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Quatre des huit membres du conseil scientifique chargé de superviser le document ont signé un commentaire critique soulignant leurs désaccords sur des amendements, notamment obtenus par le ministère de l’agriculture.
Malgré l’accumulation de preuves scientifiques sur les dangers des pesticides, la Wallonie peine à agir : pourquoi ce décalage entre alertes sanitaires et décisions politiques ? Céline Bertrand, spécialiste en santé environnementale qui participe à la formation des médecins généralistes, dénonce un aveuglement. Elle implore d’arrêter de « tourner autour du pot ».
Si on a longtemps considéré que l’infertilité était un problème purement féminin, on sait aujourd’hui qu’il n’en est rien. Selon certaines estimations, 20 % à 30 % des cas sont directement imputables à des problèmes touchant les hommes. En marge des facteurs liés aux modes de vie, un faisceau d’indices semble incriminer notamment certains polluants environnementaux, tels que les pesticides.
La Société scientifique de médecine généraliste (SSMG) dézingue l’audience du toxicologue Alfred Bernard devant les Commissions Santé et Agriculture du Parlement wallon. Celui-ci confondrait opinion et sciences, ne se baserait pas sur des données actualisées et évacuerait la question des perturbations endocriniennes. Le principal intéressé dénonce une tendance à imposer une idéologie à la science. Tour d’horizon d’une polémique scientifique et politique.
Nous acteurs Français, Belges et Européens de la santé publique, de l'agriculture biologique et de l’environnement, prenons l’engagement d’unir nos forces pour faire advenir un nouveau chapitre de la santé publique grâce à une alimentation et une agriculture (jardins familiaux, élevage, grandes cultures, arboriculture, maraîchage, vignobles, etc) sans pesticides de synthèse.
Notre nourriture est contaminée par au moins 183 types de résidus de pesticides. Une pollution stable, mais dont l’effet cocktail – le mélange de ces produits – est peu documenté. Tous les aliments ne sont pas concernés au même niveau. On vous aide à y voir plus clair.
Stop aux pesticides ! Voilà le message porté par le collectif français des Mutuelles pour la santé planétaire. Dans leur "Odyssée pour notre santé", ils dénoncent une agriculture qui tue la terre, les vivants et en premier lieu, les agriculteurs.
Les auditions au parlement de Wallonie ont été marquées par l’intervention atypique d’Alfred Bernard, en rupture avec les autres experts. Le toxicologue, lui, ne cache pas son action politique.
Une agriculture française 100 % bio serait meilleure pour notre santé et celle de l’environnement. On pourrait arriver à cette généralisation du bio si l’on réduisait notre consommation de viande. Ce qui aurait également des effets bénéfiques pour notre santé.
Dans le sillage de la mobilisation contre la loi Duplomb, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées à l’appel d’associations locales et d’élus dans la ville de Charente-Maritime. Leur objectif : faire reconnaître les dommages créés par les pesticides sur la santé et l’environnement.
Très attendues, les conclusions de l’expertise d’ampleur menée par Santé publique France et l’Anses confirment que l’usage de ces substances chimiques par les viticulteurs sont les principaux facteurs de contamination des riverains et de leur environnement.
Une étude d’ampleur publiée par l’Anses et Santé publique France, le 15 septembre, est sans appel : les personnes vivant près des vignes sont davantage exposées aux pesticides.
Victime d'un cancer du foie il y a dix ans, André Tesson a révolutionné son modèle agricole. Ancien céréalier, il s'est séparé de la moitié de ses terres, s'est reconverti dans les fruits à coque et est devenu l'un des rares producteurs de noisettes bio en France. Vert l’a rencontré.
Au sud-ouest de Nantes, une assistante maternelle à la retraite bataille pour que l’Assurance maladie reconnaisse le lien entre son cancer et les pesticides épandus par ses voisins maraîchers.
Par un arrêt du 3 septembre 2025, la cour administrative d’appel de Paris juge que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) a commis une faute en ne procédant pas à l’évaluation des produits phytopharmaceutiques au vu du dernier état des connaissances scientifiques. En conséquence, la Cour ordonne à l’Etat de mettre en œuvre une évaluation conforme aux exigences requises et de procéder, dans un délai de vingt-quatre mois, à un réexamen des autorisations de mise sur le marché déjà délivrées.
La justice a ordonné à l’État de revoir ses procédures d’autorisation de mise sur le marché des pesticides. Cette décision « historique » reconnaît le « préjudice écologique » de la contamination des milieux par ces substances.
Ce mercredi, la cour administrative d’appel de Paris a condamné l’État français pour son insuffisante protection de l’environnement et de la santé humaine. Elle demande notamment la révision des procédures d'autorisation des pesticides pour mieux tenir compte de leurs impacts sur la biodiversité.
Le fonds a enregistré, en 2024, près d’un millier de dossiers de maladies causées par l’exposition professionnelle aux produits phytosanitaires, en hausse de 43 % par rapport à 2023.
En Savoie, dans le Calvados ou dans les Pyrénées-Orientales : les interdictions de se baigner en eau douce se multiplient depuis quelques semaines. En cause, les cyanobactéries, favorisées par les fortes chaleurs et rejets agricoles, qui peuvent être toxiques pour l’humain et les chiens.
A propos de la maladie d’Alzheimer : je suis affligée d’entendre les journalistes relayer des "études scientifiques" qui auraient identifié la "cause" de cette maladie sans même évoquer les pesticides (comme on a perdu 15 points de QI en un siècle grâce aux pesticides, ceci explique sans doute cela). C’est carrément une faute déontologique et de la désinformation à ce niveau. Environ 225 000 cas par an sont diagnostiqués en France. Le nombre total de malades explose et est estimé entre 1,4 et 2,5 millions en 2025 (parce que l'État ne communique plus les chiffres réels tant ils sont apocalyptiques). Elle est la cause la plus courante de démence, à l’origine de 60 à 70 % des cas de troubles mentaux et neurologiques. Dire que l'on aurait nouvellement identifié qu'une carence en lithium en serait à la base, ne constitue nullement une explication et comme si on cherchait une explication (??!). Ça bien fait longtemps qu'on connait la cause, et c'est sans aucun doute pour cela que cette maladie est reconnue
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