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Christine Scharff
Durant les six premiers mois de 2022, la consommation de gaz en Belgique a chuté de 18,5%, selon des chiffres de Fluxys cités par la ministre de l'Énergie Tinne Van der Straeten (Groen).
Difficile, en Belgique, de parler du plan de relance sans qu’on vous cite l’exemple de l’hydrogène. Le sujet est à la mode, il a les faveurs de l’Europe et il permet de mettre en avant la dimension interfédérale de ce plan de relance. Fédéral, Wallonie et Flandre ont en effet déposé des projets en la matière. Seule la Région bruxelloise s’est abstenue. Et pour ne rien gâcher, un certain nombre d’entreprises belges sont déjà bien positionnées dans ce domaine, comme John Cockerill, qui s’est associé à un fabricant chinois d'électrolyseurs.
Le gouverneur de la BNB a profité de la présentation de son rapport annuel pour rompre une lance en faveur d’une taxe carbone. "On ne va pas résoudre les problèmes climatiques sans envoyer un message clair via les prix", estime Pierre Wunsch. Une position qui a aussi le soutien du conseil de régence de la Banque nationale, qui est composé de représentants du monde socio-économique belge. Une taxe CO2 aux montants prévisibles permettrait aux entreprises et aux ménages d’adapter leurs comportements, explique la BNB.
C’est le fédéral qui porte ce projet d’île énergétique. Un projet à ne pas confondre avec celui d’atoll énergétique évoqué durant des années. Le géant du dragage Deme rêvait, avec une série de partenaires, de construire une île artificielle au large du Coq avec au centre un gigantesque puits, beaucoup plus profond que la mer environnante. Il aurait permis de "stocker" l’électricité verte excédentaire produite par les parcs éoliens. En cas de surplus de production d’énergie, l’immense réservoir au centre de cet atoll aurait été vidé grâce à des pompes. Et en se remplissant à nouveau, le réservoir aurait mis en marche d’énormes turbines, pour produire à nouveau de l’électricité. Mais le projet d'atoll énergétique, jugé trop coûteux, a finalement été abandonné.
Nous avons eu Tchernobyl,nous avons eu Fukushima, est-ce qu’il faut vraiment continuer à produirede l’électricité en utilisant une technologie qui en cas de problème,oblige à évacuer la population sur 30 kilomètres au moins?