et Wouter Beke (CD&V) ont quant à eux préféré rester en Belgique.
La ministre flamande de l'Environnement Zuhal Demir (N-VA) souhaite que l'Europe revoie les objectifs de réduction de CO2 pour la Belgique, écrit samedi Het Belang van Limburg.
"Après des années de manifestations, de pétitions, de campagnes d'absentéisme climatique, etc. L'heure est maintenant à la colère", a déclaré Xavier De Wannemaeker, porte-parole d'Extinction Rébellion. "Les inondations en Wallonie et le dernier rapport du GIEC montrent clairement que la crise écologique est inévitable.
De Sydney à Paris en passant par Londres ou Mexico, plus de 200 événements sont organisés samedi, selon la coalition d’organisations à l’origine de la mobilisation. A Glasgow, des dizaines de milliers de manifestants sont à nouveau attendus.
Pour la huitième fois en 300 ans, la plaque de neige la plus longue et la plus résistante du Royaume-Uni (située en Écosse) a fondu. Selon un expert de la couverture neigeuse, le réchauffement climatique serait un facteur important de cette fonte, à l’heure où la COP26 se déroule à Glasgow
Comme le souligne franceinfo, l’archipel polynésien de 26 kilomètres carrés, divisé en neuf atolls, est menacé par la montée des océans. Pire: si le changement climatique se poursuit à son rythme actuel, les Tuvalu pourraient même avoir disparu dans moins de 50 ans, a alerté Géopolis. C’est le cas de nombreux autres archipels, îles et régions côtières, particulièrement vulnérables face à la montée des eaux.
Une éolienne fonctionne entre 20 et 30 ans. Les Hauts-de-France sont la région qui compte le plus d’éoliennes en France. La question de leur fin de vie se pose aujourd'hui.
Sous une pluie diluvienne, Glasgow était samedi l’épicentre d’une mobilisation mondiale qui doit voir des dizaines de milliers de manifestants à travers la planète appeler à l’action face au dérèglement climatique qui menace l’humanité.
Les activités humaines ont émis 2 500 milliards de tonnes de dioxyde de carbone depuis l’ère industrielle, selon les données du média spécialisé Carbon Brief.
À Glasgow, des entreprises profitent de l’évènement mondial qu’est la COP26 pour couvrir de vert leurs activités nuisibles aux écosystèmes et au climat. Un écoblanchiment (greenwashing) sans vergogne qui ne fait pas illusion.
Dit opiniestuk is gericht aan de regeringsleiders op de COP-26 en werd opgesteld door 60 jonge mensen uit landen van over de hele wereld. Zij zijn samengekomen om een gemeenschappelijke oproep te lanceren voor klimaatrechtvaardigheid.
Prendre la mesure du réchauffement climatique, du trou dans la couche d’ozone, des émissions de gaz à effet de serre ne serait pas possible sans données fiables. Les parties réunies à Glasgow pour la COP26 le savent bien. A Bruxelles, une quinzaine d’experts sur les trente que compte le laboratoire Squares de l’ULB y consacrent leurs recherches grâce aux données envoyées par des instruments placés sur des satellites en orbite autour de la Terre.
La COP26 a enregistré jeudi plusieurs engagements sur les énergies fossiles, principales causes du changement climatique, mais avec de grands absents alors même qu'une étude avertissait que les émissions de CO2 sont quasiment revenues à leurs niveaux records d'avant Covid.
L’empreinte carbone des 1% les plus riches de la population mondiale sera 30 fois supérieure au seuil par habitant fixé par l’Accord de Paris pour limiter le réchauffement à 1,5 °C d’ici 2030, dénonce une nouvelle étude publiée vendredi par Oxfam. Les émissions de CO2 des 50% les plus pauvres devraient quant à elles rester bien inférieures à cette limite, précise l’organisation internationale.
Atteindre la neutralité carbone, améliorer l'adaptation au changement climatique… Que signifient ces expressions utilisées à foison par les institutions et les médias ? France 24 décrypte plusieurs d'entre elles, primordiales pour comprendre les enjeux de la COP26 sur le réchauffement de la planète.
