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fonds marins

06 août 2025

Le riche homme d’affaires Gerard Barron est le cerveau de The Metals Company, une entreprise canadienne qui veut être la première au monde à extraire des métaux précieux des abysses, dès 2026. Son projet est sur le point de se concrétiser grâce à ses liens étroits avec la sphère politique américaine, encore faut-il que l’Autorité internationale des fonds marins le laisse faire. Portrait.

26 juillet 2025

Le code minier, en discussion depuis des années, n’a pas été finalisé. Le représentant du président français espère que de nouveaux Etats se positionneront en faveur d’une pause de précaution et vise « une coalition de 80 pays » à l’été 2026.

25 juillet 2025

Grâce à Donald Trump et sous couvert de greenwashing, Gerard Barron est l’une des figures de l’exploitation des abysses, très décriée. Le riche PDG veut y extraire des minerais, quitte à tout y détruire.

21 juillet 2025

La restauration des écosystèmes détruits par l'extraction minière en haute mer n'est pour l'instant qu'un mirage, estiment les scientifiques. De quoi remettre en question les futures réglementations internationales de la pratique, qui pourraient utiliser la notion de "remise en état des fonds marins".
La compagnie fait miroiter aux investisseurs les profits tirés des minerais abrités au fond de l’océan et tente de forcer le passage pour obtenir un permis d’exploiter, malgré les risques pour l’environnement. Mais la faisabilité technique et la rentabilité de cette activité sont sujettes à caution.

07 juillet 2025

Les ressources minières des fonds marins n’en finissent plus de cristalliser des tensions internationales. Alors que la prochaine session de négociations de l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM) doit débuter le 7 juillet, l’autorité onusienne se trouve sous pression. Tandis qu’elle planche encore sur l’élaboration d’un Code minier international pour les fonds marins, elle pourrait fait face à une tentative de passage en force de certains industriels et de leur allié américain.

17 juin 2025

Même si on protégeait 30 % des océans, ce ne serait pas suffisant.
A Nice, la troisième conférence internationale sur les océans (Unoc 3) a fait le plein toute la semaine. De nombreux engagements ont été pris et des coalitions lancées pour un moratoire sur l'exploitation minière en fonds marins ou un traité plastique ambitieux. Mais les mesures concrètes manquent, notamment sur les aires marines protégées. Le bilan apparaît donc mitigé.

16 juin 2025

La conférence mondiale sur l’océan s’est achevée à Nice le 13 juin, l’occasion pour l’Observatoire des médias sur l’écologie de se pencher sur le traitement médiatique de cette séquence diplomatique. Résultat : les médias audiovisuels ont dédié 6,8% de leur temps d’antenne aux questions environnementales depuis début juin. Un niveau inédit depuis deux ans.

14 juin 2025

Après une semaine de discussions intenses, le sommet de Nice (Alpes-Maritimes) s’est conclu ce vendredi avec l’adoption d’une série d’«engagements pour l’océan». Si la France a relancé la dynamique internationale pour la protection de la haute mer et des grands fonds, elle s’est empêtrée dans des annonces trompeuses concernant ses aires marines protégées.
C’est une plante cruciale pour la santé de la mer Méditerranée. La posidonie, espèce marine endémique, forme de véritables forêts sous-marines. Présente à faible profondeur, elle oxygène l’eau, ralentit l’érosion des côtes et abrite une biodiversité foisonnante. Mais elle est aujourd’hui menacée par l’activité humaine, notamment le tourisme. Sa protection est au cœur des discussions à Nice, à l’occasion du 3e sommet des Nations Unies sur l’Océan.
Le sommet des océans s'achève vendredi à Nice, après cinq jours de discussions et de débats, avec de nombreuses promesses notamment pour une meilleure protection de la haute mer, la lutte contre la pêche illégale ou encore la mise en place d'aires marines protégées. Mais si de nombreux pays ont pris des engagements pour le Grand Bleu, ces avancées devront encore se concrétiser lors des prochains grands rendez-vous.
En marge des discours officiels de la conférence mondiale (Unoc) sur l’océan, des représentant·es de la pêche artisanale mauritanienne alertent sur les ravages des flottes européennes et asiatiques en Afrique de l’Ouest. Rencontre avec un pêcheur et une transformatrice de poissons.

