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La Réunion
Alors que la campagne de vaccination, ciblant en priorité les seniors, a été «adaptée sans délai» après trois «événements indésirables graves» chez des plus de 80 ans, le gouvernement incite les autres publics à le faire.
Les autorités sanitaires ont annoncé, samedi 26 avril, retirer les personnes de 65 ans et plus de la campagne de vaccination contre le chikungunya avec le vaccin Ixchiq à Mayotte et à La Réunion après trois « événements indésirables graves », dont un mort. « La vaccination reste ouverte pour les personnes âgées de 18 à 64 ans présentant des comorbidités », a précisé le ministère de la santé dans un communiqué alors que l’épidémie de chikungunya a provoqué à ce stade la mort de neuf personnes à La Réunion. Les autorités sanitaires soulignent que l’épidémie se « stabilise à un haut niveau », selon des chiffres donnés mercredi.
Le bilan s’alourdit. Trois nouveaux décès «liés au chikungunya» ont été enregistrés à La Réunion, portant à neuf le nombre de morts depuis le début de l’épidémie, a annoncé ce mercredi 23 avril Santé publique France dans son bulletin hebdomadaire. «Depuis le début de l’année, neuf décès survenus entre les semaines 11 et 14 [du 10 mars au 6 avril, ndlr] chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya», indique l’agence sanitaire, ajoutant que «neuf autres décès», dont un néonatal, sont en cours d’investigation pour déterminer s’ils sont liés au virus.
Des renforts médicaux ont été demandés par le directeur général du centre hospitalier de La Réunion pour faire face au pic de l'épidémie de chikungunya. Celle-ci a fait six morts depuis le début de l'année sur l'île.
Le virus a infecté, depuis août, plus d’un habitant sur neuf, plaçant le système de santé sous tension et entraînant un grand nombre d’absences dans les écoles, administrations et entreprises.
Plus de 33 000 cas ont été confirmés depuis le début de l’année, mais le nombre réel est considéré comme plus élevé, beaucoup de malades ne se faisant pas dépister.
Le virus du chikungunya a déferlé sur l’île de la Réunion depuis le début de l’année 2025, avec plus de 27 000 cas recensés, dont près de 6 000 la semaine dernière. Cette épidémie pourrait continuer à proliférer en raison du changement climatique et même atteindre, avec d’autres maladies vectorielles, la métropole.
L’épidémie de chikungunya à La Réunion est "généralisée et majeure" et "poursuit sa progression", a souligné mercredi Santé publique France, faisant état de près de 6300 nouveaux cas dans la dernière semaine de mars.
Les 40 000 doses du vaccin vont permettre à partir de ce lundi 7 avril de commencer les injections gratuites pour les personnes les plus fragiles. Deux personnes sont mortes de cette maladie transmise par le moustique tigre depuis août.
Dans un communiqué, le CHU de l’île a fait part d’une « augmentation très importante de l’activité des services d’accueil des urgences ».
La circulation du virus éponyme, véhiculé par le moustique-tigre, s’accélère dans l’île, où près de 6 000 nouveaux cas ont été déclarés entre le 17 et le 26 mars. Alors qu’une campagne de vaccination est sur le point de commencer, les urgences hospitalières menacent déjà de saturer.
Deux personnes sont mortes des suites de la maladie infectieuse tropicale, transmise par les moustiques-tigres. L’épidémie sévit depuis le mois d’août 2024, 8 500 cas ont été recensés.
L’épidémie s’intensifie avec « plus de 8 500 cas » non importés de cette maladie, transmise par le moustique-tigre, recensés. Elle « s’est accélérée ces dernières semaines et s’étend désormais à tout le territoire », selon la préfecture de l’île.
Cette maladie virale, transmise par le moustique tigre, a déjà fait deux morts dans l’île de l’océan Indien. «Libération» fait le point sur le virus, les traitements, et les moyens de se protéger. [...] L’île de la Réunion subit une épidémie de chikungunya, la première depuis 2010. Deux personnes âgées de 86 et 96 ans, «dont une présent [ant] des comorbidités», sont décédées, a annoncé ce vendredi 21 mars la préfecture de l’île. Il s’agit des premiers décès confirmés depuis la reprise de la circulation du virus en août.
Un centre de tri ultramoderne et une unité de valorisation énergétique doivent permettre, d'ici deux ans, de détourner 240.000 tonnes de déchets de l'enfouissement et de couvrir 10% des besoins électriques de La Réunion. Objectif: accélérer la transition vers l'autonomie énergétique."Nous nous sommes équipés d'un trieur optique, doté d'intelligence artificielle, qui va détecter les déchets grâce à des caméras et écarter ceux qui sont valorisables", explique à l'AFP Eddy Lebon, en présentant le centre de tri qu'il a imaginé il y a près de dix ans.
Habitats, agriculture, bâtiments publics, réseau électrique… Le cyclone dévastateur qui a fait 5 morts le 28 février a eu des impacts majeurs sur l’ensemble des infrastructures de l’île.
L’autorité indépendante suggère aux plus de 65 ans, aux adultes souffrant de maladies chroniques et aux personnes chargées de la démoustication de recevoir une dose du tout premier vaccin homologué dans l’Union européenne.
« Même si nous étions préparés, le cyclone a été très puissant », a déclaré le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, en promettant « deux vagues de renforts nationaux (…) pour venir en aide à la population », avec une centaine de pompiers.
L'île de La Réunion, sous alerte rouge jusqu'à samedi matin, s'apprête à mesurer l'ampleur des dégâts au lendemain du passage du cyclone Garance, qui a provoqué la mort de quatre personnes.
Les experts climatiques mandatés par l'ONU se réunissent à partir de lundi en Chine, en l'absence notable des Etats-Unis.