Uniquement les Articles de la décennie 2020
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Ukraine
Puiser dans les stocks européens de batteries Patriot, activer le plan Skyshield, confisquer les 210 milliards d’avoirs russes… Des solutions immédiates existent face à la voracité de Poutine. C’est une question de vie et de mort pour l’Ukraine, alertent des personnalités du monde universitaire, culturel, judiciaire et militaire.
La Russie a intercepté une nouvelle vague d'attaques de drones ukrainiens ciblant Moscou et plusieurs régions frontalières durant la nuit dernière.
Le président Zelensky s’est dit toujours prêt ce samedi 19 juillet à négocier directement avec Vladimir Poutine après des négociations qui ont échoué en juin.
La France a salué, vendredi, l'adoption d'un 18e paquet de sanctions européennes "sans précédent" contre la Russie et ses soutiens, qui prévoit notamment un abaissement du seuil du prix du pétrole brut russe autorisé à l'exportation.
L'UE a adopté vendredi un 18e paquet de sanctions contre la Russie en guerre contre l'Ukraine, qui prévoit un abaissement du prix du pétrole russe autorisé à l'exportation, a-t-on appris de sources diplomatiques. "Nous avons maintenant un accord sur un 18e paquet de sanctions fort et efficace contre la Russie", a assuré un diplomate à Bruxelles à l'issue d'une réunion des ambassadeurs de l'Union européenne vendredi matin. La Slovaquie, qui bloquait jusqu'à présent l'adoption de ce nouveau paquet de sanctions, le 18e depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, a finalement accepté de lever son veto après avoir reçu des garanties.
Se protéger des attaques hybrides menées par la Russie passe notamment par la protection des dissidents russes exilés. Quand le Kremlin veut réduire au silence ses opposants politiques, il n'existe plus aucune frontière.
Une frappe russe contre une zone commerciale dans l'est de l'Ukraine a fait au moins deux morts et une vingtaine de blessés mercredi, ont indiqué les autorités locales, quelques jours après l'ultimatum lancé par Donald Trump à Moscou pour mettre fin à la guerre.
La décision du président américain de livrer des armes à l’Ukraine est un changement bienvenu, mais elle n’implique pas un revirement total de sa politique à l’égard de Moscou.
"Nous pensions avoir un accord à quatre reprises environ, mais, à chaque fois, le président russe a continué à bombarder l'Ukraine", a-t-il dit, en racontant un échange avec la Première dame Melania Trump. "Je rentre chez moi et je dis à la Première dame : 'J'ai parlé à Vladimir aujourd'hui, nous avons eu une merveilleuse conversation'. Et elle me répond : 'Oh vraiment ? Une autre ville vient d'être frappée'".
Le président américain a annoncé, lundi 14 juillet, la fourniture d’équipements militaires à l’armée ukrainienne, en passant par les alliés européens, et menacé les partenaires commerciaux de la Russie d’une surtaxe douanière de 100 %, si aucun accord de cessez-le-feu n’était trouvé dans les cinquante prochains jours.
La cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas a appelé mardi les Etats-Unis à "partager le fardeau" du nouveau plan d'armement de l'Ukraine annoncé lundi par Donald Trump, et dont le financement doit selon lui être assuré par l'Europe et le Canada.
Visiblement excédé par la mauvaise foi de Vladimir Poutine, le président américain a annoncé dimanche soir cette livraison d’armes à la charge de l’Otan.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé dimanche la Russie de multiplier les actes de "terreur" contre les civils en Ukraine, affirmant qu’au cours de la dernière semaine, au moins 1800 drones ont été lancés sur le territoire ukrainien.
Le président Volodymyr Zelensky a exhorté ce samedi 12 juillet au matin à «des décisions rapides» face au «rythme des frappes aériennes russes. Il a aussi évoqué le sujet des «sanctions» contre Moscou, sur lequel Donald Trump pourrait se prononcer lundi.
Le président américain Donald Trump a évoqué jeudi "une déclaration importante" qu'il pourrait faire lundi sur la Russie, se disant "déçu" de la volonté du président Vladimir Poutine de poursuivre la guerre contre l'Ukraine.
Le suicide probable du ministre russe des Transports, Roman Starovoït, annoncé peu après son limogeage lundi par Vladimir Poutine sur fond d'allégations de corruption, a profondément choqué l'élite politique, où chacun redoute de faire les frais de la chasse aux profiteurs.
Une nouvelle attaque «massive» a ciblé la capitale ukrainienne dans la nuit du mercredi 9 au jeudi 10 juillet, causant la mort de deux personnes, quelques heures avant une rencontre de la «coalition des volontaires» européens et une discussion entre Sergueï Lavrov et Marco Rubio.
L'armée de l'air ukrainienne a affirmé mercredi que la Russie avait lancé dans la nuit sa plus grande attaque de drones et missiles depuis le début de l'invasion en février 2022, dans un contexte d'intensification des frappes russes.
La Russie est reconnue coupable d'exécutions de "civils et de militaires ukrainiens hors de combat", "d'actes de torture", de "déplacements injustifiés de civils" ou encore de "destructions, pillages et expropriations".
L’Ukraine a affirmé mercredi 9 juillet que la Russie avait lancé dans la nuit de mardi à mercredi sa plus grande attaque de drones et missiles depuis le début de l’invasion en février 2022.
Malgré l'annonce récente d'une suspension partielle des livraisons, Donald Trump a affirmé lundi vouloir renforcer l'aide militaire, dans un contexte de tensions croissantes avec Vladimir Poutine. Sur le terrain, les combats s’intensifient : la Russie revendique une avancée inédite dans le centre-est de l’Ukraine, tandis que les deux camps multiplient les frappes de drones.
