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A69
Sur les réseaux sociaux, des internautes utilisent l’intelligence artificielle pour donner corps à leurs idées politiques… quitte à travestir la réalité. Dernier exemple en date : l’interview caricaturale de faux militant·es anti-A69, permise par les dernières avancées de Google dans le domaine.
Entre 1 000 et 2 000 personnes étaient présentes au rassemblement interdit contre l’autoroute entre Castres et Toulouse, pour lequel 1 500 gendarmes et policiers avaient été mobilisés. Après des jets d’objets divers par certains manifestants, le face-à-face a été tendu mais le bilan reste limité.
Quelque 800 participants à la mobilisation interdite contre l’autoroute Toulouse-Castres ont été dénombrés à ce stade ce samedi 5 juillet au matin à Maurens-Scopont (Tarn), parmi lesquels «la présence importante» de personnes encagoulées ou masquées, a annoncé le préfet du Tarn lors d’une conférence de presse.
La préfecture l’a interdite, mais une nouvelle mobilisation de collectifs écologistes contre l’autoroute A69 Toulouse-Castres s’est déroulée dans une ambiance bon enfant samedi devant un château à Maurens-Scopont (Tarn), où les organisateurs ont ensuite annoncé un défilé à l’extérieur, en présence des forces de l’ordre.
Dégradation de matériel agricole, intimidations, graffitis sur les maisons… Plusieurs opposants à l’A69 ont été directement visés, quelques jours avant un rassemblement festif contre le projet autoroutier.
Suite à la reprise du chantier de l'autoroute A69 entre Toulouse et Castres, et la volonté d'une partie des député·es d'en valider les autorisations environnementales, la députée LFI Anne Stambach-Terrenoir dénonce une tentative de passage en force.
Zones à faibles émissions, A69, normes agricoles… Depuis le début de l’année, une quantité inédite de votes et de décisions politiques mettent à mal l’ambition écologique du pays.
Passage en force de la loi Duplomb, relance du chantier de l’A69, suppression des ZFE : les reculs s’enchaînent sur le terrain de l’écologie. Face à des décisions aux effets dévastateurs, le découragement n’est pas permis.
La justice administrative a tranché : le chantier de l'autoroute Toulouse-Castres, fortement contesté depuis deux ans par les écologistes, va pouvoir reprendre, après trois mois d'arrêt.
Une possible reprise des travaux de l’autoroute A69 entre Toulouse et Castres sera étudiée lors d’une audience devant la cour administrative d’appel de Toulouse mercredi – la décision sera rendue à la fin du mois. En amont, le rapporteur public vient de recommander le redémarrage du chantier.
Déterminés à faire reprendre le chantier de l’autoroute Castres-Toulouse, les sénateurs du Tarn ont obtenu un premier succès ce mercredi 7 mai, avec l’adoption en commission au Sénat d’un texte de loi permettant de rendre à nouveau légaux les travaux. La commission de l’aménagement du territoire de la Chambre haute, réunie dans la matinée, a adopté très largement la proposition de loi des sénateurs centristes Philippe Folliot et Marie-Lise Housseau. L’examen en séance publique, premier rendez-vous majeur pour ces parlementaires favorables au chantier de l’A69, est prévu le 15 mai.
C’est l’autre talon d’Achille de l’autoroute A69. Quelques semaines après la décision du tribunal administratif de Toulouse d’annuler l’autorisation environnementale de l’A69, suspendant ainsi le chantier, les opposants ont les yeux rivés sur le Conseil d’État. Celui-ci pourrait résilier le contrat de concession conclu entre l’État et Atosca, le concessionnaire de l’autoroute Toulouse-Castres. Une audience se tiendra dans les prochaines semaines à Paris, devant la plus haute juridiction administrative.
Le tribunal administratif de Toulouse a stoppé la construction de l’autoroute A69 reliant Toulouse à Castres, le 27 février. Les écologistes jubilent, les politiques locaux sont abasourdis. Mais l’affaire est loin d’être close, rapporte cet hebdomadaire allemand, qui s’interroge sur ce qui adviendra des kilomètres déjà construits.
Des députés et sénateurs vont déposer une proposition de loi pour casser, avant l’appel, la décision de justice qui a mis à l’arrêt le projet d’autoroute décrié. Pointant la séparation des pouvoirs, des juristes s’interrogent sur une manœuvre «inquiétante dans un État de droit».
Le ministre des Transports estime que l’arrêt de l’A69 est une décision « ubuesque » qui ne respecterait pas l’intérêt général. Selon l’auteur de cette tribune, c’est plutôt une application concrète du droit de l’environnement. Jean Olivier est docteur en écologie et président des Amis de la Terre Midi-Pyrénées, l’une des associations qui ont porté le recours en justice contre l’A69.
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