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Eric Klinenberg

juillet 2022

À travers cette enquête de terrain fouillée sur le soudain délitement de la capitale du Michigan, le sociologue américain spécialiste des études urbaines, Eric Klinenberg, pointe comment une anomalie climatique peut devenir un fait social total, embarquant l’ensemble des habitants dans une communauté de destin révélée dans une vulnérabilité générale...
Eric Klinenberg montre que l’infrastructure sociale des quartiers – la qualité des lieux de rassemblement locaux, les terrains de jeux, les bibliothèques, les rues commerciales et les organisations communautaires – a déterminé quels endroits étaient vulnérables et lesquels étaient plus résilients. L’infrastructure sociale, que je définis comme les lieux physiques qui façonnent nos interactions, est importante, car elle peut favoriser ou miner les liens sociaux et le soutien mutuel. Lors d’une urgence – vague de chaleur ou pandémie –, les personnes vivant dans des quartiers dotés d’une infrastructure sociale solide sont beaucoup plus susceptibles de croiser des amis et des voisins que celles habitant dans des quartiers où tout le monde se terre chez soi.

avril 2015

The heat made the city’s roads buckle. Train rails warped, causing long commuter and freight delays. City workers watered bridges to prevent them from locking when the plates expanded. Children riding in school buses became so dehydrated and nauseous that they had to be hosed down by the Fire Department. Hundreds of young people were hospitalized with heat-related illnesses. But the elderly, and especially the elderly who lived alone, were most vulnerable to the heat wave....

août 1997

au plus fort de l’été, des centaines d’habitants de Chicago sont morts de chaleur. Privés d’électricité, sans eau et reclus chez eux par peur de sortir dans un quartier dangereux. « Fait divers », morts « naturelles » ? C’est ce que scandent les médias entre deux apitoiements de circonstance. Mais les victimes d’hier et celles de demain n’ont pas d’abord besoin de températures clémentes et de bonnes prévisions climatiques. Le plus souvent ce n’est pas le froid, la chaleur ou la vieillesse qui les tuent, mais la pauvreté et la relégation raciale et résidentielle.

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