Après avoir annoncé l’arrêt des livraisons américaines il y a quelques jours, le président républicain a annoncé dans la nuit de lundi 7 juillet l’envoi d’armes à Kyiv, «principalement» «défensives».
Donald Trump a accusé Vladimir Poutine de dire "beaucoup de conneries" à propos de l'Ukraine, tout en laissant entendre qu'il souhaitait imposer de nouvelles sanctions à Moscou, lors d'un Conseil des ministres mardi.
La suspension des aides américaines, à Kiev, s’inscrit bien dans les plans militaires du chef du Kremlin : intensifier cet été son offensive en Ukraine et entretenir un conflit sans fin, synonyme de survie de son régime grâce à la nouvelle « stabilité » bâtie sur l’économie de guerre.
Le ministre russe des Transports, Roman Starovoït, démis de ses fonctions lundi par le président Vladimir Poutine, s'est suicidé, a annoncé quelques heures plus tard le Comité d'enquête russe dans un communiqué.
Le Conseil des Ministres a donné son feu vert pour l'envoi urgent de matériel militaire à l'Ukraine, dont 11 ambulances et 102 camions Unimog 4000, a annoncé lundi le cabinet du ministre de la Défense Théo Francken (N-VA).
Ce samedi 5 juillet en soirée, Zelensky est revenu sur son appel téléphonique de la veille avec Trump, le qualifiant de "la meilleure discussion depuis le début, la plus productive".
Le président américain Donald Trump s'est dit vendredi "très mécontent" de son appel téléphonique la veille avec Vladimir Poutine, qui n'a pas apporté de progrès pour parvenir à mettre fin à la guerre en Ukraine, estimant que son homologue russe voulait "juste continuer à tuer des gens".
Au lendemain de son dernier échange avec le président russe concernant la guerre en Ukraine, le locataire de la Maison Blanche a concédé vendredi 4 juillet au soir que la situation est «très difficile».
Après l’attaque russe de drones la plus importante depuis le début de l’invasion, les présidents ukrainien et américain se sont entretenus sur la nécessité de «renforcer la protection» de l’espace aérien de l’Ukraine.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a condamné samedi la plus importante attaque de drones et de missiles menée par la Russie depuis le début de la guerre en Ukraine il y a trois ans.
Une personne a été tuée dans la nuit de jeudi à vendredi par une attaque de drones ukrainiens dans la région de Rostov, dans le sud de la Russie, a annoncé le gouverneur régional, les autorités ukrainiennes faisant état pour leur part d'au moins 14 blessés dans des frappes russes sur Kiev.
Le président ukrainien s'est entretenu par téléphone avec le locataire de la Maison-Blanche.
L’alimentation électrique de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a une nouvelle fois été coupée vendredi, indique l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) sur le réseau social X. La centrale nucléaire "dépend actuellement de l’électricité fournie par ses générateurs diesel de secours, ce qui souligne l’extrême précarité de la sécurité nucléaire", souligne l’AIEA. Les systèmes de refroidissement des réacteurs à l’arrêt nécessitent une alimentation électrique stable. La cause de la panne reste indéterminée.
Les grandes villes seront plus vulnérables aux bombardements russes en raison du gel de l’aide américaine sur les défenses antiaériennes les plus cruciales. Les Européens ne sont pas en mesure de combler rapidement le vide laissé dans l’arsenal de Kiev.
A l’heure du désengagement américain, et où l’attention générale est tournée vers le Moyen-Orient, Kyiv a besoin d’un soutien occidental franc pour espérer une issue au conflit favorable aux Ukrainiens.
Washington a annoncé mardi suspendre une partie de son aide militaire à Kiev, invoquant la préservation de ses stocks d’armement, au moment où la Russie intensifie ses frappes sur le territoire ukrainien.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, les combats ont souvent été décrits en termes de villes assiégées, de lignes de front mouvantes et de frappes stratégiques. Mais un autre front, moins visible, est en train de se dessiner : celui des ressources critiques. Et parmi elles, le lithium, surnommé « l’or blanc » de notre époque, attire toutes les convoitises. Récemment, les forces russes ont pris le contrôle d’un gisement de lithium majeur situé près du village de Shevchenko, dans la région de Donetsk, à l’est de l’Ukraine. Ce site, encore peu connu du grand public, recèle pourtant l’une des plus grandes réserves de lithium d’Europe, sur une surface de plus de 40 hectares.
Au forum de Saint-Pétersbourg, qui s’est tenu du 18 au 21 juin, le chef du Kremlin a exclu toute entrée en récession, mais les chiffres indiquent bel et bien un ralentissement. Au gouvernement, les voix sont discordantes.
L'armée russe a réalisé en juin ses plus larges avancées en territoire ukrainien depuis le mois de novembre et a accéléré sa progression pour le troisième mois d'affilée, selon l'analyse par l'AFP des données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW).
L’armée ukrainienne a affirmé avoir essuyé dans la nuit de samedi à dimanche les frappes aériennes russes “les plus massives” depuis le début de la guerre, en février 2022. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a pour sa part lancé le processus de retrait de Kiev de la convention internationale interdisant les mines antipersonnel.
Les missiles et les drones russes ont été interceptés à 88 % par la défense antiaérienne, selon l’armée ukrainienne. Seul un pilote de F-16 a perdu la vie dans la nuit de samedi 28 à ce dimanche 29 juin.
Le président ukrainien a signé dimanche un décret prévoyant le retrait de l’Ukraine de ce traité, qui interdit la production et l’utilisation de mines antipersonnel. Kiev l’avait ratifié en 2005, alors que Moscou n’en a jamais été signataire.