Aucun État ne veut réduire trop drastiquement ses émissions de peur de perdre les avantages économiques et compétitifs liés à une économie carbonée. Ce faisant, c’est le suicide collectif.
À la Conférence de Glasgow sur les changements climatiques, l’Indonésie, pays couvert de forêts sur plus de la moitié de son territoire, s’est engagée à atteindre zéro déforestation en 2030. Mais le gouvernement indonésien semble déjà renoncer à cet accord, évoquant une erreur d’interprétation, voire de traduction.
"Nous avons besoin de plus de nucléaire": 12 syndicats de plusieurs pays expliquent vendredi dans une tribune que cette énergie est "propre, fiable et abordable" et qu'elle préserve l'emploi alors que la crise climatique est actuellement au coeur de la COP26 à Glasgow.
L'organisation de défense de l'environnement Greenpeace estime quant à elle que la réduction des émissions de 40 % est "absolument insuffisante". L'objectif européen est de 55 % et les climatologues nous invitent à être encore plus ambitieux", souligne Mathieu Soete, directeur de campagne de Greenpeace.
Ils veulent des actes, et pas du « bla-bla-bla ». Accusant les dirigeants mondiaux de faire des promesses creuses, les jeunes sont dans la rue, vendredi 5 novembre, à Glasgow (Ecosse) pour pousser les gouvernements à agir, à la fin de la première semaine de la COP26.
Malgré les menaces de mort, le jeune militant colombien Francisco Vera ne baisse pas les bras. Âgé de 12 ans seulement, il a fait de la cause environnementale son fer de lance et s’est rendu à Glasgow pour la COP26, qu’il documente sur les réseaux sociaux.
La conférence climat de Glasgow est "un échec" a fustigé vendredi l'égérie du mouvement des jeunes pour le climat, la Suédoise Greta Thunberg, lors d'une manifestation à Glasgow où se tient la COP26.
Peut-on se présenter à la COP26 sur le climat à Glasgow sans engagement clair pour soutenir les pays en développement et rester crédible sur la scène internationale ? La réponse est non.
D’après une nouvelle étude (1) publiée le 5 novembre, l’empreinte carbone des 1 % les plus riches de la planète sera 30 fois supérieure en 2030 à celle compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5°C, objectif inscrit dans l’Accord de Paris. Ces chiffres sont publiés alors que les délégués du monde entier tentent de maintenir en vie cet objectif à la COP26 de Glasgow.
At Cop26 the wealthy countries cast themselves as saviours, yet their efforts are hopelessly inadequate and will prolong the injustice. the story of the past 500 years can be crudely summarised as follows. A handful of European nations, which had mastered both the art of violence and advanced seafaring technology, used these faculties to invade other territories and seize their land, labour and resources.
Le portrait que la jeune activiste a fait des activités de Shell était aux antipodes de la « bouillie pour les chats » que M. van Beurden venait de décrire. Elle lui a rappelé que Shell, la 7e compagnie à émettre le plus de GES au monde, voulait développer le champ pétrolifère de Cambo, en mer du Nord, relativement près de l’Écosse. Elle lui a remis sur le nez les allégations d’Amnistie internationale qui accuse Shell de complicité active dans l’assassinat d’activistes anti-pétrole au Nigéria.[2] Et enfin, que les belles paroles de M. van Beurden étaient incompatibles avec le fait que Shell interjette appel de la décision d’une cour des Pays-Bas lui ordonnant de réduire réellement ses émissions de 45 % d’ici 2030. [3] Dans ce face-à-face sur l’estrade, la jeune MacDonald a affirmé qu’il n’était pas digne de parler lors d’une conférence sur le climat !
Si certains semblent n’avoir pas eu d’autre choix que de passer par les airs, à l’instar des délégations de pays lointains, d’autres apparaissent bien peu consciencieux. Passage en revue des plus ou moins gros ratés de la COP26.
