Que ce soit pour alerter sur des pollutions, manifester pour la prise en compte du réchauffement climatique ou défendre une zone et ses richesses en biodiversité, des mobilisations citoyennes s’expriment régulièrement. Voici quelques références sur cet « activisme », toutes thématiques confondues.
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Prévu pour entrer en vigueur en janvier, le traité international de protection de la haute mer adopté à l'ONU doit permettre de donner les moyens aux États d'assurer la préservation des 60 % de la surface des océans qui n'appartiennent à aucun pays. Explications.
Héros des océans pour les uns, réactionnaire pour d’autres, Paul Watson divise. Son invitation à la Fête de l’Humanité relance le débat sur ses alliances controversées et ses propos malthusiens. Reporterre l’a interrogé. […] En 2007, il écrivait qu’il fallait « réduire radicalement et intelligemment la population humaine à moins de 1 milliard ». Dix-huit ans plus tard, il ne se dédit pas. « Cette planète ne peut pas supporter huit milliards d’êtres humains qui mangent des animaux [il est végétalien] », nous dit-il. Lorsqu’on l’interroge sur l’extrême responsabilité d’une minorité de riches face au reste de l’humanité — les 10 % des humains les plus riches sont responsables de plus de la moitié des émissions de CO2 de l’humanité, selon Oxfam —, il élude. « Quelqu’un devra s’atteler à la réduction du nombre d’humains, sinon ce sont les lois de l’écologie qui feront s’effondrer la population », prévient-il.
Le riche homme d’affaires Gerard Barron est le cerveau de The Metals Company, une entreprise canadienne qui veut être la première au monde à extraire des métaux précieux des abysses, dès 2026. Son projet est sur le point de se concrétiser grâce à ses liens étroits avec la sphère politique américaine, encore faut-il que l’Autorité internationale des fonds marins le laisse faire. Portrait.
Le code minier, en discussion depuis des années, n’a pas été finalisé. Le représentant du président français espère que de nouveaux Etats se positionneront en faveur d’une pause de précaution et vise « une coalition de 80 pays » à l’été 2026.
Grâce à Donald Trump et sous couvert de greenwashing, Gerard Barron est l’une des figures de l’exploitation des abysses, très décriée. Le riche PDG veut y extraire des minerais, quitte à tout y détruire.
Le Japon a déclaré que le mandat d’arrêt contre le militant écologiste américano-canadien restait valide, appelant « les parties concernées à procéder à son extradition ».
La compagnie fait miroiter aux investisseurs les profits tirés des minerais abrités au fond de l’océan et tente de forcer le passage pour obtenir un permis d’exploiter, malgré les risques pour l’environnement. Mais la faisabilité technique et la rentabilité de cette activité sont sujettes à caution.
La restauration des écosystèmes détruits par l'extraction minière en haute mer n'est pour l'instant qu'un mirage, estiment les scientifiques. De quoi remettre en question les futures réglementations internationales de la pratique, qui pourraient utiliser la notion de "remise en état des fonds marins".
Dégradations, menaces, désinformation... L’association de protection des océans Bloom subit de nombreuses attaques anonymes. En parallèle, elle est sous pression des lobbies de la pêche industrielle qui l’attaquent en justice.
Les ressources minières des fonds marins n’en finissent plus de cristalliser des tensions internationales. Alors que la prochaine session de négociations de l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM) doit débuter le 7 juillet, l’autorité onusienne se trouve sous pression. Tandis qu’elle planche encore sur l’élaboration d’un Code minier international pour les fonds marins, elle pourrait fait face à une tentative de passage en force de certains industriels et de leur allié américain.
Une étude scientifique souligne la présence de cachalots dans une zone marine où les États-Unis veulent extraire des métaux rares. De quoi rappeler la nécessité d'approfondir les connaissances scientifiques sur l'impact de l'exploitation minière en eaux profondes, souligne Greenpeace.
La conférence de l'ONU sur les océans s'est ouverte lundi à Nice par des appels à la mobilisation et au multilatéralisme pour éviter le chacun-pour-soi dans les eaux internationales, avec en filigrane une dénonciation de la politique unilatérale du président américain Donald Trump, absent du sommet.
Exploiter les métaux rares présents sur les planchers océaniques, au risque d’abîmer des écosystèmes encore méconnus : ce dilemme qui travaille la communauté internationale sera au centre des discussions de la Conférence des Nations unies qui s’ouvre à Nice le 9 juin.
A une semaine du sommet de l’ONU sur les océans, la ministre de la Transition écologique a écrit à ses homologues pour les inviter à faire pression sur deux compagnies d’extraction minière, The Metals Company et Allseas, qui veulent s’allier avec les Etats-Unis de Donald Trump.
Paul Watson : «Il faut être prêt à aller en prison, car c'est là que naissent les vrais changements»
(06/05) - VertQu’y a-t-il de si fascinant chez les cétacés ? À quels sacrifices doit-on se préparer pour les protéger ? Le fondateur de Sea Shepherd, Paul Watson, et la présidente de la branche française de l’ONG, Lamya Essemlali, livrent leur vision du militantisme.
Donald Trump a signé un décret autorisant le démarrage d’extraction minière dans les eaux internationales, violant tous les traités en cours.
