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nationaux
2025
Il y a un siècle, chercheurs et écrivains s’opposaient à la menace fasciste de Mussolini. Cent ans plus tard, face à une nouvelle vague d’extrême droite, un collectif - dont Timothy Snyder, Carol Gilligan, Dominique Schnapper, Axel Honneth - alerte : il faut refuser toute soumission, soutenir les faits et les preuves, cultiver l’esprit critique.
Basé à Stockholm, l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale constate que 40 % des scrutins nationaux organisés en 2024 ont fait l’objet d’« une forme ou d’une autre de contestation de la crédibilité du résultat ».
Trois courants idéologiques à la fois contraires et convergents, les ultraconservateurs chrétiens, les nationaux-populistes et les techno-libertariens, sont portés par la victoire de Donald Trump.Cette internationale n’est pas structurée comme les internationales socialistes et communistes du XXe siècle, Des tentatives d’unification sont toutefois à l’œuvre depuis une décennie. Ancien conseiller stratégique de Donald Trump de 2016 à 2017, l’idéologue suprémaciste Steve Bannon avait lancé, en 2018 à Bruxelles, Le Mouvement, une fondation destinée à fédérer les populistes et nationalistes d’extrême droite en Europe.
Près de 200 pays du monde entier avaient jusqu'à lundi pour rendre leur nouvelle feuille de route climatique à l'ONU. Mais la quasi totalité ont raté le rendez-vous, suscitant des craintes d'attentisme des grandes économies dans leur lutte contre le changement climatique après le retour de Donald Trump.Selon une base de données de l'ONU, seuls 10 signataires de l'accord de Paris ont soumis leur stratégie actualisée de réduction des gaz à effet de serre d'ici à 2035 avant la date limite du 10 février.
Une dizaine de pays seulement a respecté la date fixée à lundi par l'ONU pour soumettre leur nouveau plan de lutte contre le réchauffement climatique. Parmi les retardataires, la plupart des grandes économies mondiales, pressées de présenter des stratégies exemplaires après le retrait des Etats-Unis.
2024
La fin de mandat des présidents américains s’accompagne souvent d’une création accrue de monuments nationaux. Mais Joe Biden pourrait bien être le dernier à jouir de ce privilège.
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
L’épargne nette ajustée des effets liés au climat est négative en France : Les émissions de gaz à effet de serre présentent un coût implicite qui n'apparaît pas dans les indicateurs macroéconomiques usuels. Ce coût implicite recouvre à la fois les dommages induits par le dérèglement climatique et le coût à payer pour décarboner les productions et ainsi éviter des dommages futurs encore plus importants. Des premiers travaux se sont intéressés à la manière de prendre en compte ces phénomènes dans un cadre de comptabilité nationale. L’Insee apporte par ce document sa contribution à ces recherches. Il ne s'agit pas à ce stade de figer un nouveau cadre de production récurrente mais d'en esquisser une voie possible,
Une haute responsable de l’ONU a dénoncé mardi la "cruauté quotidienne" subie par la population de la bande de Gaza assiégée et bombardée par Israël, décrivant "des actes qui rappellent les crimes internationaux les plus graves".
Présidentielle américaine. Sept dossiers internationaux que l’élection de Trump pourrait bouleverser
- Courrier international
L’ancien président des États-Unis a été porté une seconde fois à la Maison-Blanche le 5 novembre. “The Washington Post” récapitule les effets possibles sur les principaux fronts diplomatiques du globe. Et les craintes des autres pays.