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Egée
Ces nouvelles zones doivent permettra au pays d’atteindre l’objectif de protéger 30 % de ses eaux territoriales d’ici à 2030. La pratique décriée du chalutage de fond y sera interdite.
Même si on protégeait 30 % des océans, ce ne serait pas suffisant.
Le sommet des océans s'achève vendredi à Nice, après cinq jours de discussions et de débats, avec de nombreuses promesses notamment pour une meilleure protection de la haute mer, la lutte contre la pêche illégale ou encore la mise en place d'aires marines protégées. Mais si de nombreux pays ont pris des engagements pour le Grand Bleu, ces avancées devront encore se concrétiser lors des prochains grands rendez-vous.
Le Royaume-Uni a dévoilé ce lundi 9 juin un plan pour lutter contre cette pratique controversée consistant à racler les fonds marins avec un gigantesque filet de pêche. L’objectif est notamment de protéger les habitats marins.
La question de la réelle protection de ces espaces essentiels pour préserver les écosystèmes marins s’invite dans les discussions de la conférence mondiale sur l’océan qui se tient cette semaine à Nice. Si la France revendique désormais la protection d’un tiers de son territoire maritime, l’immense majorité de ces zones autorise quand même des pratiques de pêche destructrices pour la biodiversité.
Les organisations environnementales dénoncent l’absence de mesures contraignantes pour protéger réellement la biodiversité dans ces zones.
La France veut accélérer la protection de ses océans en restreignant certaines pratiques de pêche avant l’échéance européenne de 2030.
Des ONG environnementales déposent plainte ce mardi auprès de la Commission européenne. Plusieurs pays européens continuent à pratiquer le chalutage de fond dans des zones marines censées être protégées.
Cinq collectifs ont saisi la Commission européenne, mardi 29 avril. Elles accusent la France, l’Italie et l’Allemagne de manquer à leur devoir de sauvegarder quinze écosystèmes marins, en violation d’une directive européenne datant de 1992.
Selon Greenpeace et des chercheurs du CNRS qui publient un rapport ce mercredi 9 avril, atteindre 10 % d’aires marines réellement protégées en France métropolitaine ne devrait pas constituer un coût insurmontable pour la pêche. Au contraire, les professionnels pourraient en bénéficier à long terme.
Des parlementaires de tous horizons politiques ont déposé des propositions de loi pour mieux protéger les aires marines protégées françaises. Celles-ci sont massivement exploitées par les chaluts industriels.
Paris a accueilli, les 30 et 31 mars, le sommet SOS Océan, qui réunissait décideur·ses politiques, scientifiques et personnalités publiques. Dans un discours prononcé lundi midi, Emmanuel Macron a fixé huit objectifs pour la prochaine Conférence des Nations unies pour l’Océan (Unoc), qui se tiendra en juin à Nice (Alpes-Maritimes).
Afin de lutter contre la mise en péril des océans, les scientifiques recommandent d’interdire la pêche industrielle sur 30 % des surfaces maritimes planétaires, et non pas de définir la protection marine au « cas par cas », rappelle, dans une tribune au « Monde », et à quelques jours du sommet SOS Océan qui se tiendra à Paris les 30 et 31 mars, un collectif de personnalités politiques réuni par la militante écologiste Claire Nouvian.
Alors que la France organise à Paris le sommet SOS Océan, dimanche et lundi, pour annoncer des mesures en faveur de sa protection, les associations de défense de l’environnement dénoncent le manque d’ambition du gouvernement. Elles réclament l’interdiction totale de la pêche au chalut dans les aires marines protégées.
Le ministre de l’intérieur américain a notamment annoncé le rétablissement d’un programme permettant d’exploiter le pétrole et le gaz dans l’ensemble de l’Arctic National Wildlife Refuge, une aire protégée qui s’étend sur plus de 630 000 hectares.
De Klimaatcoalitie reageert scherp op het federale regeerakkoord. Met het afgesproken beleid zal België zijn Europese doelstellingen niet halen, geen uitvoering geven aan de veroordeling in de Klimaatzaak, en geen koers zetten naar klimaatneutraliteit zoals afgesproken in het klimaatakkoord van Parijs. Tegelijkertijd worden de meest kwetsbaren het hardst getroffen, en zal Arizona besparen op internationale solidariteit. Dat is onrechtvaardig.
In dit uitgebreide dossier analyseren we het federale regeerakkoord tot op het bot. In dit artikel gaat Greenpeace dieper in op - het gebrek aan - klimaatbeleid.
La LOA de la jungle. Activement soutenu par la droite, le texte du gouvernement est examiné au Sénat jusqu’au 18 février. Pesticides mis à l’honneur, dépénalisation des atteintes à la biodiversité, accélération des projets de mégabassines… de nombreux reculs environnementaux sont défendus, mais très peu risquent d’être réellement appliqués. Vert fait le point.
Planche de chalut. Ce mardi, deux organisations de défense de l’environnement engagent une action en justice pour obtenir la fin des techniques de pêche destructrices dans les aires marines protégées. Alors que la loi impose à l’État de veiller à la conservation de la biodiversité dans ces zones, ce type de chalutage y a toujours cours.
Hier zijn we weer: een paar maanden verder, met een nieuwe federale regering in het zadel. Maar van een frisse wind in het klimaatbeleid is amper sprake. De retoriek is er wel: we lezen in het regeerakkoord dat het Akkoord van Parijs gerespecteerd zal worden, maar er staat geen beleid klaar om deze belofte waar te maken. Integendeel. De fossiele subsidiekraan blijft gul openstaan (€15 miljard per jaar), de elektrificatie van bedrijfswagens wordt uitgesteld en de vergroening van de fiscaliteit blijft uit. Op een paar sprokkels na, ja de BTW op warmtepompen wordt verlaagd en de regering zal een combiticket voor het openbaar vervoer invoeren, is het vruchteloos zoeken naar de broodnodige hervormingen om de uitstoot drastisch te verminderen en ons land fossielvrij en klimaatneutraal te maken.