La biodiversité désigne la variété des formes de vie sur la Terre. Ce terme est composé du préfixe bio (du grec βίος / bíos, « vie ») et du mot « diversité ». Elle s’apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces et des gènes dans l’espace et dans le temps, ainsi que les interactions au sein de ces niveaux d’organisation et entre eux. Source : wikipedia
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Science
Last month was the hottest January on record, blitzing the previous high and stunning climate scientists who expected cooler La Niña conditions to finally start quelling a long-running heat streak. The Copernicus Climate Change Service said January was 1.75C hotter than pre-industrial times, extending a persistent run of historic highs over 2023 and 2024, as human-caused greenhouse gas emissions heat the planet.
Habituellement stable, le vortex polaire, ce système de vents froids qui entoure le pôle Nord, a récemment dévié de sa trajectoire. Cette déviation, observée début mars, pourrait avoir un impact sur les températures européennes, entraînant des conditions hivernales imprévues. Le 9 mars dernier, quelque chose d’inhabituel s’est en effet produit. Plutôt que de suivre son trajet habituel vers le printemps, le vortex a dévié de sa trajectoire et ses vents violents ont changé de direction, soufflant de l’ouest vers l’est, bien plus tôt que d’habitude. Ce type d’inversion de direction se produit chaque année, mais il a lieu normalement autour de la mi-avril, ce qui fait de cette inversion un événement particulièrement précoce.
Un fort réchauffement stratosphérique soudain a provoqué, depuis le 9 mars, une inversion du vortex polaire arctique. Ce phénomène rare a modifié le sens de rotation des vents stratosphériques, désormais orientés d’est en ouest, à rebours de leur direction habituelle. Par ailleurs, le centre de ce vortex s’est déplacé, se positionnant actuellement au-dessus de l’Europe du Nord. Selon les experts, cette configuration pourrait induire, dans les semaines à venir, des températures inférieures aux normales saisonnières sur certaines portions du continent.
Ces satellites ont attiré l'attention des analystes spatiaux du monde entier en raison de leur comportement énigmatique.
Conséquence extrême du réchauffement climatique, la sécheresse menace de nombreuses régions aux quatre coins du globe. Or, Paris et l’Île-de-France ne font pas exception, comme le souligne un rapport publié par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) le 17 mars 2025. Selon l’organisation, la raréfaction de l’eau pourrait coûter jusqu’à 2,5 milliards d’euros d’ici moins de trois décennies.
Depuis son investiture, Donald Trump multiplie les attaques contre les sciences aux États-Unis. Coupes budgétaires, gel des embauches et interdiction de mots dans les articles scientifiques inquiètent les chercheurs outre-Atlantique. Et nombre d’entre eux pourraient bien songer à changer d’air pour poursuivre leur carrière en Europe ou au Canada. Une chercheuse américaine a accepté de témoigner auprès de France 24 de ses difficultés personnelles actuelles.
Les États-Unis viennent de franchir une nouvelle étape dans la modernisation de leur arsenal nucléaire. La bombe à gravité B61-13, une arme de dernière génération, est entrée en production complète sept mois plus tôt que prévu. Développée pour s’adapter aux défis stratégiques du 21e siècle, cette bombe possède une puissance dévastatrice et des technologies avancées.
La Chine fait une nouvelle avancée spectaculaire dans le domaine de l’exploration énergétique. La China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) a récemment annoncé la découverte d’un gisement pétrolier colossal au large de la mer de Chine méridionale. Situé à 170 kilomètres au large de Shenzhen, dans la province du Guangdong, ce champ pétrolier, baptisé Huizhou 19-6, pourrait contenir jusqu’à 110 millions de tonnes de pétrole.
Les États-Unis hypothèquent-ils leur avenir scientifique ? Depuis janvier, l’offensive budgétaire de l’administration Trump, pilotée par le Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE), fragilise profondément la recherche publique. Face à ce climat délétère, plus de 75 % des scientifiques interrogés par la revue Nature envisagent l’exil, majoritairement vers le Canada ou l’Europe, tandis que la Chine poursuit son ascension.