Le président Zelensky a signé un décret, dimanche 29 juin, prévoyant la sortie du pays de la convention d’Ottawa. La Russie, non-signataire, fait déjà un usage massif de ces armes aveugles, qui mutilent les civils à long terme.
L’Estonie et la Lituanie ont annoncé vendredi soir avoir notifié formellement à l’ONU leur retrait de la convention internationale interdisant les mines antipersonnel, en vue de renforcer leur défense à la suite de l’agression russe en Ukraine.
La Défense belge a officiellement fait don jeudi du chasseur de mines Narcis à l'Ukraine, annonce-t-elle dans un communiqué. Une cérémonie a eu lieu à Zeebrugge en présence du ministre de la Défense Theo Francken et de son homologue néerlandais Ruben Brekelmans.
La création de cette cour permettrait de contourner l’impossibilité de juger le «crime d’agression» à la Cour pénale internationale, non reconnue par la Russie.
Les dirigeants des 27 pays membres de l'Union européenne, réunis en sommet à Bruxelles, ont donné leur accord pour prolonger leurs sanctions contre la Russie pour six mois supplémentaires, a-t-on appris de sources diplomatiques.
Les chefs d'Etats membres de l'OTAN se sont réunis à) La Haye pour discuter de l'avenir de leur alliance.
Le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte a accueilli le président ukrainien Volodymyr Zelensky à La Haye mardi, à l'occasion du sommet de l'Alliance atlantique qui s'y déroule. Il l'a salué, soulignant qu'il se trouve "parmi des amis" et l'assurant du soutien "irréversible" de l'organisation.
Nadejda Rossinskaïa a été condamnée à 22 ans de prison pour « haute trahison ». Elle se trouvait dans le viseur des services de sécurité intérieure du FSB pour son engagement public en faveur des Ukrainiens, victimes de l’invasion russe.
Des bombardements sur Kiev et sa région dans la nuit ont fait au moins sept morts, ont annoncé lundi les autorités ukrainiennes, faisant aussi état de deux morts dans le nord de l'Ukraine, dont l'armée a promis d'intensifier ses frappes sur la Russie.
L'Ukraine entend frapper plus loin.
La Russie intensifie sa présence militaire à proximité de sa frontière avec la Finlande, un peu plus de deux ans après l'adhésion de ce pays à l'Otan.
Les frappes ont duré près de neuf heures et mobilisé un grand nombre de drones d’attaque kamikazes ainsi que des missiles de croisière.
Des frappes russes ont fait au moins 14 morts dans la nuit de lundi à mardi à Kiev, a indiqué le chef de l'administration militaire de la capitale ukrainienne, Timour Tkatchenko.
Du fait des sanctions et de l’effondrement des cours, les recettes des ventes de carburant fossile de la Russie à l’étranger ont drastiquement diminué sur les cinq premiers mois de l’année.
La Commission a détaillé mardi les étapes en vue d'interdire les importations de gaz russe dans l'Union européenne d'ici à fin 2027 et de contourner le veto de la Hongrie et de la Slovaquie au sein des 27. Cette proposition législative va être soumise aux Etats membres et au Parlement. Les discussions s'annoncent sensibles car certains pays redoutent des difficultés juridiques pour mettre un terme aux contrats de longue durée scellés avec la Russie. La Commission européenne revendique une approche "progressive".
Les Ukrainiens fuyant le conflit avec la Russie bénéficient depuis 2022 d'un statut unique leur permettant de séjourner, de travailler et d'accéder à des aides au sein de l'UE.
Vladimir Poutine a déjà fait tuer ou mutiler des centaines de milliers de Russes et d’Ukrainiens. Le président de la Fédération de Russie laissera cette marque dans l’histoire – celle du commanditaire d’une « guerre de choix ». En toile de fond de l’agression qu’il poursuit depuis plus de trois ans, la même question, jamais bien posée, jamais vraiment élucidée, tourne au fil des batailles du Donbass : pourquoi cette tuerie ? C’est une question-clé pour comprendre toute la difficulté qu’il y a à esquisser une possible négociation.
Des attaques aériennes massives ont visé la capitale ukrainienne et la ville portuaire d'Odessa dans la nuit de lundi à mardi. Elles ont fait un mort et plusieurs blessés à Odessa, où une maternité a été touchée et des bâtiments résidentiels détruits.
Alors que les initiatives diplomatiques pour obtenir de Vladimir Poutine un cessez-le-feu de trente jours en Ukraine sont au point mort, la Commission européenne a proposé, mardi, un nouveau train de sanctions contre la Russie afin de « faire monter la pression » sur le Kremlin.
L'Union européenne veut réduire les revenus pétroliers de la Russie, pour la contraindre à négocier avec l'Ukraine, quelques jours avant un sommet du G7 au Canada, dont l'UE espère qu'il décidera de nouvelles sanctions contre Moscou.
Selon l'armée de l'air ukrainienne, la Russie a lancé dans la nuit de dimanche à lundi un nombre record de 479 drones explosifs sur l'Ukraine. Cette nouvelle série d'attaques intervient alors que Moscou refuse toujours les demandes de Kiev en vue d'un cessez-le-feu.
Le président ukrainien s'est confié dans une interview au sujet des relations entre l'Ukraine et les États-Unis.
Le constructeur automobile français Renault va s'implanter en Ukraine pour produire des drones destinés à l'armée ukrainienne mais aussi à l'armée française, a affirmé franceinfo dimanche.
Ce chiffre a été repris des services de renseignement britanniques. Mais d’autres données, établies en sources ouvertes, sont assez proches, notamment concernant les morts, estimés à 200 000.Le nombre est aussi symbolique qu’impressionnant : à l’été 2025, la Russie devrait avoir atteint la barre du million de pertes humaines (morts et blessés) en Ukraine, selon un rapport du Center for Strategic and International Studies (CSIS), un centre américain d’études géopolitiques basé à Washington.
