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déconsommation
TikTok n’est pas seulement le temple du consumérisme. Des internautes se rebiffent en promouvant la sobriété.
Moins de viande, moins de poisson… les Français seraient-ils devenus plus attentifs à l’impact carbone de leur alimentation ? Pas vraiment, ils subissent. Ils subissent l’inflation alimentaire au point de devoir réduire la qualité et la quantité de leur panier alimentaire. Une situation d’autant plus inquiétante qu’elle semble s’inscrire dans la durée.
Depuis quelques jours, une campagne publicitaire portée par l’Agence de la transition écologique (Ademe) autour de la sobriété provoque l’ire des acteurs du commerce, entraînant des désaccords jusqu’au sein du gouvernement.
Un peu déconsommateurs, farouchement indépendants et surtout déterminés à inventer leur propre mode de vie. Pas étonnant que les frugaux, qui concentrent plusieurs tendances sociétales actuelles, aient le vent en poupe. Leur lubie : s’affranchir de la nécessité d’avoir un salaire et retrouver la maîtrise de leur temps, en épargnant comme des forcenés pendant quelques années, pour prendre leur retraite avant 40 ans. Toute la semaine, Novethic explore les nouvelles façons d’aborder la sobriété, dans une série "vivre sans".
Notion ancienne mais plus que jamais d’actualité, la « sobriété » regroupe des réalités multiples à travers des démarches de frugalité, simplicité, zéro gaspillage, efficacité, sobriété énergétique, ou encore de déconsommation. Le dénominateur commun de ces approches est la recherche de modération dans la production et la consommation de produits, de matières ou d’énergie. On peut toutefois s’interroger sur la portée de la notion de sobriété, car celle-ci donne lieu à deux types d’interprétations qui révèlent des choix radicalement différents face à la transition écologique.
L’injonction de consommer moins mais mieux est devenu une réalité, analyse Cécile Désaunay dans son essai "La société de déconsommation, la révolution du vivre mieux en consommant moins". La tendance est volontairement portée par les plus diplômés et les femmes mais aussi par l’évolution structurelle de la population, plus âgée et avec de moindres besoins. Sans s’en apercevoir, la société a-t-elle ainsi atteint un "peak stuff" ?
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Mouvement né aux États-Unis, le frugalisme prône la déconsommation à travers un mode de vie simple.
Sensibilité grandissante à l’écologie, au développement durable, à la cause animale, aux valeurs féministes, à l’engagement sociétal : la « dé-consommation » a le vent en poupe.