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Ces phénomènes, surnommés points chauds de canicule, inquiètent les chercheurs, qui tentent d’en comprendre les causes.
Les 12 derniers mois ont tous enregistré des records de température, dépassant à chaque fois la limite de 1,5 °C au-dessus de la moyenne préindustrielle.
Les modèles climatiques régionaux sous-estiment le réchauffement en Europe, où la baisse de pollution accentue les vagues de chaleur, révèle une étude de l'EPFZ.
Le mois de mars 2024 a été le dixième mois d’affilée à enregistrer une température moyenne plus élevée qu’un mois de mars normal, selon le service changement climatique (C3S) de l’observatoire européen Copernicus.
La Terre vient de vivre une période alarmante, marquée par les douze mois les plus chauds jamais enregistrés.
Le mercure semble s’affoler dans les thermomètres en cette fin de mois d’août. Interrogé sur La Première, Pascal Mormal, météorologue à l’IRM, confirme qu’on "sera 5 à 6 degrés au-dessus des normales de saison. Une vague de chaleur répond à des critères précis : il faut au moins cinq jours consécutifs durant lesquels il y a une température d’au moins 25 degrés, et dans cette séquence il faut au moins trois journées durant lesquels on atteint ou dépasse les 30 degrés. A priori ces critères ne seront pas rencontrés. Mais on peut parler d’un pic de chaleur. Nous allons échapper au pire grâce à l’influence océanique qui va tempérer" l’atmosphère ces vendredi et samedi. Cela restera en Belgique plus supportable maintenant que si cela se passait en juillet : "Le soleil est moins haut dans le ciel et les nuits sont sensiblement plus longues, ce qui permet d’atténuer en partie les grosses chaleurs".
Les climatologues ont peur de ce qu’ils ont découvert ces derniers jours. La température des océans a atteint un nouveau record. Les côtes de l’Amérique du Nord sont baignées d’une eau inhabituellement chaude, 13.8 degrés Celsius plus que la moyenne. Les températures élevées du Pacifique équatorial Est annoncent une année El Niño, mais d’autres océans subissent aussi [...]
Climat : 21 jours anormalement froids en France en 2022, contre 125 jours plus chauds que la moyenne
(13/12) - Pierre Breteau,EN UN GRAPHIQUE – L’épisode de froid que traverse l’Hexagone ne contredit en rien la réalité du réchauffement climatique.
L’été 2022 a été l’un des plus chauds jamais observés. D’après la NASA, l’anomalie pour la période de juin à août 2022 a atteint un niveau record depuis le début des relevés en 1880. Pour la réanalyse ERA5, la moyenne sur juin-juillet-août 2022 se classe au troisième rang, derrière 2019 et 2016. Le comparateur ci-dessous permet de voir les cartes d’anomalies de la NASA et d’ERA5 pour juin-juillet-août en déplaçant le curseur vers la droite ou vers la gauche.
Le mois dernier fut l'un des juillets les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, a indiqué mardi l'Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence spécialisée de l'ONU basée à Genève.
Un après-midi de juillet, il y avait au moins 7 degrés de différence entre le South Bronx, l'un des quartiers les plus pauvres de New York, et l'Upper East Side de Manhattan, l'un des plus riches. La différence était encore plus grande entre le South Bronx et Central Park : près de 10 degrés.
Le climat en Europe a continué de se réchauffer en 2020, les régions arctiques de la Sibérie ayant même connu une année exceptionnelle, avec une température de plus de 4 degrés supérieure à la moyenne, a indiqué jeudi le service européen de surveillance du changement climatique Copernicus.
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Selon l’équipe de chercheurs, en seulement cinquante ans, 3,5 milliards de personnes pourraient être contraintes de vivre dans des conditions climatiques à la limite de l’habitabilité. À l’instar d’autres espèces, les êtres humains évoluent dans une « niche climatique », c’est-à-dire au sein d’endroits où la température et les précipitations leurs permettent de s’épanouir. Dans cette étude, l’équipe de chercheurs démontre que les populations humaines se concentrent, dans leur grande majorité, au sein de bandes climatiques tempérées, où la température annuelle moyenne oscille entre 11 et 15 °C.....
Des conditions climatiques presque invivables. Si rien n’est fait pour limiter les émissions de gaz à effet de serre, un tiers de l’humanité pourrait vivre, d’ici à cinquante ans, dans des endroits aussi chauds que le Sahara aujourd’hui. Ces 3,5 milliards de personnes sortiraient alors de la « niche climatique » dans laquelle les humains ont prospéré depuis six mille ans. Voilà les conclusions d’une étude publiée lundi 4 mai dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, qui met en lumière les risques maximaux auxquels le monde pourrait être soumis dans les prochaines décennies à moins que nous ne parvenions à inverser la tendance.