« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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atmosphérique
2025
Le changement climatique bouleverse notre planète à une vitesse inquiétante, mais un phénomène méconnu pourrait bien amplifier ses conséquences : les « rivières atmosphériques » en Antarctique. Ces longs rubans d’air chaud et humide, capables de parcourir des milliers de kilomètres, transportent une énorme quantité de vapeur d’eau vers les pôles. Selon une nouvelle étude internationale publiée dans Nature Communications, ces rivières pourraient doubler en nombre d’ici la fin du siècle, avec des impacts majeurs sur la stabilité des glaces antarctiques et, par conséquent, sur le niveau mondial des océans.
Sur les réseaux sociaux et par-delà, des influenceurs vantent les mérites d’un ultra-fast tourisme nocif pour le climat. Une énième «tendance» inconséquente dont on se passerait bien.
Il n'y a pratiquement pas eu de pluie pendant plus d'un mois en Belgique. Un effet du ralentissement de la dynamique atmosphérique dont l'intensité interpelle.
Nous sommes à J+68 de glue fasciste aux Etats-Unis, à 427 ppm de CO₂ dans l’atmosphère et aujourd’hui – haut les cœurs – on se demande si nous assisterons bientôt à une « guerre des nuages ». Eh oui, cette perspective n’a rien de science-fictionnelle… Des pays investissent déjà dans leur capacité à contrôler les conditions météorologiques et, dans certaines zones tendues (Israël-Iran, Chine-Inde), des gouvernements s’accusent mutuellement de vol d’eau atmosphérique.
Les rivières atmosphériques se déplacent de façon inattendue depuis plusieurs décennies, et ce n'est pas sans conséquences.
2024
Une partie des écoliers, étudiants et fonctionnaires en Iran ont été appelés mercredi et jeudi à rester à la maison en raison d’une forte pollution atmosphérique, qui touche Téhéran et plusieurs villes, ont rapporté les médias d’Etat.
Après un été caniculaire, l'Inde et le Pakistan suffoquent sous un air irrespirable, avec des seuils trois fois supérieurs à ceux considérés comme dangereux.
Dans la deuxième ville du pays d’Asie du Sud, les concentrations de particules fines ont atteint des sommets ce samedi 2 novembre, mettant gravement en danger la santé de la population.
Les rivières atmosphériques se déplacent de façon inattendue depuis plusieurs décennies, et ce n'est pas sans conséquences.
Les chiffres montrent que l’Arctique se réchauffe plus vite que le reste de la planète. Et des chercheurs viennent de mettre le doigt sur un phénomène météo connu, mais encore peu étudié, qui semble étroitement lié à la fonte accélérée des glaces dans la région.