Les conférences climat de l'ONU ont lieu tous les ans depuis 1995, à l'exception de 2020 en raison de la pandémie. Et "nous sommes à la COP26, alors ça fait plus d'un quart de siècle que nous parlons. Nous avons fait des progrès mais pas assez rapidement", souligne Inger Andersen vendredi dans un entretien avec l'AFP à Glasgow. Et d'ajouter: "L'action doit commencer maintenant".
Les jeunes dans les rues pour dénoncer le « bla-bla-bla » des dirigeants, Greta Thunberg qualifie d’« échec » la COP26
Le sommet sur le climat de Glasgow est le "moment où ça passe ou ça casse" pour la lutte contre le réchauffement climatique, a averti à l'AFP la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern, affirmant que le monde paie déjà le prix de décennies de tergiversations.
Une grande marche a animé les rues de Glasgow ce vendredi après-midi, au cinquième jour de la Conférence des Nations unies pour le climat. A la fin de la manifestation, Greta Thunberg a fustigé l’«échec» de la COP26.
Pour l’ingénieur Vincent Liegey, il n’y a pas grand-chose à attendre de la COP26 qui « ne pose pas les bonnes questions » puisqu’elle « s’intéresse aux enjeux climatiques sans poser la question de notre modèle économique ». À savoir une addiction à la croissance et à la consommation.
La jeune femme plaide, dans un entretien au « Monde », pour davantage de justice dans la lutte contre le dérèglement climatique. Elle est présente à Glasgow pour la COP26.
Is het te laat om een klimaatcrisis te voorkomen? Welke gevolgen staan ons te wachten? Wat is het verschil tussen 1,5°C en 2°C? Wie zal de factuur betalen? Is dit de top van de laatste kans? Antwoorden op deze en andere veel gestelde vragen kan je hier lezen.
Que dit ce rapport du GIEC et pourquoi est-il si important? Que faut-il en retenir? On vous explique tout, en quelques minutes! Les rapports du GIEC sont au coeur des négociations internationales sur le climat telles que la COP1 à Paris en 2015 et la COP26 à Glasgow en 2021.
La planète fait un pas de plus vers la fin des énergies fossiles. Au moins 19 pays ont annoncé jeudi, au 4e jour de la COP26 qui se tient en ce moment au Royaume-Uni, qu’ils stopperont leurs financements dans les projets d’énergies fossiles à l’étranger, d’ici fin 2022. Il s’agit essentiellement des activités qui se font sans techniques de capture de carbone. Parmi les signataires de cet engagement figurent de grands investisseurs comme les Etats-Unis et le Canada.
At COP26 this week, some of the world’s biggest corporate polluters sent huge delegations to proclaim the need for climate action. They’re presenting themselves as the new climate saviors, but averting disaster won’t come from those who make a profit from killing the planet.
Dans le cadre d'un accord de la COP26 visant à ce que 190 pays abandonnent l'utilisation du charbon, certains États comme la Pologne, le Vietnam et le Chili s'engageront, jeudi, à ne pas investir dans de nouvelles centrales à charbon dans leurs pays ou à l'étranger, et à éliminer progressivement la production d'électricité à partir du charbon.
Moins dépendante au charbon que la Chine, l'Inde ou la Bulgarie, la France, qui mise sur son énergie nucléaire, a décidé de fermer ses quatre dernières centrales thermiques alimentées au charbon. Cette susbstance fossile considérée comme une menace majeure pour le climat est un des sujets clés lors de la COP26.
Depuis son entrée dans l'Union en 2007, la Bulgarie a maintes fois tenté de repousser l'échéance mais face à l'urgence climatique, en débat actuellement à la COP26 de Glasgow (Ecosse), les mineurs ne se font guère d'illusions.
"Si on veut protéger l'environnement, il faut prendre des décisions, agir, et ne pas faire de discours", a-t-il ajouté. "Il n'y a aucun pays qui investit 1,3 milliard de dollars par an pour la reforestation".