Les autorités russes ont recensé jeudi une nouvelle explosion, quelques jours seulement après deux attaques perpétrées contre le réseau ferroviaire, dans des régions proches de la frontière ukrainienne.
À Istanbul, le Kremlin a présenté le 2 juin un "mémorandum" détaillant ses conditions pour la mise en place d'un cessez-le-feu. Comme prévu, celui-ci réclame l'annexion supplémentaire de quatre régions d'Ukraine, le désarmement de son armée et le contrôle de sa diplomatie. Le document révèle également la volonté russe de contrôler la tenue d'élections, la politique linguistique et religieuse de son voisin. Il veut aussi se prémunir contre de futures demandes de réparations de guerre.
Un haut responsable ukrainien a averti mercredi les États-Unis que l'armée russe préparait des avancées militaires importantes en 2026, dont un barrage de l'accès ukrainien à la mer Noire, crucial pour Kiev.
La Commission européenne a proposé mercredi de prolonger d'un an, jusqu'en mars 2027, la protection accordée aux réfugiés ukrainiens dans l'UE, tout en engageant pour la première fois une réflexion sur leur avenir.
La Belgique adhère à la coalition de guerre électronique "Electronic Warfare Coalition", a annoncé mercredi le ministre de la Défense, Theo Francken, à la suite d'une réunion du groupe de contact Défense Ukraine.
Selon le Premier ministre moldave, la Russie souhaiterait faire stationner 10 000 soldats en Transnistrie. Et pour ce faire, Moscou compte adopter une stratégie bien particulière.
Sur le front, les militaires ukrainiens constatent les premières frappes menées par des munitions rôdeuses de longue portée, parfois guidées par une intelligence artificielle. Ces armes risquent d’être bientôt utilisées en très grande quantité, constituant une grave menace pour la logistique ukrainienne.
L'armée ukrainienne a annoncé avoir attaqué sous l'eau la structure construite par la Russie. Une opération longue de plusieurs mois.
Le conflit en Ukraine dans une impasse? La dernière sortie du porte-parole du Kremlin ne rassure pas
(03/06) - Belga,Le Kremlin a dit mardi ne s'attendre à aucune "avancée" rapide dans le règlement "extrêmement complexe" du conflit en Ukraine, au lendemain de nouveaux pourparlers russo-ukrainiens en Turquie qui n'ont pas abouti à un cessez-le-feu, les deux parties campant sur leurs positions.
Une quarantaine d’avions, dont des bombardiers, auraient été endommagés par Kiev. Au-delà des dommages stratégiques, qui restent à établir avec précision, cette opération est avant tout une humiliation pour Moscou, qui a laissé son aviation sans protection.
Volodymyr Zelensky lui a rendu un vibrant hommage pour son rôle dans l’opération "Toile d’araignée" qui a frappé l’aviation russe jusqu’en Sibérie. Nommé chef du Service de sécurité ukrainien après le début de l’invasion russe à grande échelle de l’Ukraine, le discret général Vasyl Malyuk est considéré comme l’une des figures les plus influentes du premier cercle du président ukrainien. Portrait.
Dans un entretien accordé à France 24, le Premier ministre ukrainien, Denys Shmyhal justifie les frappes de drones massives contre quatre aérodromes russes, dimanche, comme un moyen de "libérer notre espace aérien des bombardiers russes" et de protéger la population ukrainienne "d'attaques nocturnes sur les infrastructures civiles".
D’après le service de sécurité ukrainien, 1 100 kilogrammes d’explosifs auraient été déclenchés ce matin sur les piliers de l’édifice.
"Toile d'araignée" : ce que l'on sait de l'opération "d'ampleur" ukrainienne contre l'aviation russe
(02/06) - France24,Après des mois de préparation, l'Ukraine a mené dimanche une série d'attaques de drones sans précédent contre des bases aériennes russes situées à des milliers de kilomètres du front. Voilà ce que l'on sait de cette opération baptisée "Toile d'araignée" et ses conséquences.
La délégation ukrainienne est arrivée lundi matin à Istanbul pour une seconde session de pourparlers avec les émissaires russes, au lendemain de l'une des attaques ukrainiennes les plus audacieuses et réussies jamais menées sur le sol russe.
Moscou continue de déployer ses forces en Ukraine, tandis que Kyiv, au contraire, peine à regagner du terrain.
Au lendemain des attaques ukrainiennes sur le territoire russe, nous avons échangé avec Alain De Neve, chercheur à l'École royale militaire. Si cette opération a fait autant de dégâts que ceux avancés par Kiev, quel impact sur la guerre dans son ensemble ?
L'Ukraine a détruit plus d'un tiers des porte-missiles russes lors d'une attaque coordonnée de drones orchestrée dimanche depuis le territoire russe. Comment l'opération "toile d'araignée" a-t-elle été planifiée et comment a-t-elle été exécutée ?
A la veille de pourparlers en Turquie, l’Ukraine a frappé massivement l’aviation militaire russe très loin du front
En décembre 2022, les forces ukrainiennes utilisèrent des drones de conception soviétique, probablement des Tupolev Tu-141 « Strizh » pour attaquer les bases aériennes russes de Diaguilevo et d’Engels qui, situées à plus de 500 km de leur territoire, abritaient alors des bombardiers stratégiques Tu-95 « Bear », Tu-22M3 « Backfire » et Tu-160 « Blackjack ».
