Jean Jouzel

OA - Liste

« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »

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question

2025

Dans le centre du Texas, la crue soudaine de la rivière Guadalupe, gonflée par des pluies torrentielles, a emporté camps d’enfants et familles de touristes. Les recherches se poursuivent au milieu d’un paysage apocalyptique.
The startup Gigablue announced with fanfare this year that it reached a historic milestone: selling 200,000 carbon credits to fund what it describes as a groundbreaking technology in the fight against climate change . But outside scientists frustrated by the lack of information released by the company say serious questions remain about whether Gigablue’s technology works as the company describes. Their questions showcase tensions in an industry built on little regulation and big promises — and a tantalizing chance to profit.
This Contemplation is the result of my beginning to put together a different one that’s focussing upon an academic article I’ve been reading (Collapse, Environment, and Society) but that got me thinking about the academic ‘debate’ regarding what ‘societal collapse’ is, how it may–or may not–unfold for our current experiment in large, complex societies, and how things are perceived in the moment by those experiencing societal change. The ‘debate’ (centred more-or-less on the question: Do societies actually ‘collapse’ or are they ‘merely’ shifting/transforming/adapting to changing conditions?) is rather ‘academic’ in that in the grand scheme of things it’s intellectually interesting but doesn’t have much to do with the on-the-ground, real-life experiences and concerns of most humans in a society–especially if they are experiencing some of the more ‘problematic’ consequences of collapse/transformation.
Par décret, dont le sort est suspendu à une décision de la Cour suprême attendue vendredi 27 juin, toute personne vivant aux Etats-Unis pourrait avoir à prouver son ascendance pour transmettre sa nationalité à ses enfants : une situation qui conférerait à l’administration un contrôle accru sur la population, prévient, dans une tribune au « Monde », la juriste américaine Amanda Frost.
En route pour le sommet de l'Alliance atlantique, le président des États-Unis a refusé de s’engager à respecter l’article 5, qui prévoit la défense collective des pays membres de l’OTAN.
Ce 20 juin 2025, cela fait cinq mois jour pour jour que Donald Trump est de retour à la Maison-Blanche. Cinq mois d’une politique « bulldozer » menée tambours battants par le président des États-Unis. Cinq mois pendant lesquels l’administration fédérale américaine a été poursuivie en justice à quasi chaque niveau de mise en œuvre du programme ultra-conservateur voulu par Donald Trump. Combien de décisions de l’administration Trump ont-elles été contestées ? Avec quels effets ?
Vladimir Poutine a déjà fait tuer ou mutiler des centaines de milliers de Russes et d’Ukrainiens. Le président de la Fédération de Russie laissera cette marque dans l’histoire – celle du commanditaire d’une « guerre de choix ». En toile de fond de l’agression qu’il poursuit depuis plus de trois ans, la même question, jamais bien posée, jamais vraiment élucidée, tourne au fil des batailles du Donbass : pourquoi cette tuerie ? C’est une question-clé pour comprendre toute la difficulté qu’il y a à esquisser une possible négociation.
Gaz, pétrole, uranium, hydraulique plus solaire et éolien : le Canada est très bien doté en ressources énergétiques, mais cette abondance crée des problèmes de gouvernance. Pourquoi ?
La question de la réelle protection de ces espaces essentiels pour préserver les écosystèmes marins s’invite dans les discussions de la conférence mondiale sur l’océan qui se tient cette semaine à Nice. Si la France revendique désormais la protection d’un tiers de son territoire maritime, l’immense majorité de ces zones autorise quand même des pratiques de pêche destructrices pour la biodiversité.
Un fonds souverain qui fait un investissement dans une plateforme d’échange de cryptomonnaies en utilisant un stablecoin, un cryptoactif dont la valeur est indexée sur un autre produit : jusque-là, rien que de très courant. Mais l’annonce, jeudi 1er mai, d’un investissement de 2 milliards de dollars (1,77 milliard d’euros au cours actuel) dans Binance par le fonds MGX, soutenu par Abu Dhabi, soulève de vives questions : MGX va, en effet, effectuer cette transaction en utilisant le stablecoin USD1, géré par World Liberty Financial (WLF), l’entreprise de cryptomonnaies contrôlée par la famille Trump.