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EPR

septembre 2024

Le débat public sur la construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Gravelines, près de Dunkerque (Nord), dans un contexte de relance du nucléaire, se tiendra du 17 septembre au 17 janvier, a annoncé mardi la Commission nationale du débat public (CNDP), qui espère une "forte participation".Ce débat est le deuxième organisé par la CNDP après celui de 2022-2023 sur le projet d'une première paire de réacteurs à Penly (Seine-Maritime) et plus généralement sur la relance de l'atome en France souhaitée par Emmanuel Macron.
Le monde se trouve "à la croisée des chemins" et se dirige, s'il n'y prend garde, vers un "avenir dystopique", fait d'escalades militaires, de répression et de désinformation, a averti lundi le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme.
La réaction nucléaire a repris dans le réacteur EPR de Flamanville (Manche), qui avait connu un "arrêt automatique" mercredi au lendemain de son démarrage, a annoncé samedi EDF."Le réacteur de Flamanville 3 est divergé et stabilisé à 0,2% de puissance depuis 08h21", a indiqué à l'AFP un porte-parole du groupe. La "divergence" est le terme technique pour la réaction nucléaire."Les équipes reprennent les activités et essais nécessaires à la préparation du couplage", soit la connexion au réseau électrique, "qui aura lieu d'ici la fin de l'automne", a-t-il ajouté.
Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche) a connu mercredi un "arrêt automatique" au lendemain de son démarrage, et les équipes d'EDF procèdent à des contrôles techniques et à des analyses avant de pouvoir relancer sa "divergence", c'est-à-dire la réaction nucléaire.
Au lendemain de son redémarrage, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville s'est arrêté automatiquement mercredi, a annoncé EDF, qui assure que cet arrêt est la preuve que "le système de sécurité fonctionne bien". Des contrôles sont en cours.
Tout juste démarré, l'EPR de Flamanville tant attendu depuis 12 ans s'est mis en arrêt automatique mercredi, un aléa qui ne surprend guère les experts en énergie tant le processus de mise en route d'un réacteur peut être complexe.Le réacteur nouvelle génération d'EDF, objet d'un chantier émaillé de déboires, avait franchi un jalon important la veille, avec la réalisation de la première fission nucléaire (ou divergence). Mais plusieurs étapes sont encore prévues avant qu'il puisse alimenter le réseau en électricité, "d'ici la fin de l'automne" selon EDF.
L'arrêt automatique du réacteur EPR de Flamanville peu après son démarrage fait suite à "une erreur humaine" dans la configuration de systèmes électroniques, le mode opératoire n'ayant "pas été strictement respecté", a expliqué jeudi l'autorité de sûreté nucléaire (ASN) à l'AFP.
Viser l’allume. Le dernier né des réacteurs nucléaires français a (enfin) produit ses premiers électrons dans la nuit de lundi à mardi, mais le rythme de croisière est encore loin d’être atteint. En pleine relance de l’atome, ce chantier, qui continue d’être marqué par une interminable série de déboires techniques et financiers, est un symbole embarrassant.
Après 12 ans de retard, le premier réacteur français est inauguré ce 16 mai dans la Manche. S’il est dérivé d’une technologie qui équipe les 18 centrales nucléaires d’EDF, sa taille, ses équipements de sureté et sa puissance sont inédits.
Entre le début des travaux en 2007 à Flamanville et le chargement du combustible préalable au démarrage du réacteur prévu cet été par EDF, il se sera écoulé dix-sept ans… au lieu des cinq prévus à l’origine pour le construire.


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