Bien qu’elle soit souvent présentée comme une avancée prometteuse, l’intelligence artificielle suscite aujourd’hui de profondes inquiétudes, notamment quant à son impact sur l’emploi et les salaires. En février dernier, lors d’une conversation avec Patrick Collison, Bill Gates, fondateur de Microsoft et président de la Fondation Gates, exprimait ses craintes face à l’évolution de l’IA. Selon lui, une absence de régulation pourrait entraîner des suppressions massives d’emplois, une prédiction qui semble se concrétiser de jour en jour.
On les pensait inoffensifs, voire protecteurs. Et pourtant, les nuages qui survolent les océans semblent de moins en moins capables de renvoyer la lumière solaire vers l’espace. En clair : ils laissent passer plus de chaleur, contribuant à un réchauffement accru de la planète. Un phénomène récemment mis en lumière par des chercheurs britanniques, qui soulève un paradoxe troublant : et si l’air plus propre que nous respirons aujourd’hui… favorisait indirectement le changement climatique ?
L’énergie de fusion nucléaire, source d’énergie propre et potentiellement illimitée inspirée par les réactions qui se déroulent au cœur du Soleil, pourrait bien révolutionner notre futur énergétique. Pour maîtriser cette technologie complexe et prometteuse, des ingénieurs sont en train de construire le réacteur de fusion le plus sophistiqué jamais imaginé. Situé dans le sud-est de la France, le projet ITER chercheur à démontrer que la fusion nucléaire peut devenir une source d’énergie viable. Un défi de taille, rendu possible grâce à des outils de pointe, et notamment à l’intelligence artificielle (IA), qui est au cœur de la conception et de la gestion de ce réacteur futuriste.
Dans un monde où l’information est devenue à la fois omniprésente et suspecte, la destruction délibérée de bases de données scientifiques évoque de sombres souvenirs historiques. Elle représente une menace sérieuse pour l’avenir de la connaissance partagée, le progrès scientifique global et, plus fondamentalement, la richesse des nations. Depuis le 20 janvier 2025, l’administration aux commandes de la première puissance mondiale mène une campagne méthodique contre les données, particulièrement celles à caractère scientifique. Plus de 3 400 jeux de données, dont 2 000 à vocation scientifique, ont été supprimés des sites gouvernementaux américains. Cette offensive cible prioritairement les informations relatives au changement climatique, à la santé publique et à l’équité sociale.
Après l’université new-yorkaise Columbia, la prestigieuse Harvard située dans l’agglomération de Boston, se voit menacer de perdre ses subventions fédérales. L’administration lui reproche de laisser prospérer «l’antisémitisme» sur son campus.
Plus de 1 900 scientifiques membres de l’Académie nationale des sciences ont co-signé une lettre ouverte tirant la sonnette d’alarme sur « le réel danger » que représente l’administration Trump pour la science. Dès le début de son second mandat, le président a apporté de grands bouleversements portant directement atteinte à la communauté scientifique et aux recherches du pays.
L’entrée en vigueur de l’accord sur la gouvernance de la haute mer, l’arrêt de la surpêche mondiale et la défense de la science font partie des priorités énoncées, lundi, par le chef de l’Etat.
Des chercheurs ont mis au point des réseaux de neurones artificiels dits « infomorphes », capables d’apprendre de manière autonome et auto-organisée à partir de leur environnement immédiat.
Des chercheurs ont développé un nouveau vaccin universel ciblant les coronavirus, dont le SARS-CoV-2, le MERS-CoV (le virus responsable du syndrome respiratoire du Moyen-Orient) et ceux responsables de certains rhumes. L’approche consiste à cibler les molécules de sucres protégeant la partie stable et peu sujette à mutation des virus, permettant ainsi de les éliminer plus facilement. Elle pourrait ainsi contribuer à réduire le besoin de rappels vaccinaux.
Le système innovant conçu par les chercheurs de Caltech repose sur un réacteur photothermocatalytique à petite échelle qui fonctionne exclusivement grâce à l’énergie solaire. Contrairement aux méthodes traditionnelles qui reposent sur l’électricité ou les combustibles fossiles pour produire du carburant, ce réacteur utilise la chaleur solaire pour déclencher les réactions chimiques nécessaires à la production de carburant pour avions.
Géochimiste de renommée internationale, Charles Langmuir est professeur à Harvard. Il s'intéresse en particulier à l'évolution de notre planète et à la place de l'être humain sur Terre. Le scientifique américain lance l'alerte pour la planète et "les attaques contre la science" dans son pays.