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cryosphère
Harry is a U.K.-based senior staff writer at Live Science. He studied marine biology at the University of Exeter before training to become a journalist. He covers a wide range of topics including space exploration, planetary science, space weather, climate change, animal behavior, evolution and paleontology. His feature on the upcoming solar maximum was shortlisted in the "top scoop" category at the National Council for the Training of Journalists (NCTJ) Awards for Excellence in 2023.
La fonte du permafrost est souvent présentée comme une bombe à retardement. Une nouvelle étude révèle d’ailleurs que la libération de méthane et la remobilisation de la matière organique ne seraient pas les seuls processus à mettre notre climat en péril. L’oxydation de certains minéraux libérés des glaces pourrait en effet avoir des conséquences importantes, en émettant d’énormes quantités de CO2.
C’est la glace. Les plus grand·es spécialistes de la cryosphère sont réuni·es au One Polar Summit, du 8 au 10 novembre à Paris, pour proposer leurs recommandations aux gouvernements afin de mieux comprendre les zones glaciaires terrestres et ralentir la fonte des glaces.
La fonte des glaces de l'Antarctique occidental devrait s'accélérer considérablement au cours des prochaines décennies et pourrait augmenter le niveau des mers, même si le monde respecte ses engagements pour limiter le réchauffement climatique, selon une étude publiée lundi 23 octobre.
La banquise de l'Antarctique a atteint sa surface maximale pour l'année, soit 16,96 millions de km². Mais celle-ci n'a jamais été aussi petite depuis le début des relevés scientifiques en 1979, a annoncé lundi l'observatoire américain de référence.
Ice-free summers inevitable even with sharp emissions cuts and likely to result in more extreme heatwaves and floods
Diminution de la banquise, fonte des glaciers… les modifications rapides et parfois irréversibles de la cryosphère – surface où l’eau est à l’état de glace – sous l’effet du changement climatique nécessitent une coordination internationale de toute urgence, a alerté l’ONU mardi. Par une décision unanime des pays membres de l’Organisation météorologique mondiale réunis actuellement en Congrès à Genève, l’organisation a approuvé une résolution qui fait de l’étude des modifications de la cryosphère “une de ses principales priorités”, a déclaré mardi une porte-parole de l’agence onusienne, Clare Nullis, aux journalistes. Cette décision a été prise “compte-tenu des impacts croissants de la diminution de la banquise, de la fonte des glaciers, des calottes glaciaires, du pergélisol et de la neige sur l’élévation du niveau de la mer, les risques liés à l’eau et la sécurité de l’eau, les économies et les écosystèmes”, a-t-elle expliqué.
Diminution de la banquise, fonte des glaciers... les modifications rapides et parfois irréversibles de la cryosphère - surface où l'eau est à l'état de glace - sous l'effet du changement climatique nécessitent une coordination internationale de toute urgence, a alerté l'ONU mardi.
Selon une étude, la calotte glaciaire du Groenland est arrivée à la moitié d'un point de basculement qui pourrait provoquer la fonte de sa partie sud. Une disparition de l'inlandsis augmenterait de sept mètres le niveau des mers.
Le réchauffement climatique fait surchauffer nos pôles. Alors on rêve de les refroidir. En comptant sur des techniques de géoingénierie. Des chercheurs disent que c’est techniquement faisable. Mais pour notre experte glaciologue, Heïdi Sevestre, c’est loin d’être une bonne idée.
La glace du Groenland fond. Toujours, au cours de l’été. Mais, de mémoire de scientifiques qui la gardent à l’œil depuis la fin des années 1970, elle n’avait jamais fondu autant aussi tard dans l’année.
Malgré l’altitude élevée à laquelle il se trouve, le glacier pourrait fondre en quelques décennies ; une découverte étonnante, qui alarme les environnementalistes.
Jusqu’à présent, les travaux portant sur la cryosphère planétaire, c’est-à-dire l’ensemble des zones où l’eau est présente à l’état solide, se sont concentrés sur des aspects précis de cette dernière : glaces de mer, calottes polaires, manteau neigeux, pergélisol, etc. Dans une étude récente, un groupe de chercheurs a désormais considéré la cryosphère dans sa globalité et quantifié son évolution entre 1979 et 2016.
Interview.- Essai singulier, Penser comme un iceberg, livre du philosophe écologue Olivier Remaud, nous invite à construire un monde dont l’homme ne serait pas l’épicentre. Parce que la vie est partout, au sein des glaciers, des arbres, des rivières… Échanges limpides avec Élisabeth Quin.
La fonte de la glace de mer a entraîné une prolifération considérable du phytoplancton sous la glace, attirant les espèces méridionales vers les pôles. Les espèces de poissons des latitudes inférieures se déplacent vers les mers périphériques de l'océan Arctique, déplaçant et supplantant les espèces indigènes. Et les prédateurs tels que les ours polaires, subissent les conséquences de la disparition de la glace.
Manuel à destination des enseignants du primaire et du secondaire
Les glaciers de la planète Terre fondent à vitesse accélérée. Avec une perte de masse de glace d’environ 267 milliards de tonnes par an depuis l’an 2000. L’accélération ? La perte totale de glace est passée de 227 gigatonnes (un giga égale un milliard) de glace par an entre 2000 et 2004 à 298 gigatonnes par an entre 2015 et 2019.
En 2020, la température moyenne globale à la surface de la Terre a été de 1,2°C plus chaude que la moyenne des années 1850 à 1900. Elle prend la deuxième place parmi les années les plus chaudes, à seulement 0,02°C de 2016, qui reste la plus chaude jamais enregistrée. Tandis que la concentration en gaz carbonique, principal gaz à effet de serre, s’accroît régulièrement d’année en année, la température moyenne globale augmente de façon irrégulière
océan Austral, aussi appelé océan Antarctique, ne ressemble à aucun autre. Les océans du monde entier captent en effet plus de 90 % de la chaleur excédentaire générée par l’utilisation de combustibles fossiles et un tiers des rejets de CO2 qui en résultent.Le cycle annuel de formation et de fonte des glaces de mer autour de l’Antarctique fait partie des phénomènes déterminants pour la planète
Réchauffement de l’air et de l’eau, fonte des glaces de mer et du Groenland, dégel du pergélisol, émissions de méthane, changements des paysages, incendies, couche d’ozone fragilisée, anticyclones persistants, rétroactions… Tous les signaux actuels venant de l’Arctique, point sensible du climat, glissent tranquillement vers l’emballement tandis que les prévisions globales continuent également de s’aggraver…