Uniquement les Articles de la décennie 2020
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
Université
Columbia, Brown, Harvard, UCLA et d’autres institutions ont choisi de négocier pour récupérer des fonds gelés par l’Etat fédéral, qui cherche aussi à avoir un droit de regard sur la façon dont ces universités choisissent leurs élèves.
« Un paiement de cette ampleur détruirait complètement le meilleur système universitaire public du pays », a prévenu le président de UCLA, en réponse à cette nouvelle offensive de la Maison Blanche contre l’enseignement supérieur.
Les recteurs et rectrices des dix universités belges appellent samedi, dans une déclaration commune, le gouvernement fédéral à agir face à "la violence et à la déshumanisation" en cours dans les territoires palestiniens occupés. "Nous ne pouvons rester silencieux face aux conditions inhumaines et à la grave crise humanitaire à Gaza", affirment-ils, alors que le conflit a engendré plus de 60.000 morts palestiniens.
Le bras de fer s’est déplacé lundi au tribunal fédéral du Massachusetts. L’université dénonce une offensive politique sans précédent de Donald Trump, l’accusant de vouloir contrôler l’autonomie des universités américaines.
Au total, 300 personnes avaient fait acte de candidature, s’estimant menacées dans leur liberté académique par la politique de Donald Trump.
Des milliers de formulaires de candidature ont été dérobés. Parmi eux : le dossier de l’actuel prétendant démocrate à la mairie de New York, qui a été transmis à des médias.
Pour le professeur à Audencia Business School Bertrand Venard, l’université prestigieuse se dresse contre Trump comme un sanctuaire de la pensée et de la liberté académique : le symbole planétaire d’une conscience collective inquiète, lucide, apeurée peut-être, mais résolue.
Hevige regenbuien in de zomer worden een stuk frequenter en intenser in de Alpen, waarschuwt de Universiteit van Lausanne.
La pression était trop forte. Le président de l’université de Virginie, dans l’est des Etats-Unis, a annoncé sa démission, vendredi 27 juin, alors qu’il doit faire face à l’ouverture d’une enquête par l’Etat fédéral sur les pratiques du campus pour favoriser la diversité. « Je suis disposé à me battre pour mes convictions et je crois profondément en cette université », a déclaré, dans un communiqué, James Ryan, qui dirige l’établissement depuis 2018. « Mais je ne peux pas décider unilatéralement de lutter contre le gouvernement fédéral pour sauver mon emploi », a-t-il ajouté pour expliquer sa décision.
Dans le cadre de son programme d’accueil lancé face à la remise en cause de la liberté académique aux Etats-Unis, l’université française a reçu près de 300 candidatures, pour vingt places. Elle a commencé à accueillir jeudi les premiers universitaires américains.
Donald Trump a annoncé mercredi qu’il interdisait les visas des étudiants étrangers devant intégrer la prestigieuse université Harvard. Cette annonce survient le même jour que la menace de retirer à l'université Columbia son accréditation, ce qui pourrait signifier la perte de toutes ses subventions fédérales.
La ministre de l’éducation américaine, Linda McMahon, reproche à l’université de ne pas avoir protégé les étudiants juifs du campus malgré des demandes en ce sens.
Le département d'État américain a ordonné l'examen des activités en ligne de toutes les personnes demandant un visa pour fréquenter l'université d'élite Harvard, à en croire plusieurs médias vendredi. Il a ainsi été demandé aux ambassades et consulats américains d'entamer immédiatement le processus, ont rapporté CNN et le site en ligne Politico, citant une directive interne du département d'Etat.
Selon un haut responsable américain, l’exécutif a envoyé « une lettre aux agences fédérales leur demandant d’identifier les contrats passés avec Harvard, et de dire s’ils peuvent être annulés ou redirigés ailleurs ».
Les universités américaines font partie depuis quelques mois des cibles privilégiées de Donald Trump, qui les voit comme des foyers d’antisémitisme et de «wokisme». Le ralentissement de la délivrance de papiers aux étudiants étrangers pourrait durablement les fragiliser.
