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James E. Hansen
Global temperature leaped more than 0.4°C (0.7°F) during the past two years, the 12-month average peaking in August 2024 at +1.6°C relative to the temperature at the beginning of last century (the 1880-1920 average). This temperature jump was spurred by one of the periodic tropical El Niño warming events, but many Earth scientists were baffled by the magnitude of the global warming, which was twice as large as expected for the weak 2023-2024 El Niño.
James Hansen est un des plus grand climatologues du monde. Il a alerté le gouvernement des Etats-Unis sur le réchauffement climatique. Dans cette vidéo, les plus grands spécialistes actuels témoignent de l’excellence de ses prévisions climatiques. Il a aussi une énorme expérience du domaine. Je trouve son travail scientifique sur la montée du niveau de la mer publié en 2016 (lien, lien) très convaincant, plusieurs de ses conclusions et postulats ont été confirmés ces dernières années. Il se bat pour le climat depuis des décennies, et a été arrêté pour lors de manifestations pour le climat devant la Maison Blanche. Il a des grandes connaissances de climatologie. J’hésite donc réellement à le contredire mais j’ai quelques objections. Son travail apporte évidemment de nombreux éléments utiles, et il a le mérite d’être disponible aujourd’hui. Vu la situation climatique, nous ne pouvons pas attendre le prochain rapport du GIEC.
Selon James Hansen – le scientifique des Etats-Unis qui a alerté le monde sur l’effet de serre dans les années 1980 – le monde est en train de basculer vers un climat surchauffé jamais vu l’existence de l’homme, parce que «nous sommes de sacrés imbéciles» pour ne pas avoir réagi aux avertissements concernant la crise climatique.
Le 23 juin 1988, en pleine sécheresse outre-Atlantique, James E. Hansen s’adresse au Congrès des États-Unis. Son discours déclenche une vague d’intérêt pour le réchauffement climatique dans le monde. Le 23 juin 2008, devant la commission parlementaire sur l’indépendance énergétique et le réchauffement global de ce même Congrès, cet homme libre a lancé un nouveau cri d’alarme à ses compatriotes, qui choisiront, lors d’une élection décisive pour le sort de la planète, leur nouveau président dans quelques semaines.
Nous devons réduire de manière drastique les gaz à effet de serre et extraire des milliards de tonnes de dioxyde de carbone de l'atmosphère si nous voulons épargner un cataclysme climatique à nos enfants, avertit le scientifique James Hansen. "Cette réalité est ignorée par les gouvernements du monde entier", déplore James Hansen, qui s'était fait connaître il y a 30 ans en tirant la sonnette d'alarme à propos du réchauffement climatique devant le Congrès des États-Unis.
James Hansen: « La science est absolument claire... nous devons réduire les émissions carboniques au cours des toutes prochaines décennies. »
Dans un monde où les politiques veulent nous faire croire qu'il est encore possible de limiter le réchauffement global à 1,5°C, James Hansen n'est guère le bienvenu. Son dernier papier « Ice Melt, Sea Level Rise & Superstorms » lance un véritable défi à la pensée conventionnelle. On ne manquera pas de le traiter d'«alarmiste ». D'ailleurs, Hansen, c'est du sérieux : ses pairs l'écoutent, depuis longtemps, et on ne peut pas l'accuser de dire n'importe quoi. D'autre part, pour ses derniers travaux il s'est entouré 18 coauteurs, tous plus érudits les uns que les autres. Si Hansen dit que le danger est grand et l'échéance très courte, il vaut peut-être mieux lui prêter attention.
Pour le scientifique américain “père de la science climatique”, James Hansen, “on est tout près de mettre nos enfants dans une situation où ils ne pourront plus maîtriser le climat”. Pourtant, une solution existe, explique-t-il depuis des années, pour laisser les énergies fossiles sous terre et ainsi limiter le réchauffement global: faire en sorte qu’elles soient les énergies les plus chères, définitivement, avec un prix du carbone consistant à taxer de plus en plus les émetteurs pour redistribuer du pouvoir d’achat aux citoyens et ainsi stimuler une nouvelle économie.
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