Jean-Baptiste Fressoz

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polluants éternels

2025

La pollution pourrait être due à l’épandage de boues papetières sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d’eau potable, selon la préfecture de la Meuse.
Selon France 3 et le média Disclose, seize communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes sont concernés, après qu’elles ont présenté des taux de PFAS dépassant de 3 à 27 fois la limite autorisée. Le maximum a été prélevé à Villy, avec 2 729 ng /l. Un record en France.
Pour aider les professionnels de la santé à accompagner au mieux les personnes dont on pense qu’elles pourraient présenter des concentrations élevées de PFAS, la Conférence Interministérielle santé publique a chargé le Centre Fédéral d’Expertise des soins de santé (KCE) de se prononcer sur la nécessité de faire du dépistage individuel. Aujourd’hui, le KCE vient de rendre public ses recommandations. Selon ses experts, "dans l’état actuel des connaissances, ce dépistage n’est pas opportun, sauf s’il s’inscrit dans le cadre de recherches scientifiques."
SOS Notre Santé ASBL est une association Citoyenne Collective qui se mobilise pour la santé publique et environemmentale suite à la problématique de la pollution aux PFAS
Des centaines de milliers de personnes ont été exposées pendant plus de quarante ans à une contamination de l’eau potable par les polluants éternels dans le nord-est de l’Italie.
Une pollution aux PFAS a été détectée sur le site de l’entreprise SICLI à Uccle. Mais suite à la faillite de ce spécialiste de la prévention des incendies, les analyses nécessaires n’ont pas été réalisées. Les autorités publiques vont donc reprendre la main.
Deux rapports d’ONG mettent en évidence une contamination quasi généralisée des aliments, à des niveaux beaucoup plus élevés que l’eau, et une réglementation insuffisamment protectrice.
When a small Swedish town discovered their drinking water contained extremely high levels of Pfas, they had no idea what it would mean for their health and their children’s future
Un rapport du Service Public de Wallonie (SPW) publié en toute discrétion, révèle une augmentation de la contamination au TFA, le plus petit des PFAS, dans les zones wallonnes testées lors d’un second monitoring. Vingt-trois d’entre elles ont une teneur supérieure ou égal au seuil, contre treize lors du premier monitoring.
Dans une lettre publiée mardi dans une revue scientifique, un groupe de 20 chercheurs craint que « cet exercice ne repose sur des motivations politiques et/ou économiques plutôt que scientifiques ».


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