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12 juillet 2024

Olivier De Schutter lance un avertissement. Non, la croissance ne résoudra en rien la question des inégalités ni celle des multiples crises environnementales. Au contraire, elle ne fera que les aggraver. Chiffres à l'appui, il démontre l'urgence d'un changement de boussole pour bâtir collectivement la société post-croissance.

10 juillet 2024

Le Manuel de la grande transition, un indispensable pour penser et agir face aux bouleversements actuels. Grande thématique par grande thématique, cet ouvrage propose un socle de connaissances et de compétences issues de différentes disciplines pour appréhender les grands enjeux scientifiques, économiques, éthiques, juridiques et politiques.

04 juin 2024

Face au changement climatique - (EAN13 : 9782271150462) édité par CNRS Editions - Quantifier les variations passées du climat et du cycle de l’eau atmosphérique à partir d’archives naturelles, utiliser ces informations pour évaluer les

28 avril 2024

D’où vient la collapsologie, cette pensée de l’effondrement civilisationnel qui a émergé au mitan des années 2010 ? L’enquête ethnographique menée par l'auteur de 2012 à 2017 auprès de réseaux informels mêlant catastrophisme et spiritualité permet de revenir à ses origines et de comprendre comment des références, des idées, un certain rapport au monde, des parcours individuels, et des réseaux d’interconnaissances et de pratiques, l’ont structurée à ses débuts. Il en ressort que la perspective d’effondrement n’est pas tant une pensée de la fin du monde que celle de la fin d’un monde et un appel à un autre rapport au monde, systémique, non-dualiste et non-anthropocentrique, un univers de sens partagé avec le milieu des spiritualités alternatives. La collapsologie est ainsi une construction complexe qui puise dans les sciences légitimes avec une dimension intérieure, spirituelle, incontournable sans pour autant se réduire à la catégorie accusatoire de « religion de l’apocalypse ».

22 avril 2024

Les destructions des écosystèmes se sont accélérées et ont exacerbé les relations de dominations entre Nord et Sud globaux. L’environnementalisme occidental, par son exclusion d’une partie des peuples de la Terre, a échoué à proposer des outils théoriques, pratiques et politiques pour véritablement confronter la crise écologique globale et construire un monde plus juste. En partant des expériences des peuples autochtones et subalternes du Sud et Nord, et des territoires anciennement colonisés y compris des « Outre-mer », Plurivers offre une approche plurielle des pensées de l’écologie allant au-delà de la modernité occidentale. Internationale, interdisciplinaire et plurilingue, cette revue permet de penser les possibilités d’action selon notre position sociale et géographique ; elle dessine différents possibles afin de faire-monde en commun à l’heure où les conditions d’habitabilité de la Terre sont en péril.

30 mars 2024

À l'heure de l'urgence climatique, les ultra-riches ont mauvaise presse. Des trajets Paris-Londres en jets privés de Bernard Arnault au tourisme spatial de Jeff Bezos, les modes de vie carbonifères des élites économiques sont de plus en plus pointés du doigt. Les actions symboliques, les rapports et les articles de presse se multiplient pour dénoncer leur escapisme. À l'image de ces milliardaires qui, en pleine crise Covid, envoyaient des selfies depuis leurs ranchs en Patagonie ou leurs îles privées aux Caraïbes, les ultra-riches sont accusés de fuir leurs responsabilités. Or, loin d'être des observateurs passifs et détachés ou des preppers haut de gamme, les élites économiques sont des acteurs clés du débat climatique international. Elles sont les promoteurs acharnés du capitalisme vert, un projet politique taillé sur mesure et qui garantit leurs intérêts de classe dans un monde en surchauffe. Ce livre est le premier à en exposer non pas uniquement les mots d'ordre (qui sont déjà assez connus), mais le

17 mars 2024

« L’influence n’est pas réservée à des stars aux millions d’abonné·es qui font la une des magazines. L’influence est nichée en chacun·e de nous, prête à inspirer, informer, divertir… ». Ce livre est un guide pratique et éthique de l’influence.

04 mars 2024

La moitié des gouvernements de la planète ont fait le choix de placer la santé de leur population après la croissance de leur économie, faute d’avoir pris soin de la vitalité de leurs écosys­tèmes. La leçon est implacable : détruire la Nature est un sui­cide social et, accessoirement, une folie économique au-dessus de nos moyens. Éloi Laurent soutient que l’espérance de vie et la pleine santé doivent devenir nos boussoles communes dans ce nou­veau siècle, permettant de nous orienter les yeux grands ou­verts dans un monde où bien-être humain et vitalité des écosystèmes sont irrémédiablement entrelacés et projetés ensemble à toute allure dans une spirale de plus en plus vi­cieuse qu’il nous faut à tout prix inverser. Être prospère au­jourd’hui, c’est se donner les moyens de garantir la poursuite de l’aventure humaine dans vingt ou trente ans. Être pros­père, c’est donc d’abord être en bonne santé.

02 mars 2024

L’accélération de l’industrialisation et du développement économique mondial est illustrée par la croissance exponentielle de tous les indicateurs de l’activité humaine, de la prospérité et des impacts environnementaux depuis un siècle (Steffen et al., 2014). La population mondiale et sa proportion urbaine, le revenu et le niveau de vie moyen, la consommation en énergie et en matières premières montrent les mêmes tendances

21 janvier 2024

Cet ouvrage regroupe différents textes qui diversifient les points d’entrée sur le thème de l’écologie : réchauffement et dérèglement climatiques, destruction de la biodiversité, extractivisme ; besoins et biens communs, rapports nature/culture ; marchandisation généralisée des échanges, économie, finance ; décroissance, démondialisation, libre échange, néocolonialisme, migrations ; rapports de domination, démocratie, auto-organisation, souveraineté populaire, écoféminisme. Derrière les textes, une constante : l’analyse du capitalisme (sous toutes ses formes), du productivisme et de l’extractivisme comme moteurs essentiels de l’ère géologique dans laquelle nous sommes aujourd’hui : l’anthropocène ; que beaucoup préfèrent d’ailleurs qualifier de capitalocène. Mais, un autre constat se dessine aussi : la nécessaire bifurcation écologique, obligatoire pour garder une Terre habitable pour tou·tes, elle va générer de facto des basculements d’ordre anthropologique, qui vont impacter toutes nos manières de faire Mon