Très dépendante du charbon, l’Afrique du Sud va entamer sa transition énergétique. Le pays va recevoir, de l’Allemagne, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, une grosse enveloppe : 8,5 milliards de dollars de prêts (à très faible taux d’intérêt et subventions) pour développer les énergies renouvelables. Dans le pays, elles ne comptent que pour 6% de la production d’énergie, contre plus de 80% pour le charbon.
La COP26 a enregistré jeudi plusieurs engagements sur les énergies fossiles, principales causes du changement climatique, mais avec de grands absents alors même qu'une étude avertissait que les émissions de CO2 sont quasiment revenues à leurs niveaux records d'avant Covid.
Au moins 19 pays ont annoncé jeudi s'engager à mettre un terme d'ici la fin de 2022 au financement à l'étranger de projets d'énergies fossiles sans techniques de capture de carbone, parmi lesquels de grands investisseurs comme les Etats-Unis et le Canada.
Dans un rapport publié jeudi, le Programme des Nations Unies pour l’environnement appelle à «relever le niveau de l’ambition» pour s’adapter aux effets dévastateurs du changement climatique, en particulier en matière de financement et de mise en œuvre.
À la COP26, des représentants de peuples indigènes se sont élevés contre les marchés carbone. Ces mécanismes de compensation, souvent qualifiés de « droits à polluer », ont des effets désastreux sur leurs communautés.
Après les grands discours et les quelques annonces - notamment autour de la déforestation et de la lutte contre le méthane - qui ont ponctué le début de la COP26, les négociations rentrent désormais dans le dur. Mais elles risquent d'être particulièrement tendues alors que les pays les moins avancés estiment que les efforts ne sont pas au rendez-vous, notamment en ce qui concerne les 100 milliards de dollars qui devaient leur être versés chaque année à compter de 2020. Ils souhaitent aussi mettre sur la table la question des pertes et dommages.
La Belgique et la Namibie ont signé un protocole d'accord (un Memorandum of Understanding, MoU) pour la coopération entre les deux pays dans le domaine de la production d'hydrogène vert, qui sera ensuite importée, a annoncé jeudi la ministre belge de l'Energie, Tinne Van der Straeten.
L'Indonésie a remis en question jeudi son engagement dans l'accord pour mettre fin à la déforestation d'ici à 2030, signé à la COP26 par une centaine de pays dont cet archipel d'Asie du Sud-Est qui abrite la troisième plus grande forêt tropicale du monde.
L’idée séduisante selon laquelle les entreprises les plus polluantes de la Terre allaient volontairement sauver l’humanité du désastre qu’elles ont aidé à créer apparaît maintenant comme une chimère. Il faut essayer d’autres solutions, et vite.
Les émissions mondiales de CO2 dues à la combustion d’énergies fossiles et à l’industrie devraient « rebondir en 2021 près du niveau d'avant COVID après une baisse sans précédent en 2020 », selon le bilan annuel du Global Carbon Project (GCP)(1), publié ce 4 novembre en pleine COP26(2).
Sur Twitter ce jeudi, la jeune activiste a vivement critiqué l'événement : "La COP26 a été désignée comme la COP la plus excluante de tous les temps. Ce n'est plus une conférence sur le climat. C'est un festival de greenwashing du Nord. Une célébration de deux semaines de business comme d'habitude et de bla-bla-bla".
Cet acccord prévoit notamment que la vente de nouvelles voitures particulières ou camionnettes équipées d’un moteur essence ou diesel sera interdite à partir de 2029; une obligation de rénovation pour toute personne qui achète un logement dont le PEB est inférieur ou égal à E à partir de 2023; la fin du chauffage au gaz au profit des pompes à chaleur dans les nouveaux bâtiments à partir de 2026 ou encore des mesures pour réduire les émissions du secteur agricole.
19 pays et 5 organismes ont ouvert la voie en signant un accord interdisant les financements des énergies fossiles à l’étranger. Serait-ce le début de la fin du charbon, du gaz et du pétrole ? Les associations, du moins, saluent cette avancée.
