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Nature Climate Change
De rijkste 10% van de wereldbevolking is verantwoordelijk voor twee derde van de waargenomen opwarming van de aarde sinds 1990, blijkt uit een studie in Nature Climate Change.
De rijkste 10% van de wereldbevolking is verantwoordelijk voor twee derde van de waargenomen opwarming van de aarde sinds 1990, blijkt uit een studie in Nature Climate Change.
The new report evokes a mild sense of urgency, calling on governments to mobilise finance to accelerate the uptake of green technology. But its conclusions are far removed from a direct interpretation of the IPCC’s own carbon budgets (the total amount of CO₂ scientists estimate can be put into the atmosphere for a given temperature rise).
The coasts of Alaska are piled up with dead birds dying of starvation. Experts say that climate change is resulting in shifts in the food chain.
Selon une étude (en anglais) publiée lundi 29 août dans la revue Nature Climate Change et repérée par Franceinfo via l’AFP, à cause du dérèglement climatique, la calotte glaciaire du Groenland pourrait perdre au minimum 3,3 % de son volume d’ici à l’année 2100. L’une des conséquences « inévitables » de cette fonte des glaciers pourrait être une augmentation a minima de 27,4 centimètres du niveau de la mer… soit davantage que ce que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) prévoyait dans son rapport de référence de 2021.
There is a 42% probability that the world may already be committed to at least 1.5 oC of warming relative to pre-industrial temperatures, even if emissions are halted immediately, according to a modelling study published in Nature Climate Change. This probability rises to 66%, however, if emissions are not cut until 2029, emphasizing the need for immediate action to avoid committing to peak levels of warming.
February 28, 2022. Human-induced climate change is causing dangerous and widespread disruption in nature and affecting the lives of billions of people around the world, despite efforts to reduce the risks. People and ecosystems least able to cope are being hardest hit, said scientists in the latest Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) report, released today.
L’actualisation de précédents travaux par des chercheurs de l’Université Columbia et de l’Université de Californie (États-Unis) soutient que la sécheresse qui touche le sud-ouest de l’Amérique du Nord depuis une vingtaine d’années est la plus sévère depuis au moins 1200 ans. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Climate Change ce 14 février.
Stability in Earth's climate hinges on a delicate balance between the amount of energy the planet absorbs from the sun and the amount of energy Earth emits back into space. But that equilibrium has been thrown off in recent years — and the imbalance is growing, according to a paper published Wednesday in the journal Nature Communications.
À mesure que la planète se réchauffe, les évènements de chaleur record gagnent nécessairement en fréquence et en intensité. Toutefois, outre la quantité totale de réchauffement, le rythme de ce dernier a également une influence forte sur le comportement des extrêmes chauds. C’est en tout cas ce que montre une nouvelle étude parue dans la revue Nature climate change ce 26 juillet.
A range of studies have long indicated that attention should be paid to the effects of climate change on subsystems such as the Amazon, Greenland ice or permafrost. These effects have been debated for more than 20 years. Since then, thousands of pages have been written describing their interrelationships, warning of a coming disaster. As in this article published in Nature by key figures in climate science, or this article published in National Geographic. However, despite the seriousness of the issue, mainstream media silence remains thunderous. With Ferran Puig Vilar
Cinq ans après l'Accord de Paris, la croissance des émissions de CO2 a commencé à ralentir. Sous l'effet ponctuel de la crise du Covid-19, qui a provoqué une baisse des émissions d'environ 7% en 2020 pour plafonner à 34 milliards de tonnes. Mais pas seulement. Entre 2016 et 2019, les émissions ont baissé dans 64 pays, analyse une étude publiée mercredi dans la revue Nature Climate Change. Une baisse qui s'est limitée en moyenne à 0,16 milliard de tonnes par an, soit "un dixième de ce qui serait nécessaire au niveau mondial pour atteindre les objectifs climatiques de Paris", indiquent les auteurs. Objectifs pour lesquels une réduction annuelle de 1,5 milliard de tonnes est nécessaire. Parmi les 150 pays où les émissions ont augmenté, la croissance annuelle moyenne aura été de 0,37 milliard de tonnes.