Les forces ukrainiennes ont lancé ce dimanche une série d’attaques très en profondeur du territoire russe, frappant des bases hébergeant des bombardiers stratégiques avec des petits drones et des maisons en bois.
L'Ukraine a mené, dimanche 1er juin, une vaste opération contre plusieurs aérodromes militaires russes, et a notamment touché une base en Sibérie orientale, à des milliers de kilomètres de ses frontières.
L’Ukraine a frappé simultanément quatre bases aériennes russes ce week-end. Il s’agit de la première attaque de longue portée de ce type, mais selon une source à la Maison Blanche, les États-Unis n’étaient pas au courant de l’attaque et n’y ont pas participé.
Une attaque de drone sans précédent au fin fond de la Russie qui marque un tournant dans la guerre moderne.
À la veille des pourparlers qui doivent reprendre lundi matin en Turquie, les Ukrainiens ont réalisé l'impensable en allant détruire des avions stratégiques ennemis avec des petits drones kamikazes cachés sur le sol russe.
Quel bilan tirer de l’opération sans précédent menée par l’Ukraine en Russie ce dimanche ? Présentée comme une victoire par le président Zelensky, l’attaque de drones a bien endommagé une quarantaine d’avions russes. Pour autant, cette "opération toile d’araignée" a surtout une portée symbolique, "un message clair "que l’Ukraine n’est pas près de baisser les bras.
L’attaque a été menée à l’aide de plusieurs dizaines de petits drones lancés à partir de conteneurs installés clandestinement à proximité des aérodromes.
La compagnie ferroviaire évoque une « interférence illégale » comme cause de la catastrophe, qui a aussi causé une trentaine de blessés. L’effondrement de deux ponts dans les régions russes de Koursk et de Briansk, frontalières de l’Ukraine, dans la nuit de samedi 31 mai à dimanche 1er juin, a été provoqué par « des explosions », selon le Comité d’enquête de Russie. L’incident de Briansk a causé la mort de sept personnes et 66 blessés, selon le gouverneur de l’oblast, Alexandre Bogomaz.
Au moins sept personnes ont été tuées et près de 70 autres blessées dans l'effondrement d'un pont sur une voie ferrée dans le sud-ouest de la Russie, qui a fait dérailler un train samedi soir près de la frontière ukrainienne, selon les autorités russes. Un autre effondrement de pont ayant provoqué la chute d'une locomotive a été signalé dans la région de Koursk.
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.
L'Ukraine a mené dimanche une série d'attaques contre des bases aériennes russes à l'aide de drones, a déclaré une source au sein des services de sécurités ukrainiens (SBU), selon qui plus de 40 avions militaires ont été touchés.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué dimanche les résultats "brillants" de l’attaque de drone coordonnée menée par ses services contre des aérodromes militaires en Russie, affirmant que son pays n’avait jamais mené d’opération à si "longue portée". "Il s’agit de notre opération à la plus longue portée", a-t-il dit en évoquant des "résultats absolument brillants". Il a par ailleurs assuré que les agents impliqués dans la préparation de l’attaque ont été "extraits du territoire russe à temps".
Les services de sécurité ukrainiens affirment ce dimanche 1er juin avoir touché plusieurs cibles militaires, à des milliers de kilomètres pour certaines.
Selon Kiev, l'attaque de drones qui a ciblé des dizaines d'avions militaires russes, dimanche, aurait causé des dégâts à hauteur de 7 milliards de dollars.
Kiev dit avoir détruit plus de 40 avions militaires russes dans plusieurs aérodromes russes, dont un situé à plus de 4 000 kilomètres du front.
La Russie a revendiqué samedi 31 mai la prise d’un nouveau village ukrainien. Kyiv a ordonné des évacuations, pour parer à d’éventuelles attaques.
L'Ukraine se dit prête à participer à de nouveaux pourparlers avec la Russie, prévus lundi à Istanbul, mais exige un document précisant les conditions de Moscou pour une paix durable. Un premier cycle de négociations, tenu le 16 mai sous pression américaine, n'avait pas abouti.
Pour s’attaquer vraiment aux racines de la guerre en Ukraine, la Russie doit commencer par reconnaître et combattre la corruption systémique, qui représente une menace pour les Russes comme pour le reste du monde, estime le spécialiste américain en affaires publiques et internationales Matthew H. Murray, dans une tribune au « Monde ».
Le Kremlin a écarté ce vendredi 30 mai l’hypothèse d’une rencontre Poutine-Zelensky-Trump, sous l’égide du Turc Erdogan, conditionnant tout sommet de ce type à l’obtention de «résultats» dans les négociations avec Kyiv.
Les États-Unis exhortent la Russie à accepter l'accord actuel sur la guerre en Ukraine. "L'accord proposé actuellement est le meilleur résultat possible pour la Russie. Le président Poutine devrait l'accepter", a déclaré un représentant américain au Conseil de sécurité des Nations unies.
Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.
Moscou avait prévenu que des livraisons directes d’armes à longue portée, qui permettraient à Kiev de se défendre contre des cibles militaires sur le territoire russe, seraient considérées comme une implication de Berlin dans la guerre. La production en commun annoncée par le chancelier permet de contourner cet obstacle.
Quelque chose est en train de bouillir à la Maison blanche. Comme une soupe épaisse sur un feu médiatique. Un mélange de frustration, de justifications et de craintes. De "Je m’entends bien avec Vladimir Poutine", à "Il a dû lui arriver quelque chose", Donald Trump change progressivement son discours sur le président russe. Un changement pas encore radical mais perceptible en cinq mois à peine.