Glasgow n’est pas seulement la ville où se joue l’avenir de notre civilisation. C’est aussi la ville où s’est joué l’avenir de la révolution industrielle, celle qui a permis de brûler à grande échelle autant de combustibles fossiles.
"Cela ne va pas empêcher la construction de nouvelles centrales en Chine ou ailleurs", a affirmé ce jeudi sur franceinfo Sandrine Mathy, directrice de recherche en économie de l'environnement et de l'énergie au CNRS.
Très émettrices de gaz à effet de serre, les forces armées sont pourtant largement dispensées de tout effort dans la lutte contre le dérèglement climatique. Les auteurs de cette tribune appellent les chefs d’État réunis en Écosse à l’occasion de la COP26 à prendre des mesures pour que le secteur militaire fasse enfin sa transition écologique.
Le panel abordait la question du crédit carbone que Greta Thunberg considère comme "un laissez-passer" pour polluer.
The annual "adaptation gap" report — which published Thursday amid the COP26 climate summit in Glasgow — found that the estimated costs to adapt to the worst effects of warming temperatures such as droughts, floods and rising seas in low-income countries are five to 10 times higher than how much money is currently flowing into those regions.
Une coalition de 190 pays et organisations s’est engagée mercredi soir à sortir de l’énergie charbon dès 2030. Ces accords ont été présentés dans la “Déclaration mondiale sur la transition du charbon vers l’énergie propre”, annoncée officiellement ce jeudi 4 novembre. Pourtant, les solutions proposées semblent encore illusoires pour atteindre une transition énergétique décarbonée d’ici 2030.
Tendances Première : COP26 - Comment agir pour plus de justice sociale et écologique ?
La France, l’Allemagne, l’Argentine, le Canada, le Brésil, les Etats-Unis, l’Indonésie, l’Irak ou encore le Royaume-Uni se sont engagés à réduire les émissions mondiales de méthane d’au moins 30 % d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 2020. Il s’agit du premier engagement politique mondial en la matière.
Des oiseaux qui restent en Europe et ne migrent plus en Afrique, des jeunes oiseaux qui naissent en octobre plutôt qu’au printemps… Pour les scientifiques le constat est clair : le changement climatique impacte tellement les oiseaux qu’il modifie même complètement leur comportement.
L’accord international pour lutter contre la déforestation représente-t-il «trop peu, trop tard» ou marque-t-il un déclic salutaire ?
Deux jours après l’ouverture de la COP26, les climatologues ne sont guère optimistes quant aux engagements qui seront pris par les États, à en croire un sondage publié le 1er novembre par la revue Nature.
Une centaine de pays, représentant 85 % des forêts du monde, se sont officiellement engagés, mardi, lors de la COP26, à enrayer la déforestation d'ici à 2030. Parmi les territoires concernés : la forêt boréale du Canada, la forêt amazonienne mais aussi la forêt d'Afrique centrale.
La COP26 qui réunit actuellement les dirigeants mondiaux à Glasgow, en Écosse, pour un sommet sur le climat a été l'occasion pour le Premier ministre belge Alexander De Croo de s'exprimer sur le sujet. Son allocution a cependant déçu l’initiatrice du mouvement Youth for Climate Belgium, Anuna De Wever: "Des soupirs et des rires d'incrédulité face aux nombreux clichés."
Le naturaliste britannique a exhorté le 1er novembre les délégués présents à la COP26 à s’attaquer fermement au problème du changement climatique. Son discours passionné a provoqué une ovation dans la salle.
Le gouvernement irlandais s’est engagé dans l’accord sur la baisse des émissions de méthane signé à la COP26 et doit annoncer des objectifs au sujet des gaz à effet de serre secteur par secteur, qui font craindre aux éleveurs bovins une réduction du cheptel national.