13 juin 2025

La troisième Conférence des Nations unies sur l'Océan (UNOC) se termine ce vendredi à Nice. Il y a été rappelé à cette occasion l'urgence de réduire la dépendance du transport maritime aux énergies fossiles. En avril 2025, l'OMI (Organisation maritime internationale) a précisément adopté une réglementation « zéro émission nette » pour le transport maritime mondial qui prévoit entre autres la mise en place d'une tarification carbone pour le secteur(1).
Le gaz naturel liquéfié est la star du sommet sur l’océan, sponsorisé par l’armateur CMA CGM. Ce carburant est pourtant fort polluant. Les transports à voile, eux, ont une place riquiqui, décrit notre journaliste sur place.
Les besoins de financements pour les projets permettant de préserver et restaurer la nature marine sont loin d’être atteints par les acteurs financiers. A l’occasion de la 3e Conférence des Nations Unies sur les océans (Unoc 3), des initiatives de finance bleue commencent à émerger de la part d’acteurs publics et privés.
Depuis plusieurs années, les lobbys des industries de la pêche œuvrent en coulisses contre les normes de protection des océans. C'est ce que révèle un rapport d'experts publié par Influence Map, qui éclaire les pratiques d'influence des industriels, en pleine Conférence internationale sur les océans.
Éric Guilyardi est océanographe et climatologue, spécialiste de modélisation climatique. Il s’intéresse tout particulièrement au phénomène climatique El Niño. Il a été auteur principal du 5e rapport du GIEC et a contribué au 6e. Il anime également une réflexion sur l’éthique de l’engagement public des scientifiques. Ce grand entretien, mené par Benoît Tonson, est l’occasion de mieux comprendre les liens entre l’océan et le climat et de réfléchir à la place du scientifique dans les médias et plus généralement dans la société, au moment où se tient la troisième Conférence des Nations unies sur l’océan (Unoc 3) à Nice.
La question de la préservation des océans est sur toutes les lèvres lors de la conférence mondiale sur le sujet à Nice. Hausse des températures, disparition des coraux… voici sept infographies pour bien comprendre ce dont on parle.
Le sommet de l'Onu sur l'océan s'achève ce vendredi à Nice sur une avancée, saluée par les ONG, vers une meilleure protection de la haute mer, mais sans promesses de financements de grande ampleur.

12 juin 2025

Financée sur ce projet par l'Union européenne, la société toulousaine Mercator Ocean a pour objectif de rendre les données disponibles de l'océan accessibles à toutes et tous. À l'occasion du sommet des océans à Nice, elle a présenté une copie numérique de la planète qui permet de simuler et surveiller les risques environnementaux tout en trouvant des moyens d'atténuer le changement climatique.
Dans une tribune au « Monde », Rémi Parmentier, à l’initiative de la plateforme Let’s Be Nice to the Ocean, estime que la conférence de Nice est l’occasion de diminuer enfin, sinon de supprimer, les aides publiques à la pêche intensive, dévoreuse de carburant, semeuse de déserts sous-marins et de ruine pour les petits pêcheurs.

11 juin 2025

En plein sommet mondial sur l’océan, 95 États ont lancé mardi un «appel de Nice pour un traité ambitieux sur le plastique». Face au blocage des pays pétroliers et avant des négociations décisives en août prochain, les signataires exhortent à agir sur la réduction de la production de polymère.
La préservation des océans, c'est un des nombreux défis pour la survie de la planète et de l'espèce humaine. Il en est actuellement question à Nice, où se tient la 3ème conférence des Nations Unies sur l'Océan. Avec un Liégeois pour nous représenter. Lui, c'est Harold t'Serstevens. Il a 26 ans, baroudeur, bio-ingénieur, et délégué ONU pour la biodiversité pour la jeunesse francophone. De conférences sur le climat en conférences sur les océans, les lignes ne bougent pas facilement. Alors, quel est l'espoir des jeunes? Que va réclamer le jeune liégeois ? Nous lui avons posé la question.
Dans un « appel de Nice » lancé à l’occasion de la Conférence des Nations unies sur l’océan, 95 pays demandent l’adoption d’un objectif mondial pour réduire la production et la consommation de plastiques.
Au cœur de la conférence mondiale qui se déroule cette semaine à Nice, l’océan est un élément incontournable de notre système climatique. Tour d’horizon des impacts du dérèglement du climat sur les mers du globe, et des ressources qu’elles nous offrent pour lutter.