La Russie a proposé mercredi à l'Ukraine une deuxième séance de pourparlers directs à Istanbul, le 2 juin, afin de lui transmettre son "mémorandum" censé exposer les conditions russes pour un accord de paix durable
La Belgique a décidé de se joindre à la "coalition des drones" en faveur de l’Ukraine, a annoncé mercredi le ministre de la Défense, Theo Francken (N-VA) en marge d’une réunion à Riga, en Lettonie. En janvier dernier, on apprenait qu’une coalition internationale visant à fournir des drones à l’Ukraine, codirigée par le Royaume-Uni et la Lettonie, allait envoyer 30.000 nouveaux engins à Kiev. La Belgique en fera donc partie.
Donald Trump, qui pourrait annoncer bientôt de nouvelles sanctions contre la Russie selon des médias américains, a une nouvelle fois laissé éclater mardi sa frustration envers Vladimir Poutine, estimant qu'il "jouait avec le feu".
C’est l’histoire d’une guerre qui défie le temps, les traités… et les marchés. Alors que le conflit russo-ukrainien s’enlise et que les perspectives de négociations paraissent de plus en plus incertaines, les experts de JPMorgan Chase, première holding bancaire américaine, dressent une cartographie des issues possibles. Derrière les scénarios dits géorgien, sud-coréen, israélien ou biélorusse, une même ligne de fracture : entre concessions politiques et garanties de sécurité, quelle paix peut encore émerger d’un champ de ruines ? À la clef, pour les marchés et les investisseurs, un enjeu stratégique majeur : évaluer les risques systémiques d’une guerre qui redessine l’ordre mondial et ses équilibres économiques.
Donald Trump a affirmé dimanche que Vladimir Poutine était "devenu complètement fou", durcissant le ton contre Moscou après un week-end d'attaques russes meurtrières contre l'Ukraine malgré les appels au cessez-le-feu.
Après un week-end marqué par des attaques russes meurtrières contre l’Ukraine, le président américain a durci le ton contre Moscou, évoquant même une potentielle «chute de la Russie» si Poutine s’emparait du territoire ukrainien.Comme à son habitude, Donald Trump n’y est pas allé par quatre chemins. «J’ai toujours eu de très bonnes relations avec [le président] russe, Vladimir Poutine, mais quelque chose lui est arrivé. Il est devenu complètement FOU ! Il tue inutilement un grand nombre de personnes, et je ne parle pas seulement des soldats», a écrit dimanche 25 mai le président américain sur son propre réseau, Truth Social, durcissant le ton contre Moscou après un week-end d’attaques russes meurtrières contre l’Ukraine, et ce malgré les appels au cessez-le-feu.
Le chancelier allemand a affirmé lundi que les principaux alliés occidentaux de l'Ukraine, dont l'Allemagne, ne fixaient plus de restrictions sur la portée des armes fournies à Kiev, sans toutefois dire concrètement ce que cela signifiait pour les livraisons futures.
Le chancelier a annoncé que les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni se joignaient à l’Allemagne dans ce changement de doctrine militaire, mais aucun de ces pays n’a encore confirmé. La Russie a fustigé une « décision assez dangereuse ».
Ils sont dans le collimateur des espions américains, français, danois, allemands, suédois, estoniens... En tout, onze agences de renseignement et de sécurité informatique occidentales ont publié un rapport conjoint, mercredi 21 mai, sur la menace représenté par Fancy Bear, un groupe de pirates informatiques russes lié au GRU, le service russe de renseignement militaire.
L’Ukraine a rejeté vendredi la proposition du président russe Vladimir Poutine de créer une zone tampon le long de la frontière ukrainienne. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga estime que ces plans montrent que la Russie n’a aucune intention de mener des pourparlers de paix. "Poutine reste la seule raison de l’effusion de sang actuelle", a-t-il écrit sur X (anciennement Twitter).
Guerre en Ukraine : Kiev propose un financement direct de l'armée ukrainienne par l'Union européenne
(23/05) - Belga,Le ministre ukrainien des Finances, Sergii Marchenko, a proposé que les États membres de l'Union européenne financent directement l'armée ukrainienne, afin de mieux contrer l'invasion russe débutée en 2022. "Aujourd'hui, l'armée ukrainienne assure non seulement la protection de l'Ukraine, mais aussi celle de toute l'Europe", a-t-il déclaré vendredi sur Telegram.
L’Ukraine a accusé la semaine dernière la Russie d’avoir lancé son "offensive militaire d’été" alors même que la communauté internationale espère des négociations de paix entre les deux belligérants. Sur le terrain, il y a, en effet, une intensification des attaques, notamment dans la région de Soumy. Mais les experts s'interrogent sur la capacité russe à mener une grande campagne estivale.
Bruxelles doit voter ce jeudi 22 mai pour une surtaxation des engrais russes, que l’UE a importé à hauteur de 6,2 millions de tonnes en 2024, et vise une augmentation de la production européenne.
Le trafic aérien a été suspendu jeudi autour de Moscou en raison d'attaques de drones ukrainiens, a indiqué le ministère russe de la Défense, affirmant que sur un total d'une centaine de drones interceptés, 35 l'avaient été à l'approche de la capitale.
Plus de 80 sénateurs américains ont apporté leur soutien à une proposition de loi mercredi visant à imposer de nouvelles sanctions contre la Russie, face à ce quils considèrent être un manque de volonté de Moscou de mettre fin à la guerre en Ukraine.
L'Union européenne a pris mardi de nouvelles sanctions contre la Russie sans attendre les États-Unis, au lendemain d'un entretien entre Donald Trump et Vladimir Poutine qui n'a abouti à aucune promesse de cessez-le-feu en Ukraine.
Si l’Europe s’est pratiquement sevrée du pétrole russe, le gaz de Poutine arrive toujours sur le continent, notamment par bateaux sous forme liquéfiée. Bruxelles prévoit la fin totale des importations d’énergie russe d’ici 2027.