À l’occasion de la COP26, qui s’est ouverte en début de semaine à Glasgow en Écosse et lors de laquelle les dirigeants de la planète sont censés concentrer leurs efforts pour lutter contre le réchauffement climatique, l’heure est à la coopération régionale en Méditerranée orientale et au Moyen-Orient.
La fondation responsable des normes comptables internationales IFRS Foundation travaille sur de nouvelles normes de reporting des mesures durables. Le but est notamment de lutter contre le greenwashing, qui consiste à se donner une fausse image écologique. Une nouvelle instance a été créée en interne à cet effet, qui démarrera ses travaux début 2022, a annoncé la fondation mercredi à la conférence sur le climat (COP26) qui se tient à Glasgow, en Ecosse.
Environ 450 acteurs financiers se sont engagés, mercredi 3 novembre, à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050. Mais ces promesses laissent sur leur faim les organisations non gouvernementales.
Joe Biden a critiqué mardi l’absence de son homologue chinois à la COP26. Que signifie cette absence, alors que la Chine, le plus gros pollueur de la planète, investit massivement dans les énergies vertes ? Selon Jean-François Huchet, professeur d'économie à l’Inalco, la Chine est "prise dans ses propres contradictions", à la fois concentrée sur ses préoccupations nationales et désireuse de se présenter comme un "bon élève" de la préservation de l'environnement.
Réunis à Glasgow pour la 26e Conférence des Nations unies pour le climat, les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne, mais aussi la France et l’Allemagne, ont annoncé, le mardi 2 novembre, avoir conclu un accord avec Johannesburg pour soutenir la “transition énergétique juste” de l’Afrique du Sud, très dépendante du charbon.
Protection des forêts, neutralité carbone des entreprises... Au rythme des tambours, plusieurs centaines de défenseurs de l'environnement ont dénoncé mercredi dans les rues de Glasgow ce qu'il considèrent comme un "greenwashing" à l'oeuvre à la COP26.
A l’heure de la COP26, des experts pointent un risque de crues catastrophiques qui ne va que s’accentuer si les émissions de gaz à effets de serre ne sont pas réduites: les lacs, particulièrement fragiles, créés par la font des glaciers. Avec une puissance de déversement énorme, ils peuvent détruire des vallées entières.
Les dirigeants mondiaux réunis à Glasgow pour la COP26 doivent s'engager mardi au deuxième jour du sommet sur le climat à enrayer la déforestation d'ici 2030, mais leur promesse est déjà jugée trop lointaine par les défenseurs de l'environnement.
La Chine a augmenté de plus d'un million de tonnes sa production quotidienne de charbon dans un contexte de pénurie d'électricité, au moment où les dirigeants mondiaux négocient âprement un accord à la COP26 pour épargner à la planète un réchauffement climatique "catastrophique".
Le changement climatique est devenu le premier facteur responsable des feux de forêts qui ravagent régulièrement l'Ouest des Etats-Unis, et les activités humaines en sont très majoritairement la cause, indique une étude publiée lundi au moment où la conférence COP26 sur le climat s'est ouverte en Ecosse.
Cette déclaration commune sera adoptée par plus de cent pays abritant 85% des forêts mondiales, dont la forêt boréale du Canada, la forêt amazonienne au Brésil ou encore la forêt tropicale du bassin du Congo.
Depuis 2017, les articles se multiplient sur cet "effet pare-brise". Cette année-là, le journal français Libération parle d’une des "rares études menées en France" sur le sujet. Elle y compare l’examen de cette vitre avant dans les années 80 par rapport aux années 2000. L’Institut national de la recherche agronomique a mené son enquête dans Vosges et la région de Fontainebleau. Le nombre d’insectes a chuté de manière "considérable", relaie le quotidien.
Accusé d’avoir réduit le financement des institutions publiques dédiées à la préservation de l’environnement, le gouvernement brésilien a multiplié les annonces ces dernières semaines pour tenter d’améliorer son image internationale pendant la COP26.
La Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg ont mis sur pied une plateforme d'échange de connaissance et d'expérience sur le climat.
