Jean Jouzel

OA - Liste

« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »

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2025

This Contemplation is the result of my beginning to put together a different one that’s focussing upon an academic article I’ve been reading (Collapse, Environment, and Society) but that got me thinking about the academic ‘debate’ regarding what ‘societal collapse’ is, how it may–or may not–unfold for our current experiment in large, complex societies, and how things are perceived in the moment by those experiencing societal change. The ‘debate’ (centred more-or-less on the question: Do societies actually ‘collapse’ or are they ‘merely’ shifting/transforming/adapting to changing conditions?) is rather ‘academic’ in that in the grand scheme of things it’s intellectually interesting but doesn’t have much to do with the on-the-ground, real-life experiences and concerns of most humans in a society–especially if they are experiencing some of the more ‘problematic’ consequences of collapse/transformation.
L'attaque israélienne contre l'Iran, dont Israël affirme qu'elle pourrait durer plusieurs jours, intervient à un moment d'extrême faiblesse pour Téhéran, avec des soutiens régionaux exsangues, une économie éreintée par les sanctions et peu d'options pour répondre militairement. Les frappes placent Téhéran face à des choix cornéliens et constituent un coup d'arrêt brutal aux efforts diplomatiques en cours autour de son programme nucléaire.
Pour l’ingénieur Philippe Bihouix et la docteure en énergétique Yamina Saheb, les tensions géopolitiques sur les matières premières auraient été là même sans la transition énergétique. D’où la nécessité de mobiliser collectivement citoyens, entreprises, et institutions et sortir des logiques néolibérales.
Le président français, le chancelier allemand et le Premier ministre britannique sont venus dans la capitale ukrainienne pour afficher, avec le chef du gouvernement polonais, Donald Tusk, leur soutien à l’Ukraine.
La confrontation avec Volodymyr Zelensky dans le bureau Ovale, le scandale du « Signalgate », les droits de douane… « Le Monde » revient sur certains épisodes notables du début du deuxième mandat du président des États-Unis.
It is said that George W. Bush Jr. decided to invade Iraq in 2003 because he had read some papers on oil depletion by the Association for the Study of Peak Oil (ASPO). Of course, it may be just a legend, but I don’t see it as impossible, and perhaps not even improbable. Politicians make decisions on the basis of vague ideas, often on the spur of the moment, and in many cases making terrible mistakes. But they normally understand some of the critical elements that keep alive the system. For the US, the critical resource was, and still is, crude oil. So, it is possible that Bush thought that it was necessary to compensate for the decline of the US oil production by seizing the Iraqi resources. That didn’t necessarily imply to start a war, just like filling the tank of your car doesn’t imply shooting dead the service station operator. But that’s the way some people’s minds work.
Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a chamboulé la politique étrangère américaine, fait trembler les marchés et transformé le bureau ovale en théâtre de "happenings" permanents.
[...] Sous pression américaine, Kiev a accepté, mi-mars, une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours. La Russie avait rejeté cette initiative en l'état mais accepté une trêve plus limitée en mer Noire et dans les frappes sur les infrastructures énergétiques, dont la mise en œuvre reste incertaine. [...] Ces derniers jours, Kiev a dénoncé une multiplication des frappes russes, notamment un tir de missile qui a touché vendredi une zone d'habitation à Kryvyï Rig (centre) et qui a fait 20 morts, dont neuf enfants, selon Kiev.
La Pologne, les trois pays baltes et la Finlande, tous frontaliers de la Russie, "sont proches" d'un accord sur leur retrait du traité interdisant les mines antipersonnel, a indiqué jeudi la ministre lituanienne de la Défense.

2024

L'apocalypse serait-elle devenue un sujet d'étude aussi banal que la photosynthèse ou les fractales ? Ces deux dernières décennies, le vocabulaire de la fin du monde s’est métamorphosé en un champ lexical scientifique florissant. Des concepts comme l’anthropocène ou les planetary boundaries ont proliféré dans les revues académiques. Des notions plus anciennes comme la polycrise d’Edgar Morin et le collapse ont resurgi récemment, transcendant les frontières disciplinaires, tandis que les cascading failures, les wicked problems ou les compound risks sont devenus incontournables dans l’analyse des risques.