Pour la troisième année consécutive, le taux de mortalité des abeilles dites "mellifères", à savoir celles utilisées par les apiculteurs, est en nette progression, comme le révèlent nos confrères du Nieuwsblad, selon une étude de l'AFSCA.Pour expliquer cette hausse, envers des insectes plus qu'essentiels pour notre planète, plusieurs groupes de chercheurs se sont penchés sur le sujet. Et, selon un récent rapport de l'université de Reading, au Royaume-Uni, les menaces auxquelles font face ces abeilles sont multiples.
Deux heures d’entretien et aucun résultat concret. Pourtant, à Washington et à Moscou, la nouvelle conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, lundi 19 mai, a été présentée sous un jour favorable, servant un récit différent. Aucun des deux dirigeants ne veut acter une rupture et un échec dans leur rapprochement, alors que le président américain cherche en vain à obtenir un cessez-le-feu prolongé en Ukraine, voire un règlement du conflit.
Les présidents américain et russe se sont entretenus ce lundi 19 mai par téléphone pour faire avancer un dossier totalement bloqué par les exigences impossibles de Moscou.
Dans une tribune au « Monde », l’économiste russe Vladislav Inozemtsev et le chercheur ukrainien Mykola Vorobiov constatent que les appels au président russe pour arrêter la guerre ont toujours été peine perdue. Selon eux, il ne consentira à négocier que si la guerre devient dangereuse pour son propre compte.
La Chine a apporté son soutien mardi à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu, suite à son coup de fil avec Poutine. La Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères, Kaja Kallas, a réclamé, elle, une "réaction forte" des États-Unis en l'absence de tout cessez-le-feu de la part de la Russie en Ukraine.
Volodymyr Zelensky a accusé mardi la Russie "d'essayer de gagner du temps" en faisant traîner les discussions en vue d'un cessez-le-feu dans le seul but de "poursuivre" son invasion de l'Ukraine, au lendemain d'un appel entre Vladimir Poutine et Donald Trump sans résultats tangibles.
Volodymyr Zelensky a accusé ce mardi 20 mai la Russie «d’essayer de gagner du temps» en faisant traîner les discussions en vue d’un cessez-le-feu. Selon Kyiv, au lendemain d’un entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le seul but de Moscou est de «poursuivre» son invasion de l’Ukraine. Dans le même temps, la vice-présidente de la Commission européenne, Kaja Kallas a annoncé l’adoption formelle par l’UE d’un 17e paquet de sanctions contre la Russie.
Selon des analystes finlandais, les Russes ont renforcé leur présence militaire ces derniers mois à proximité de la frontière avec la Finlande, pays le plus récent à avoir rejoint l'Otan. De son côté, Helsinki prépare sa défense.
Donald Trump a affirmé lundi que la Russie et l'Ukraine allaient "démarrer immédiatement des négociations en vue d'un cessez-le-feu" après son appel avec son homologue russe, Vladimir Poutine, lequel n'a cependant pas consenti à un arrêt des combats sans conditions comme réclamé par Washington et Kiev.
Le vice-président américain JD Vance a eu dimanche à Rome un entretien avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, au cours duquel ils ont notamment évoqué, selon Kiev, l'appel prévu lundi entre les présidents américain Donald Trump et russe Vladimir Poutine.
C’est leur premier entretien depuis la brutale altercation dans le Bureau ovale à la Maison Blanche fin février. Les deux hommes ont évoqué le coup de fil entre Trump et Poutine, prévu lundi 19 mai.
En refusant de se rendre en Turquie, Vladimir Poutine a prouvé qu’il n’accordait aucun intérêt à des discussions visant à mettre un terme à la guerre qu’il a lui-même déclenchée, mettant en mal la vision et la stratégie de Donald Trump pour mettre fin au conflit.
Alors qu’une frappe russe sur un minibus de civils a fait 9 morts ce samedi en Ukraine, le président américain, pressé par Emmanuel Macron, a confirmé qu’il parlerait au président russe lundi 19 mai.Encore et encore. Donald Trump a assuré ce samedi 17 mai qu’il parlerait au président russe au téléphone lundi pour évoquer une fin à la guerre en Ukraine, avant de parler au président ukrainien Volodymyr Zelensky et à plusieurs dirigeants d’Etats membres de l’Otan. «Les sujets de l’appel seront : mettre fin au “bain de sang”», a déclaré le président américain sur sa plateforme Truth Social.
Au lendemain de discussions sans progrès entre Russes et Ukrainiens à Istanbul, le Kremlin a annoncé, samedi, qu'une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky ne serait "possible" qu'à la seule condition que Moscou et Kiev trouvent des "accords" au préalable. Le président américain Donald Trump a déclaré, par ailleurs, qu'il s'entretiendra lundi avec ses homologues russe et ukrainien.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis vendredi d'accroître la pression sur Moscou jusqu'à ce que le président russe Vladimir Poutine soit "prêt pour la paix" dans les discussions avec l'Ukraine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky "était prêt à une rencontre. Le président Poutine ne s'est pas présenté. Cela démontre une chose: le président Poutine ne veut pas la paix", a-t-elle déclaré puis Tirana.
Ancien ministre de la Culture et historien aux vues nationalistes, le conseiller de Vladimir Poutine, Vladimir Medinski, emmène la délégation russe aux négociations de paix avec l'Ukraine à Istanbul, un rôle qu'il a déjà joué en mars 2022, au tout début du conflit. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait mis au défi son homologue russe de se rendre "en personne" à cette rencontre, mais Vladimir Poutine y a envoyé une délégation composée de responsables de second rang et dirigée par M. Medinski.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a jugé vendredi, à son arrivée à Tirana (Albanie) pour une réunion de la Communauté politique européenne, qu'il était temps d'intensifier la pression sur la Russie jusqu'à ce que Vladimir Poutine soit prêt pour la paix.
