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écologie capitalisme

19 février 2025

Frédéric Lordon, philosophe et économiste français, donne une conférence sur la nécessaire sortie du capitalisme pour la survie de l'espèce et de notre société. Il nous régale, comme d'habitude, de ses punchlines et de sa pertinence. Arrêtez d'être éco-anxieu, soyez éco-furieux !

15 décembre 2024

Au temps du changement global, une question est récurrente. Pouvons-nous continuer avec le capitalisme ou faut-il changer radicalement de mode d’organisation pour faire face à la situation ? Cette question est directement liée à celle des rapports entre sociétés capitalistes et nature extra-humaine.

11 décembre 2024

À quelles conditions les ouvrier.es qui récupèrent leur usine en autogestion peuvent-ils et elles initier une redirection écologique de la production ? Dans ce texte, trois exemples : l’usine de matériaux de construction Vio.Me à Thessalonique (Grèce), récupérée et transformée en atelier autogestionnaire de confection de produits ménagers bios depuis 2013 ; celui de la lutte et du projet de reconversion écologique, visant la construction de vélos-cargos et de panneaux photovoltaïques, des ouvrier.es de l’usine d’équipements automobiles GKN à Florence (Italie) ; et celui de la lutte ouvrière et de l’alliance de syndicalistes et de militant.es écologistes contre un projet de « transition écologique »..

18 novembre 2024

Karl Marx a souvent été considéré par les mouvements écologistes comme un productiviste, fasciné par le progrès technique et insensible à la nature. Pour J. B. Foster et B. Clark, il est au contraire urgent de réconcilier l’écologie politique avec sa critique du capitalisme.

03 novembre 2024

Dans son dernier ouvrage, "Le marché contre l'humanité" (PUF), le philosophe Dominique Bourg plaide pour mettre fin à la souveraineté de la sphère économique, au profit des souverainetés politique et anthropologique. Il défend également une redéfinition de la notion de progrès. Son objectif est de sauver l'Humanité.

30 août 2024

Faire face au changement climatique semble compromis dans le cadre de nos organisations politiques contemporaines.

19 août 2024

Le calendrier révolutionnaire de Reporterre a renommé août. Place au mois d'outarde ! Un mois qui fait l'éloge des penseuses et penseurs du vivant, de l'écosabotage et de la vie simple pour sortir de l’exploitation capitaliste.

15 août 2024

le désastre écologique continue imperturbablement, et est même aggravé par l’extractivisme nécessaire au développement des énergies dites « renouvelables » et des technologies dites « propres » ou « vertes » en général. La civilisation industrielle s’apprête à achever de détruire ce qu’il reste du monde naturel, mais désormais au nom de l’écologie, du sauvetage de la planète ou de la lutte contre le réchauffement climatique. Et comment retrouver un mouvement écologiste digne de ce nom ?
À l’heure de la crise écologique, le dogme révolutionnaire de la « réappropriation des moyens de production » ne peut plus être affirmé innocemment. Moteur humain, moteur mécanique : ce sont là les bases de l’invention capitaliste du « travail ». La croyance en la substituabilité indéfinie d’une dépense d’énergie abstraite nourrit le développement technologique et entretient une relation ambivalente avec la thermodynamique. Une conception substantialiste de la valeur, telle que développée par Karl Marx et relue par Robert Kurz, permet de réinscrire le paradigme énergétique à l’intérieur de la forme sociale capitaliste et d’en expliciter la dynamique propre. Le rapport de composition organique du capital articule en effet étroitement le « travail mort » des machines et le « travail vivant » des humains. La crise énergétique et ses retombées écologiques constituent en ce sens le mur externe du métabolisme capitaliste, l’autre mur étant la création d’une humanité superflue. L’abolition du travail abstrait ne pou
L’impasse capitaliste se résume en une double crise : économique et écologique. Soit relancer la croissance quelles que soient les conséquences sur la nature, soit préserver l’environnement au détriment des profits. La solution à ce dilemme prend la forme d’une incantation magique : produire autrement. Après avoir démontré la supercherie d’un capitalisme vert, Tom Thomas aborde le problème sous un angle bien plus radical et politiquement dérangeant: le travail. Car c’est bien le travail comme rapport d’exploitation qui structure toute la production capitaliste et qui épuise les êtres humains aussi bien que la nature...