Jean-Baptiste Fressoz

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sûreté

2025

Les travaux pour mettre en place des mesures de sûreté sur les sites d’EDF s’étaleront jusqu’en 2040. Cette annonce survient quelques semaines après la signature par le gouvernement du contrat de filière nucléaire pour la période 2025-2028, qui acte la relance de l’atome en France.
L’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection a rendu jeudi 22 mai son rapport annuel sur le niveau de sûreté des installations nucléaires.
Le président des États-Unis a informé plus de 300 personnes de leur licenciement de l’administration nationale de sécurité nucléaire, avant de faire machine arrière quelques heures plus tard, dans l’incompréhension générale.
En préface du rapport annuel de la Sûreté de l’État (VSSE) publié ce vendredi, l’administratrice générale du service, Francisca Bostyn, énumère " les défis majeurs pour l’avenir " en matière de renseignement et de sécurité.

2024

Les sept piliers de sûreté et de sécurité de la centrale nucléaire ukrainienne de Zapporijjia, définis par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), ont été compromis, a indiqué lundi le directeur général de l'agence onusienne Rafael Grossi. "La situation sur le site nucléaire de Zaporijjia demeure précaire", a affirmé le directeur général lors du conseil des gouverneurs de l'AIEA. "Les sept piliers de la sûreté et de la sécurité nucléaires ont été partiellement ou entièrement compromis", a-t-il avancé.
Poussée par l'exécutif, la réforme controversée de la sûreté nucléaire a été définitivement adoptée dans la nuit de mardi à mercredi par un ultime vote favorable du Sénat, après avoir franchi l'obstacle de l'Assemblée au terme d'un parcours chahuté au Parlement.La fusion du gendarme du nucléaire, l'ASN, avec l'expert technique du secteur, l'IRSN, a été validée sans surprise par les sénateurs, à 233 voix contre 109, achevant l'examen de ce projet de loi gouvernemental.
Dans les pays nucléarisés, l'organisation de la sûreté peut être construite sur des modèles différents. Des principes communs se retrouvent cependant, notamment la distinction entre ceux qui décident du sort des centrales et ceux qui réalisent les expertises.Cette distinction est au coeur de la réforme controversée lancée en France, qui vise à fusionner l'expert (l'IRSN) et le décideur (l'ASN).
La réforme de la sûreté nucléaire fait l'objet de nouveaux débats qui s'annoncent survoltés lundi à l'Assemblée nationale, où le gouvernement a appelé les députés à rétablir un article-clé de son projet controversé de fusion entre l'ASN, gendarme du nucléaire, et l'IRSN, expert technique du secteur.L'examen du projet de loi a démarré en fin de journée dans l'hémicycle. Avec d'emblée pour l'exécutif un obstacle de taille à franchir : une "motion de rejet" de l'ensemble du texte, déposée par le groupe indépendant Liot (Liberté, Indépendants, Outre-Mer et Territoires).
Elles s'appellent Jimmy, Calogena ou Naarea: l'émergence de start-up promettant de décarboner l'industrie grâce à de petits réacteurs nucléaires soulève des questions inédites et de nouveaux enjeux de sûreté.- SMR, AMR: de quoi parle-t-on ? -Plus petits, moins puissants que leurs grands frères du parc nucléaire historique, les PRM (petits réacteurs modulaires) pourront produire de l'électricité, mais aussi fournir de la chaleur aux industries lourdes (verre, chimie, acier...), aujourd'hui très dépendantes d'énergies fossiles.

2023

Le gouvernement l'assure: "on ne transigera pas avec la sûreté nucléaire". Experts et associations mettent cependant en garde contre des risques liés à la réforme en cours, tandis que des élus prônent un système "moins rigide" pour faciliter la relance du nucléaire civil.Un projet de loi doit être présenté mercredi pour fusionner l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), auteure des décisions sur les centrales, et l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (ISRN), expert du secteur.


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