Jean-Baptiste Fressoz

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TFA

2025

Un rapport du Service Public de Wallonie (SPW) publié en toute discrétion, révèle une augmentation de la contamination au TFA, le plus petit des PFAS, dans les zones wallonnes testées lors d’un second monitoring. Vingt-trois d’entre elles ont une teneur supérieure ou égal au seuil, contre treize lors du premier monitoring.
Een steekproef van wijnen uit tien Europese landen toont opvallend hoge concentraties van trifluorazijnzuur (TFA), een PFAS-variant. De enige geteste Vlaamse wijn bevat zelfs de op een na hoogste concentratie.
Le plus petit des polluants éternels a été décelé dans des bouteilles de vins européens à des concentrations très élevées, d’après des analyses conduites par le réseau d’associations Pesticide Action Network. L’usage des pesticides fluorés est fortement soupçonné d’en être la cause.
Les personnels du site spécialisé dans la production de TFA, reconnus comme polluants éternels, basée à Salindres, se sont longtemps battus pour sauver leurs emplois – en vain. Désormais, ils veulent savoir si les substances auxquelles ils ont été exposés menacent leur santé.
Pourquoi l’eau que l’on boit est-elle polluée ? En Wallonie et à Bruxelles, l’eau de notre robinet vient à 80% des nappes phréatiques et 20% des eaux de surfaces comme les rivières. Ces eaux sont toutes polluées et vont subir un traitement pour être rendue « potable » dans des stations de potabilisations. Ces procédés ont malheureusement des limites et ne permettent pas d’enlever tous les polluants. Il subsiste donc une petite partie de tous ces polluants dans notre eau du robinet. Par ailleurs, il est bon de comprendre que les eaux de « sources » en bouteilles proviennent elle aussi des eaux souterraines et contiennent aussi ces polluants en quantités variables.
Largement disséminés dans l’eau, les polluants éternels sont très difficiles à traiter. Un casse-tête très coûteux pour les collectivités en charge de la distribution d’eau potable. « On est dans une impasse totale. » Au téléphone, Mickaël Derangeon ne cache pas son désarroi. La raison ? La découverte d’un polluant éternel — le TFA, ou acide trifluoroacétique, un résidu de pesticides — dans l’immense majorité des captages d’eau de Loire-Atlantique.
En mai 2024, une étude classait en troisième position la Mehaigne parmi 23 rivières européennes analysées selon leur...
Générations Futures a saisi la plus haute juridiction administrative ce mardi pour demander le retrait des produits à base de flufenacet, une substance à l’origine de contaminations de l’eau et de l’alimentation au TFA, un polluant éternel.
Mauvaise nouvelle : selon UFC-Que choisir, l’acide trifluoroacétique (TFA), a été retrouvée dans 24 communes sur 30, et elle est quasiment indestructible. Bonne nouvelle : elle serait moins dangereuse que d’autres polluants de son espèce.
Ça PFAS pas. Ce jeudi, les associations UFC-Que choisir et Générations futures ont révélé une contamination massive de l’eau potable à l’acide trifluoroacétique, le plus petit des PFAS, à Paris comme à Rouen, Poitiers ou Lyon.


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