COP26 : quand la majorité de la population mondiale subit les conséquences d’un mode de production et de consommation au service de la classe dominante d’une minorité
La déforestation est une des causes du réchauffement climatique, il est donc crucial de la limiter puisque les forêts permettent d’absorber 30% des émissions de dioxyde de carbone, un gaz à effet de serre, selon le World Resources Institute (WRI).
Moins connu que le CO2, le méthane est un puissant gaz à effet de serre. A l'occasion de la COP26, plus de 80 pays se sont engagés à en baisser rapidement les émissions.
Le réchauffement climatique a beau être un problème mondial, la communauté internationale reste divisée sur les manières d'y faire face. A chaque COP, des groupes de pays aux positions et intérêts opposés se font et se défont. A l'occasion de la COP26 de Glasgow, franceinfo fait les présentations.
La dépendance au charbon en Asie demeure très forte malgré des déclarations publiques des autorités assurant de leur volonté de développer les énergies renouvelables. Décryptage de Nikkei Asia.
Plus de 80 pays, dont l'UE et les Etats-Unis, se sont engagés mardi pendant la COP26 sur le climat à réduire leurs émissions de méthane, puissant gaz à effet de serre, de 30% d'ici 2030 par rapport à 2020, a annoncé la présidente de la Commission européenne.
In the Paris Agreement, over 200 countries decided upon limiting global warming to below 2 degrees Celsius. Belgium, The Netherlands and Luxembourg ratified the agreement and consecutively, in November 2018, they signed the Benelux Talanoa Declaration, emphasizing their common pathway in achieving these goals. In addition, the Benelux Talanoa Declaration calls upon the creation of a platform to enhance further dialogue between the Benelux countries, as well as with stakeholders committed and working towards to the climate objectives on a policy, technical, scientific, practical or more conceptual level.
La Belgique va allouer 200 millions d'euros au cours des prochaines années à la lutte contre la déforestation dans le monde, a annoncé le Premier ministre Alexander De Croo, mardi, devant la COP26 à Glasgow.
La Chine a augmenté de plus d'un million de tonnes sa production quotidienne de charbon dans un contexte de pénurie d'électricité, au moment où les dirigeants mondiaux négocient âprement un accord à la COP26 pour épargner à la planète un réchauffement climatique "catastrophique".
Réduire les émissions de méthane d'au moins 30% d'ici à 2030 pour ralentir le réchauffement climatique : l'engagement pris mardi à la COP26 par une centaine de pays est significatif, selon les experts, qui regrettent toutefois l'absence de certains des gros émetteurs de ce gaz.
Corporate Europe Observatory (CEO) windt er geen doekjes om. De financiële bedrijven schrijven zelf de teksten voor de 'oplossing'. Geen overheidscontrole maar zelfregulering is hun boodschap. De oplossing is nabij ... in 2050. Als het van de politieke leiders afhangt wordt de COP26 een zoveelste propaganda-event voor de multinationals. Alleen tegenactie van de gewone burgers zal dit veranderen.
L’innovation durable ne suffit pas : les transitions ne se feront pas sans exnovation. Il faut une gouvernance spécifique des processus de « sortie de » (des technologies, des infrastructures, des modèles d’entreprise, des pratiques… carbonés et systématiquement non durables) et de leurs conséquences.
L'eurodéputée écologiste Marie Toussaint et plusieurs ONG liées à la protection des océans appellent à mettre fin "au forage des énergies fossiles en mer".
La COP26 se déroulera du 31 octobre au 12 novembre prochains à Glasgow. L’enjeu de ce sommet climatique crucial ? Décider de la feuille de route pour mettre en œuvre l’accord de Paris de 2015. Alors que les émissions de gaz à effet de serre continuent de grimper en flèche, tout échec signerait « un aller simple vers le désastre », a alerté le secrétaire général de l’ONU.
Magali Reghezza-Zitt, géographe et codirectrice du centre de formation sur l'environnement et la société à l'ENS, décrypte les marges de progrès des territoires face à l'urgence climatique. Elle pointe aussi la complexité des solutions et leur caractère politique.