10 juin 2025

Une coalition de 37 pays, menée par le Panama et le Canada, s'est engagée lundi à Nice (sud-est de la France) à combattre une menace majeure mais invisible : la pollution sonore du transport maritime, qui nuit à de nombreuses espèces sous-marine.
Le directeur de la Fondation Tara Océan défend la cause de la biodiversité marine au sommet international des océans à Nice.
La troisième conférence des Nations-Unies sur les océans, l'Unoc, qui s’ouvre ce lundi 9 juin à Nice, en présence d’une cinquantaine de chefs d’Etat, doit aboutir d’ici le 13 juin à la "Déclaration de Nice". Mais d’ores et déjà, le sommet est entaché par plusieurs polémiques.
Quand on parle de réchauffement climatique, on pense souvent à l’air qui se réchauffe. Mais c’est l’océan qui, grâce aux courants marins et aux propriétés exceptionnelles de l’eau, a jusqu’à présent absorbé frontalement une grande partie du réchauffement. Avec l’accélération du changement climatique, la perte de biodiversité et la pollution omniprésente, les observations océaniques sont indispensables pour évaluer et préserver la santé des océans.

09 juin 2025

Le traité de protection de la haute mer, dont l'entrée en vigueur est espérée d'ici la fin de l'année, donnera des moyens d'action pour la conservation et la gestion durable de la biodiversité marine dans l'immense partie des océans qui n'appartient à personne.
La question de la réelle protection de ces espaces essentiels pour préserver les écosystèmes marins s’invite dans les discussions de la conférence mondiale sur l’océan qui se tient cette semaine à Nice. Si la France revendique désormais la protection d’un tiers de son territoire maritime, l’immense majorité de ces zones autorise quand même des pratiques de pêche destructrices pour la biodiversité.
Depuis 1990, l’océan a absorbé 26% des émissions anthropiques de CO2 et la biosphère 30%, le reste s’accumulant dans l’atmosphère. Sans l’action de ces puits, la croissance du stock de CO2 atmosphérique aurait été bien plus rapide. Pour que les baisses d’émissions conduisent à la neutralité carbone, il est crucial qu’océan et biosphère continuent de retirer le CO2 de l’atmosphère.
La conférence de l'ONU sur les océans s'est ouverte lundi à Nice par des appels à la mobilisation et au multilatéralisme pour éviter le chacun-pour-soi dans les eaux internationales, avec en filigrane une dénonciation de la politique unilatérale du président américain Donald Trump, absent du sommet.
Le traité, signé en 2023, visant la protection des zones au-delà de 370 kilomètres des côtes, entrera en vigueur 120 jours après la 60e ratification. Aucun calendrier précis n’a été indiqué par le président français.
La Conférence des Nations unies sur l’océan, qui s’ouvre à Nice, risque de n’aboutir qu’à des déclarations non contraignantes, alors que les activités industrielles et le changement climatique mettent en péril ces écosystèmes.
Le Royaume-Uni a dévoilé ce lundi 9 juin un plan pour lutter contre cette pratique controversée consistant à racler les fonds marins avec un gigantesque filet de pêche. L’objectif est notamment de protéger les habitats marins.
A la veille de la conférence de l’ONU sur l’océan qui se tient à Nice, un comité de scientifiques internationaux dévoile ce dimanche 8 juin un rapport inédit sur l’état de santé des océans.
Les organisations environnementales dénoncent l’absence de mesures contraignantes pour protéger réellement la biodiversité dans ces zones.
Exploiter les métaux rares présents sur les planchers océaniques, au risque d’abîmer des écosystèmes encore méconnus : ce dilemme qui travaille la communauté internationale sera au centre des discussions de la Conférence des Nations unies qui s’ouvre à Nice le 9 juin.