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Depuis Bakou, les délégués et ONG présents à la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) ont relevé des avancées sur la finance climatique dans la déclaration finale des dirigeants du G20 réunis à Rio dans la nuit de lundi à mardi, sans y voir d'impulsion décisive.Mais ils ont en revanche souligné clairement leur déception face à l'absence d'engagement à accélérer la transition vers l'abandon des énergies fossiles, une formulation qui était un acquis de la COP28 de Dubaï l'an dernier et n'a pas été repris à Rio.
G20 à Rio : lancement d'une Alliance globale contre la faim, l'idée de taxer les super-riches avance
(19/11) - France24,Au sommet du G20 à Rio de Janeiro, les négociations climat ont fait du surplace lundi après la COP29 de la semaine passée. Le président brésilien, à la tête du forum, a cependant réussi à lancer une Alliance globale contre la faim et a obtenu un engagement commun à coopérer pour une taxation effective des plus fortunés.
Le sommet des plus grandes économies de la planète s’est ouvert lundi sous la houlette du président brésilien de gauche. Celui-ci a notamment réussi à mettre sur orbite son Alliance globale contre la faim et la pauvreté et a convaincu ses homologues d’endosser l’idée d’une coopération pour taxer les plus fortunés.
Les participants de la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) notent mardi les avancées générales sur la finance climatique pour les pays en développement contenues dans la déclaration du G20 à Rio, mais préviennent que le plus dur reste à accomplir à Bakou. D'autant que, le communiqué de Rio s'accompagne d'un silence des 20 puissances sur la sortie des énergies fossiles, une formulation arrachée à la COP28 de Dubaï mais qui n'a pas été reprise, ce qui sème la consternation parmi les ONG.- "Ordre de marche"-
Les dirigeants du G20 ont endossé lundi l’idée de coopérer pour taxer "effectivement" les personnes très fortunées, une initiative que poussait le président brésilien Lula et saluée comme une avancée "historique".
La sortie des énergies fossiles "reste toujours d'actualité" et il faut "maintenir la pression" pour que cet objectif soit réaffirmé au niveau international, a estimé mardi la ministre française de la Transition écologique et de l'Energie dans un entretien aux Echos.Cette question d'une réduction progressive du recours au pétrole, charbon et au gaz pour tenter d'enrayer le réchauffement climatique faisait partie de l'accord obtenu l'an dernier à la COP28 de Dubaï. Mais depuis, elle semble progressivement reléguée au second plan voire remise en cause par certains.
Les dirigeants du G20 se retrouvent lundi à Rio de Janeiro pour un sommet sous forte pression, entre besoin d'un compromis...
Le gouvernement français l'a assuré ce dimanche.
Le G20, le groupe des vingt principales économies mondiales, a annoncé vendredi dans un communiqué sa volonté de "s'éloigner des énergies fossiles" et d' "atteindre la neutralité carbone d'ici 2050", reprenant les engagements énoncés à l'occasion de la COP28, l'année dernière à Dubaï.
Meer dan 70 procent van de inwoners uit de G20-landen is voorstander om milieuschade strafbaar te maken. Bedrijven of regeringen die de natuur of het klimaat beschadigen zouden zo voor de rechter gebracht kunnen worden.
C'est un accord historique que viennent de trouver les pays du G20 pour renforcer la taxation des milliardaires au niveau international.
Le G20, divisé sur les questions géopolitiques, ne peut pas "reléguer au second plan" un dérèglement climatique qui "va décimer" leurs économies, a averti mercredi le chef de l'ONU Climat, plaidant pour un "nouvel accord" financier à même d'aider les pays en développement à lutter contre le réchauffement."Se rejeter la responsabilité n'est pas une stratégie" et "reléguer le climat au second plan n'est pas la solution à un dérèglement qui va décimer chaque économie du G20 et qui a déjà commencé à faire des dégâts", a déclaré Simon Stiell dans un discours prononcé à Londres.
Les pays du G20 ont accordé en 2022 un niveau record de subventions aux combustibles fossiles, plus de deux fois plus qu'en 2021, souligne mardi un rapport de BloombergNEF (BNEF) publié à dix jours de l'ouverture de la COP28.Dans un contexte de flambée des prix de l'énergie, les gouvernements et les compagnies publiques de ces 19 États ont plus que doublé l'an dernier le soutien aux fossiles, à près de 1.300 milliards de dollars (le G20 compte 19 États ainsi que l'Union européenne et l'Union africaine; l'étude concerne seulement les 19 pays).
Le G20 de Delhi était le premier grand rendez-vous en amont de la COP28, et il se solde par un échec. Pourtant, l'occasion était belle de se saisir du premier bilan de l'action climatique, publiée la veille de l'ouverture du sommet, et ainsi donner l'élan tant attendu pour une action climatique d'envergure. Au lieu de cela, les lignes de fracture entre les pays ne font que s'amplifier, signant un recul inquiétant.
Profondément divisé sur le pétrole, le G20 a échoué à appeler à une sortie des énergies fossiles samedi, mais soutient pour la première fois un triplement des renouvelables d'ici 2030: une "lueur d'espoir" pour les uns, un "strict minimum" pour les autres à trois mois de la COP28.
Le patron de l'ONU, Antonio Guterres, a qualifié vendredi le G20 de famille "dysfonctionnelle", alors que le sommet s'ouvrait à New Delhi, en Inde. La réunion a pour but de chercher des compromis en matière de climat et d'économie, mais reste divisée sur le dossier de la guerre en Ukraine.
Les plus grandes puissances économiques utilisent encore trop le charbon pour produire leur électricité alors que les énergies renouvelables constituent des alternatives fiables et rapides mais insuffisamment implémentées.
Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a déclaré au sommet du G20 samedi que le monde était confronté à une "urgence climatique sans précédent", citant en exemple les inondations dans son pays.
Profondément divisé sur le pétrole, le G20 a échoué à appeler à une sortie des énergies fossiles samedi, mais soutient pour la première fois un triplement des renouvelables d'ici 2030: une "lueur d'espoir" pour les uns, un "strict minimum" pour les autres à trois mois de la COP28.
Les dirigeant·e·s mondiaux participant au sommet du G20 à New Delhi, qui s’ouvre samedi 9 septembre, doivent considérablement accroître l’aide internationale et alléger la dette des États vulnérables afin d’aider à la mise en œuvre de la justice climatique, requise de toute urgence, et de prévenir un échec potentiellement catastrophique sur le terrain de la protection des droits humains, a déclaré Amnesty International vendredi 8 septembre.