Jean Jouzel

OA - Liste

« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »

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2025

L’expansion « sans précédent » des projets de GNL est recensée dans un site Internet mis en ligne par une douzaine d’ONG.
L'Union européenne reste le plus gros acheteur de gaz naturel liquéfié (GNL) russe […] Ce commerce est soutenu par des relations commerciales de longue date entre des entreprises européennes et le projet Yamal LNG. TotalEnergies, un géant français de l'énergie, détient 20 % du projet et achète également une grande partie de son gaz. De même, SEFE, une entreprise publique allemande, est un acheteur clé, ce qui illustre la dépendance directe du gouvernement envers les revenus générés par les exportations de GNL pour le Kremlin. Yamal LNG dépend également fortement des infrastructures exploitées par l'Occident, notamment des navires-citernes brise-glace spécialisés et des ports européens clés.
La multiplication des projets de terminaux d’exportation de GNL avalisés par l’administration Trump pourrait entraîner un excédent massif de l’offre à partir de 2027.
Les importations russes ont connu une hausse de 113,5% par rapport à l'année dernière.
Les activistes dénoncent les importations de gaz naturel liquéfié en provenance de la Russie et des Etats-Unis.
Le groupe JERA, premier producteur d'électricité japonais, a annoncé jeudi envisager des achats importants de gaz naturel liquéfié (GNL) issu d'un vaste projet de gazoduc en Alaska, suite à l'accord commercial entre Tokyo et Washington impliquant des achats nippon accrus d'hydrocarbures américains.
Febeliec tire la sonnette d'alarme à propos de la dépendance de l'Europe au gaz naturel liquéfié (GNL) américain.
Le gaz naturel liquéfié est la star du sommet sur l’océan, sponsorisé par l’armateur CMA CGM. Ce carburant est pourtant fort polluant. Les transports à voile, eux, ont une place riquiqui, décrit notre journaliste sur place.
L'énergéticien japonais Jera va acheter jusqu'à 5,5 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL) américain supplémentaires par an, conduisant à un triplement de ses approvisionnements aux Etats-Unis, a-t-il annoncé jeudi, un engagement salué par Washington sur fond d'âpres négociations commerciales. Dans le cadre de contrats conclus pour 20 ans, Jera a approuvé des accords d'approvisionnement auprès de quatre sites gaziers américains au Texas et en Louisiane, selon un communiqué. Ce géant de l'énergie produit un tiers de l'électricité au Japon.
Nommé « Saguaro », il implique la construction d’un gazoduc de 800 kilomètres du Texas jusqu’à la mer de Cortès, où le ballet des navires, comme les risques de pollution, pourrait nuire aux baleines et à la biodiversité.