Le militant américano-canadien a été libéré mardi après cinq mois de détention au Danemark. Rentré en France, il s’exprimait samedi de la place de la République, où se tenait un rassemblement célébrant sa libération.
Le militant écologiste américano-canadien Paul Watson est arrivé à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle vendredi après-midi peu avant 15H00, après avoir passé cinq mois en détention au Danemark, pays qui a rejeté mardi la demande d'extradition du Japon, a observé une journaliste de l'AFP.
Les autorités nippones ne décolèrent pas après la décision du Danemark de ne pas extrader l’activiste et sa remise en liberté. Dans le pays, on comprend mal l’engouement occidental pour ce militant anti-chasse à la baleine.
Houle puante. Le défenseur des baleines Paul Watson ne sera pas extradé vers le Japon, a confirmé le gouvernement danois mardi. Tokyo ne renonce pas pour autant à ses poursuites. Le Japon et les sociétés baleinières nippones déplorent ce mercredi la libération du militant écologiste.
Le fondateur de Sea Shepherd avait été arrêté le 21 juillet, au cours d’une brève escale au Groenland pour ravitailler en carburant son bateau. Un mandat d’arrêt international avait été émis contre lui à la demande du Japon, en raison d’activités contre la chasse à la baleine en Antarctique qui auraient causé des dommages et des blessures en 2010.
L’entourage du militant a annoncé la libération de Paul Watson, 74 ans, emprisonné au Groenland depuis le 21 juillet dernier. Il devrait se rendre en France, où il réside.
Cela va faire bientôt six mois que Paul Watson a été arrêté et enfermé dans une prison au Groenland, dans l'attente d'une possible extradition vers le Japon. Six longs mois pendant lesquels toute la rédaction de Vakita s'est mobilisée pour médiatiser le sort du capitaine, qui a fêté son 74e anniversaire le deux décembre dernier, loin des siens.
Le tribunal du Groenland doit statuer le 2 décembre pour la sixième fois sur le maintien en détention provisoire du défenseur des baleines, arrêté il y a plus de cinq mois. De son côté, le Danemark tarde à répondre à la demande d’extradition lancée par le Japon.
Japan’s whaling practices are in the spotlight following the arrest of activist Paul Watson. Are they a deeply rooted cultural tradition or a lucrative economic activity?
Incarcéré au Groenland, depuis le 21 juillet, le défenseur des baleines voit sa détention provisoire prolongée, mercredi 13 novembre, dans l’attente de la décision du gouvernement danois concernant son éventuelle extradition.
La détention du défenseur des baleines Paul Watson, arrêté fin juillet au Groenland en raison d'une demande d'extradition du Japon, a été prolongée jusqu'au 13 novembre, selon un communiqué de la police groenlandaise publié mercredi 23 octobre.
Détenu à Nuuk au Groenland depuis le mois de juillet, le militant écologiste souhaite obtenir la nationalité française, selon une information du quotidien «Le Monde», afin de contourner le risque d’extradition vers le Japon.
Ça y est, la bascule est en cours. Nous sommes entrés dans une phase grave, inimaginable et irréversible de notre présence humaine sur la planète.
Incarcéré à Nuuk, capitale du territoire autonome danois depuis 21 juillet, le fondateur de Sea Shepherd voit sa quatrième demande de mise en liberté rejetée ce mercredi. Le tribunal groenlandais prolonge sa détention jusqu’au 13 novembre.
À Bruxelles, une coalition européenne d’ONG, d’activistes et de personnalités publiques a lancé un appel retentissant pour hisser la protection des océans au sommet des priorités politiques.
Le militant écologiste, en détention provisoire au Groenland depuis le 21 juillet, est sous le coup d’une demande d’extradition du Japon pour des faits remontant à 2010.
Incarcéré à Nuuk, capitale du territoire autonome danois depuis le 21 juillet, le fondateur de Sea Shepherd voit sa troisième demande de mise en liberté rejetée, mercredi 2 octobre. Le tribunal groenlandais prolonge donc sa détention.
Le capitaine Paul Watson, arrêté en juillet au Groenland, restera en détention jusqu'au 23 octobre. Le fondateur de Sea Shepherd et défenseur des baleines est au cœur d'une affaire aux motifs fragiles.
Depuis la prison de Nuuk, au Groenland, le défenseur des baleines Paul Watson raconte à Reporterre sa détention, les enjeux du procès qui l'attend le 2 octobre ainsi que les racines de son engagement pour les océans.
Deux experts du droit se penchent sur l’arrestation de Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd et militant contre la chasse à la baleine, en vertu d’un mandat d’arrêt de 2012.
Lors d’une audience à Nuuk (Groenland), mercredi 4 septembre, la justice groenlandaise a décidé de prolonger la détention du défenseur des baleines dans l’attente d’une possible extradition vers le Japon.
L'eurodéputée LFI Emma Fourreau dénonce la posture de M. Macron. D'un côté, il défend Paul Watson, le célèbre défenseur des baleines adepte de méthodes radicales. De l'autre, il criminalise les activistes de Sainte-Soline.
In an interview from jail in Greenland with the AFP news agency, the anti-whaling activist said Tokyo has a vendetta against him.
Par ses actions sur le terrain, il n'a fait que pallier l'impossibilité pour les gouvernements signataires du moratoire de faire cesser la chasse aux baleines.
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