Les ONG Reporters sans frontières (RSF) et Truth Hounds ont dénoncé vendredi la "stratégie délibérée" de la Russie consistant, selon elles, à bombarder les hôtels ukrainiens où logent des journalistes pour les "faire taire", des attaques "constitutives de crimes de guerre".
Des délégations russe et ukrainienne sont attendues jeudi à Istanbul, en Turquie, pour y mener leurs premiers pourparlers directs depuis le printemps 2022, bien que les modalités de cette rencontre, à laquelle le président russe Vladimir Poutine a refusé de participer, restent peu claires à ce stade.
Le président brésilien, présent aux cérémonies commémoratives du 9 mai à Moscou, a exhorté son homologue russe à se rendre en personne aux négociations sur l’issue de la guerre en Ukraine qui doivent se dérouler ce jeudi en Turquie.
Les ambassadeurs des 27 ont approuvé mercredi un 17e "paquet" de sanctions contre la Russie, qui cible de nouveaux pétroliers "fantômes" utilisés pour contourner les sanctions déjà existantes, destinées à limiter les exportations de pétrole russe, a-t-on appris de sources diplomatiques. Ces nouvelles sanctions sont indépendantes de celles "massives" envisagées dans le cas où Moscou refuserait de négocier et d'accepter un cessez-de-feu de 30 jours déjà accepté par Kiev et réclamé par ses alliés occidentaux.
Le ministre des Affaires étrangères français était l’invité ce mercredi 14 mai de BFM TV, à la veille de pourparlers de paix en Turquie. Il est également revenu sur le nouveau paquet de sanctions contre Moscou adopté par l‘Union européenne.
Donald Trump a évoqué mercredi la "possibilité" de se rendre en Turquie si le président russe Vladimir Poutine s'y déplace pour des pourparlers avec le chef d'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a réaffirmé mardi que la Russie serait visée par un nouveau train de sanctions, en l'absence de "réel progrès cette semaine" dans la recherche d'un cessez-le-feu en Urkaine, a prévenu mardi le nouveau chancelier Friedrich Merz.
La Russie a refusé d’annoncer mardi si le président russe se rendrait à Istanbul pour y rencontrer son homologue ukrainien dans le cadre de négociations directes pour mettre fin au conflit.
Le silence du président russe Vladimir Poutine face à la proposition du président ukrainien Volodymyr Zelensky de le rencontrer jeudi à Istanbul signifie que le Russe a "probablement été surpris" par cette proposition, a commenté mardi la porte-parole en chef de la Commission européenne.
En proposant à Vladimir Poutine une rencontre en Turquie jeudi, Volodymyr Zelensky a réussi à le mettre dos au mur. Un énième tour de force qui pourrait amadouer les États-Unis et peser lourd dans le bras de fer diplomatique.
Donald Trump n'ira sans doute pas en Turquie, mais il a annoncé que le secrétaire d'État Marco Rubio y serait.
Le Conseil de l’OACI, saisi par l’Australie et les Pays-Bas, a rendu une décision inédite sur la responsabilité d’un Etat membre dans un différend aérien. L’agence de l’ONU pour l’aviation civile, l’OACI, a estimé, lundi 12 mai, que la Russie était responsable de l’accident du MH17, abattu il y a dix ans au-dessus de l’Ukraine, tuant 298 passagers et membres d’équipage. Il s’agit de la première décision du conseil de l’organisation « sur le bien-fondé d’un différend entre Etats membres ».
Kyiv et ses alliés avaient proposé une trêve à partir de ce lundi 12 mai, comme préalable à des discussions avec Moscou jeudi en Turquie. […] Pas de signe d’accalmie. L’Ukraine a accusé la Russie d’avoir tiré plus d’une centaine de drones dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 mai, malgré l’ultimatum adressé par les alliés de Kyiv à Moscou pour accepter un cessez-le-feu. «A partir de 23 heures, l’ennemi a attaqué avec 108 drones Shahed et d’autres types de drones», a annoncé l’armée de l’air ukrainienne, précisant en avoir abattu au moins 55. Aucune attaque de missile n’a en revanche été signalée.
Les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays européens majeurs se réunissent ce lundi pour des discussions jugées "capitales" sur l'Ukraine, deux jours après l'ultimatum lancé par les alliés de Kiev à Moscou concernant un cessez-le-feu.
"Le langage des ultimatums est inacceptable pour la Russie, il ne convient pas. On ne peut pas parler ainsi à la Russie", a taclé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien auquel participe l'AFP. Le Kremlin a dit lundi vouloir des négociations "sérieuses" pour aboutir à un règlement du conflit en Ukraine et une paix à long terme, après une proposition du président Vladimir Poutine d'organiser jeudi des discussions directes entre Russes et Ukrainiens à Istanbul.
Les six pays du groupe Weimar +, qui comprend aussi la Commission européenne, se sont retrouvés à Londres lundi 12 mai pour de nouvelles discussions concernant les efforts de paix en Ukraine et la sécurité en Europe.Ils ont beau savoir - d’expérience ! - qu’un post de Donald Trump sur les réseaux sociaux peut tout envoyer valser, les leaders européens veulent apparaître fermes. En fin de matinée du lundi 12 mai, le gouvernement allemand a ressorti la montre, menaçant la Russie de nouvelles sanctions si elle n’acceptait pas l’offre américaine d’un cessez-le-feu avant lundi soir.