Les délégués de 197 pays et organisations sont réunis à Glasgow, en Écosse, pour la COP26, considérée comme la plus importante conférence climatique depuis celle de Paris, en 2015. Les premières discussions commencent ce lundi 1er octobre et vont durer deux semaines. Objectif : arriver à zéro émission de carbone en 2050 et limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré.
Il est vrai que le pays a une longue tradition pacifiste et écoresponsable. Il a aboli l’armée dès 1948 et sa merveilleuse biodiversité y est protégée depuis longtemps dans des parcs nationaux qui recouvrent près d’un quart de son territoire. Conscient de ses richesses naturelles, le pays a investi dans le développement durable il y a plusieurs décennies. Conséquence : 99% de l’électricité y est aujourd’hui produite par des sources d’énergie renouvelable (hydraulique, éolien, solaire, biomasse, géothermie).
Depuis, certains de ces engagements climatiques ont été revus, et serviront de base aux négociations entre les 196 pays présents à cette COP. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces nouvelles promesses sont loin d’être suffisantes pour rester sous la barre des 1,5°C, et même des 2°C, laissant présager d’âpres négociations afin d’élever les ambitions climatiques.
L’Union européenne entame la COP26, organisée jusqu'au 12 novembre à Glasgow, avec de hautes ambitions climatiques, déroulées ces derniers mois : green deal, paquet législatif contraignant, contributions nationales de réduction des émissions des gaz à effet de serre en hausse, etc.
The United Nations secretary general, António Guterres, on Monday issued a blistering critique of the world’s failure to rein in global warming, calling on countries to return every year to review their climate targets — not every five years, as the Paris climate agreement spells out. “Even if the recent pledges were clear and credible — and there are serious questions about some of them — we are still careening towards climate catastrophe,” he said at the opening ceremony of COP26, the U.N. climate summit in Glasgow.
Il existe un « risque sérieux » que la Conférence des Nations Unies sur le climat (COP26), qui débute dimanche à Glasgow, en Écosse, n’aboutisse pas au résultat souhaité, a déclaré vendredi le chef de l’ONU à des journalistes à Rome, juste avant un Sommet du G20, qui regroupe les principales puissances économiques.
Alors que la COP 26 se tient à Glasgow, il n’y a pas une mais au moins deux manières d’aborder le changement climatique actuel. Par Daniel Hofnung, co-président de la Coordination EAU Île-de-France.
Plus de 920 millions d’enfants gravement exposés au manque d’eau dans le monde
Chers éditeurs de médias du monde entier, Fonte des glaciers, feux de forêt, sécheresses, canicules meurtrières, inondations, ouragans, perte de biodiversité. Ce sont tous les symptômes d’une planète déstabilisée, qui se produisent autour de nous en permanence. ...
Une ferme de 13 hectares en bord de mer et son élevage de moutons vont bientôt devoir déménager. Depuis 1999, les champs sont régulièrement inondés.
La souveraine de 95 ans a dit espérer que cette conférence de deux semaines, à laquelle elle ne peut pas assister en raison de son état de santé, soit "l'une de ces rares occasions où chacun aura la possibilité de s'élever au-dessus de la politique du moment et de faire preuve d'un véritable sens politique".
Au Mali, il est très difficile pour nous, militants, de faire comprendre aux hommes, aux dirigeants et à l’opinion publique l’existence des inégalités de genre. On nous rétorque qu’il s’agit là d’une lecture des rapports hommes-femmes importée d’Occident. Pourtant, les discriminations basées sur le genre existent .. Il est donc compliqué d’expliquer que le changement climatique accentue ces inégalités.
La COP26 a ouvert dimanche 31 octobre à Glasgow, en Écosse. Avant ce grand événement mondial sur le climat, l’Australie a envoyé un signal négatif. Le pays refuse de signer le pacte méthane proposé par l’Union européenne et les États-Unis.


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