L'administration Trump a annoncé jeudi que Harvard ne serait plus autorisée à accueillir des étudiants étrangers, une décision suspendue moins de 24 heures plus tard par la justice après une plainte de l'université. Ce nouveau bras de fer entre le gouvernement et Harvard s'inscrit dans une longue guerre culturelle entre les conservateurs et certaines élites intellectuelles américaines.
La plus ancienne et prestigieuse université des Etats-Unis doit, avant dimanche, produire les pièces lui permettant de récupérer son habilitation à accueillir des étudiants étrangers. Une action jugée « illégale » par sa direction.
L’université de Rouen vient de se doter d’un outil révolutionnaire pour débusquer et comprendre la pollution environnementale. Un instrument de mesure d’une puissance inédite en Europe, capable de trouver la totalité des substances chimiques – y compris les PFAS – dans l’eau ou le sol.
Elke euro die wordt geïnvesteerd in natuurherstel, levert op de langere termijn een veelvoud in euro's aan baten op. Dat blijkt uit een nieuwe becijfering door de Vlaamse Instelling voor Technologisch Onderzoek (VITO) en de universiteit van Luik, op vraag van Natuurpunt en het Wereldnatuurfonds. Voor een concrete studie over het Kastanjebos in Herent komen ze zelfs uit op 51 euro aan baten voor elke geïnvesteerde euro, over een periode van 100 jaar. Minstens even belangrijk is de terugverdientijd, die er op 7 jaar ligt.
Fuyant l’acharnement de Donald Trump contre la liberté de la recherche, trois enseignants américains spécialistes du fascisme, Marci Shore, Timothy Snyder et Jason Stanley, se sont expatriés à Toronto, alarmés par la montée de «l’autoritarisme» aux États-Unis.
Legal residents of the United States sent to foreign prisons without due process. Students detained after voicing their opinions. Federal judges threatened with impeachment for ruling against the administration’s priorities. In the Opinion video above, Marci Shore, Timothy Snyder and Jason Stanley, all professors at Yale and experts in authoritarianism, explain why America is especially vulnerable to a democratic backsliding — and why they are leaving the United States to take up positions at the University of Toronto.
La prestigieuse université située à Cambridge s’est attiré les foudres du président républicain en attaquant en justice le gel par son gouvernement de deux milliards de dollars de subventions fédérales.
L’établissement new-yorkais a perdu 400 millions de dollars de subventions, dont 250 millions pour la santé. Il tente de se réformer pour récupérer ces financements coupés par l’administration Trump, qui mène une offensive contre des institutions d’enseignement jugées trop progressistes.
Dans un entretien au « Monde », le professeur de philosophie américain explique pourquoi il a décidé de s’exiler au Canada. Il justifie ce départ par les assauts de l’administration Trump contre les campus américains, même si son université a été jusqu’ici relativement épargnée. Jason Stanley est professeur de philosophie, spécialisé dans les pratiques et le langage des régimes autoritaires. Il a décidé de quitter Yale et de rejoindre la Munk School of Global Affairs and Public Policy de l’université de Toronto, au Canada.
Donald Trump, en conflit ouvert avec la prestigieuse université Harvard, l'a accusée jeudi d'être une "institution antisémite d'extrême-gauche" et une "menace pour la démocratie", dans un long message sur son réseau Truth Social.
L'université Harvard a engagé, lundi, des poursuites en justice dans le Massachusetts afin que soit bloquée la décision du président Donald Trump de geler les milliards de dollars de subventions fédérales quelle reçoit. Elle dénonce un gel utilisé comme un moyen de prendre le contrôle des décisions académiques.
Après Harvard et Columbia, l’université de la baie de San Francisco se prépare à l’arrivée de la commission d’enquête sur l’antisémitisme mise en place par le gouvernement fédéral.
Harvard a attaqué lundi l'administration de Donald Trump en justice contre le gel de subventions fédérales destinées à la prestigieuse université américaine.
Universités américaines : Yale, Princeton et Harvard dénoncent l’ingérence politique de Donald Trump
(22/04) - Le Monde,Afp,ReutersUne centaine de signataires, incluant des présidents d’universités, s’opposent à l’ingérence gouvernementale menaçant l’enseignement supérieur américain.
