Jean Jouzel

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durables

2024

La hausse de la production de carburants d'aviation durables (SAF) en 2024 s'avère inférieure aux projections, a regretté mardi la principale association de compagnies, dont les membres comptent majoritairement sur ces produits pour décarboner leurs activités.0,7% du carburant consommé par les avionsEn 2024, la production de ces carburants d'origine non fossile ("sustainable aviation fuels", SAF en anglais) atteindra 1,3 milliard de litres contre 600 millions en 2023, a souligné l'Association internationale du transport aérien (Iata) dans un communiqué.
Rentrée 2024 à emlyon : Jean-Marc Jancovici, Associé Carbone 4 & Président de Shift Project, est intervenu le mardi 3 septembre auprès des nouveaux étudiants du Programme Grande Ecole, pour une conférence sur le thème - “Défis climatiques et villes durables : Écologie, Économie, Technologie”.
Prix élevés, demande trop faible, incertitudes : la production de carburants aériens durables en Europe traverse une zone de turbulences.
Une étude économique affirme qu’investir dans une centrale nucléaire de 1 GW entraîne aujourd’hui des pertes moyennes d’environ 4,8 milliards d’euros. Elle ajoute que, suite aux problèmes de radioactivité et au risque de prolifération, le nucléaire ne devrait pas être considéré comme une solution énergétique “propre” pour lutter contre le changement climatique. Pourtant, les gouvernements continuent d’incorporer cette technologie dans leurs stratégies énergétiques.
L'avionneur européen Airbus et le pétrolier français TotalEnergies ont signé un "partenariat stratégique" pour développer ensemble les carburants d'aviation durables (SAF, en anglais), et permettre la décarbonation du transport aérien, ont-ils annoncé mercredi dans un communiqué commun.
Selon les chercheurs, la production actuelle détruit plus de valeur qu’elle n’en crée en raison des coûts médicaux et environnementaux.

2023

La présente conférence a pour objectif de poursuivre les travaux en ce sens, en abordant la thématique cruciale de l’extraction des ressources : quelles sont les opportunités en Europe et en Belgique ? Quelles en sont les limites ? Comment minimiser les impacts environnementaux ? Comment garantir des conditions optimales pour les travailleurs et riverains ? La « mine durable » existe-t-elle ? L’exploitation minière en eaux profondes est-elle l’avenir ?
C’est un portrait sombre et sans complaisance que dépeint le rapport de l’Organisation des Nations unies (ONU) publié le 24 septembre dernier sur l’atteinte des objectifs de développements durables (ODD). En 2012 à la rencontre Rio+20, un agenda avait été proposé pour atteindre certains objectifs de développement durable en 2030 pour tous habitants de la planète. L’ONU a adopté ces objectifs en 2015 et a décidé par la suite que des mises à jour de l’état d’avancement seraient faites tous les quatre ans.
Les plus gros navires dans l'UE vont devoir doper leur recours aux carburants durables (dont l'hydrogène) et réduire de 80% leurs émissions carbone d'ici 2050 par rapport à 2020, selon l'accord trouvé jeudi entre eurodéputés et Etats membres.L'UE avait déjà décidé fin novembre d'intégrer progressivement, d'ici 2027, le transport maritime à son marché carbone, afin d'obliger les navires de plus de 5.000 tonnes à acheter des "droits à polluer" correspondant à leurs émissions pour les inciter à se verdir.
Les carburants d'aviation durables passent par la production de mascara: dans son usine-pilote de la campagne champenoise, Global Bioenergies mise sur la biomasse et sa "molécule magique" pour décarboner à terme le transport aérien.Dans de grandes cuves de fermentation en inox et un entrelacs de canalisations de son site de Pomacle, près de Reims, la start-up spécialiste de chimie verte a débuté la production d'isobutène, un hydrocarbure très utilisé dans la pétrochimie.