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L’activité humaine contemporaine émet dans l’atmosphère des gaz à effet de serre en telle quantité que le climat en est modifié. L’humanité doit - nous devons - réduire drastiquement les émissions dès à présent afin de maintenir des conditions favorables à la vie sur Terre. La dépendance de toute notre économie aux énergies fossiles est la principale cause de ces émissions. Pour réaliser des actes aussi fondamentaux que manger, se loger, se vêtir, se déplacer, nous brûlons généralement des combustibles fossiles. Se déplacer en avion est aujourd’hui un moyen très efficace de rejoindre le lointain : ce mode de transport permet un élargissement des horizons. C’est en revanche aussi une des manières les plus efficaces d’émettre une quantité importante de gaz à effet de serre dans un temps court1 . L’usage de l’avion de manière régulière est par ailleurs réservé à une faible part de la population mondiale. Même au sein d’un pays occidental comme la France, la « démocratisation » annoncée n’a pas vraiment eu lieu2
1.5 °C scenarios reported by the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) rely on combinations of controversial negative emissions and unprecedented technological change, while assuming continued growth in gross domestic product (GDP). Thus far, the integrated assessment modelling community and the IPCC have neglected to consider degrowth sce- narios, where economic output declines due to stringent climate mitigation. Hence, their potential to avoid reliance on negative emissions and speculative rates of technological change remains unexplored. As a first step to address this gap, this paper compares 1.5 °C degrowth scenarios with IPCC archetype scenarios, using a simplified quantitative repre- sentation of the fuel-energy-emissions nexus.
1.5 °C degrowth scenarios suggest the need for new mitigation pathways
SR1.5 Foire aux questions
Lettre 11 - oct 2018 : Le rapport spécial du GIEC
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La Commission européenne a dévoilé mercredi ses propositions pour répartir Etat par Etat l'effort de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans l'UE d'ici 2030, de 0 à 40% en fonction notamment de leur PIB. Ces réductions, par rapport aux niveaux enregistrés en 2005, doivent contribuer à tenir l'engagement de l'Union européenne au sein de l'accord de Paris sur le climat conclu en décembre de baisser globalement ses émissions de 40%.
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La conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques (ou Conférence Stockholm + 50), qui s'est tenue du 30 novembre au 12 décembre 2015 - soit un demi siècle après la Conférence de Stockholm - au Bourget en France, est à la fois la 21e conférence des parties (d'où le nom COP 21) à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et la 11e conférence des parties siégeant en tant que réunion des parties au protocole de Kyoto (CMP 11)[1],[2]. Chaque année, les participants de cette conférence se réunissent pour décider des mesures à mettre en place, dans le but de limiter le réchauffement climatique.
Conférence des Parties Vingt et unième session Paris, 30 novembre-11 décembre 2015 Point 4 b) de l’ordre du jour Plateforme de Durban pour une action renforcée (décision 1/CP.17) Adoption d’un protocole, d’un autre instrument juridique ou d’un texte convenu d’un commun accord ayant force juridique, élaboré au titre de la Convention et applicable à toutes les Parties
La quasi totalité des pays - 187 - ont remis à l'ONU, pour la COP de Paris, leurs engagements de réduction des gaz à effet de serre à l'horizon 2025-2030, des promesses qui restent insuffisantes pour contenir le réchauffement sous le seuil des +2°C.
infographie
1. Decides to adopt the Paris Agreement under the United Nations Framework Convention on Climate Change (hereinafter referred to as “the Agreement”) as contained in the annex; ...
La rédaction web de la RTBF vous propose cette carte blanche de Noé Lecocq, chargé de mission "Energie- Climat" à Inter-Environnement Wallonie. Depuis le Sommet de Copenhague en 2009, l'objectif de maximum 2 °C de réchauffement moyen global depuis l'ère pré-industrielle s'est imposé politiquement. Dans le milieu scientifique, des voix se sont cependant élevées pour indiquer que, même à partir de 1,5 °C de réchauffement, des risques climatiques importants existent.
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