La presse a très récemment révélé la décision du Président Trump de suspendre les financements fédéraux de la plus prestigieuse Université américaine : Harvard. On parle de plus de 2,2 milliards de dollars qui seraient gelés ; d’autres menaces pèsent sur les dispositifs fiscaux dont l’Université américaine bénéficie. De nombreuses Agences fédérales de recherche ont également été l’objet de coupes sombres et des milliers de chercheurs, ont été licenciés sur le champ. Ces décisions ont, contestablement, pour ambition de museler ces Institutions productrices de savoir et, tout particulièrement, en limitant la liberté académique. Sans que nous n’en soyons là aujourd’hui en Belgique, force est de constater que l’inquiétude est grande dans le monde académique.
Alors que la science n’a sans doute jamais été aussi nécessaire pour éclairer nos choix collectifs, à l’âge du bouleversement climatique et de l’érosion de la biodiversité, sommes-nous face à un nouvel obscurantisme ? Pour analyser ce déni de la parole scientifique, Socialter a interrogé deux chercheurs, le climatologue Christophe Cassou, co-auteur en 2021 du 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), engagé dans l’opposition à l’A69, et l’écologue Philippe Grandcolas, spécialiste de la biologie de l’évolution, fin connaisseur des travaux de l’IPBES (plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques) et des COP sur la biodiversité.
C’est un refus qui passe très mal auprès de Donald Trump. Celui de la prestigieuse université Harvard contre les exigences du président américain, voulant remettre en cause son fonctionnement, ses politiques d’admission des étudiants et de recrutement du personnel ainsi que ses programmes académiques. "L’université ne renoncera pas à son indépendance ni à ses droits constitutionnels", a assuré lundi son président, Alan Garber, dans une lettre retentissante adressée aux étudiants et aux enseignants.
L’administration Trump a annoncé lundi le gel de 2,2 milliards de dollars de subventions à Harvard, sur fond de tensions liées aux mobilisations étudiantes contre la guerre à Gaza. L’université américaine, comme d’autres, est visée par la Maison Blanche, qui dénonce une mauvaise gestion des actes jugés antisémites sur les campus.
Dans un rapport publié ce mercredi, l’Institut pour l’environnement et la sécurité humaine de l’Université des Nations unies (UNU-EHS) – un groupe de réflexion académique de l’ONU basé au Japon –, identifie cinq leviers de changement pour un «monde plus sûr». Questionner notre rapport aux déchets, se reconnecter avec la nature… ces mesures clés sont censées répondre aux multiples défis de l’humanité, tels que l’aggravation des inégalités, le changement climatique, la perte de biodiversité ou encore la pollution.
Aux États-Unis, voilà quelques années que les programmes scolaires et les universités sont régulièrement pris pour cible par les militants ultraconservateurs. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, cet assaut contre l’éducation prend une ampleur inédite et se décline au niveau fédéral comme dans les districts scolaires.
Après l’université new-yorkaise Columbia, la prestigieuse Harvard située dans l’agglomération de Boston, se voit menacer de perdre ses subventions fédérales. L’administration lui reproche de laisser prospérer «l’antisémitisme» sur son campus.
En multipliant les menaces contre les personnes et les institutions qu’il considère comme hostiles, le président américain instaure un climat délétère qui fragilise les institutions américaines.
Un établissement sous tutelle. L’université new-yorkaise Columbia a accepté vendredi 21 mars d’engager les réformes drastiques demandées par l’administration de Donald Trump, pour ne pas perdre ses 400 millions de dollars de subventions fédérales. Il s’agit d’une concession majeure pour la prestigieuse université, depuis plusieurs semaines sous le feu du président américain.
Cette annonce est directement liée à la perte « de plus de 800 millions de dollars de financements » de l’agence de développement américaine, décidée par l’administration Trump, précise l’établissement spécialisé dans la recherche médicale. Ces suppressions devraient affecter des travaux menés tant aux Etats-Unis que dans le monde entier.
L’université Johns Hopkins licencie plus de 2 000 employés après la suppression des fonds de l’USAID
(14/03) - Courrier internationalL’université Johns Hopkins, dans le Maryland, doit supprimer plus de 2 000 postes en raison des coupes budgétaires fédérales. Les programmes à destination des pays en développement sont particulièrement touchés, ce qui suscite des craintes pour la santé des personnes qui en bénéficient.