« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
Selon Free Congo, l'association initiatrice de cette action, il ne s'agit pas d'un accord de paix mais bien d'un pacte économique qui institutionnalise le pillage des matières premières au Congo. L'accord dénoncé a été négocié par les États-Unis et soutenu par le Qatar. Mais sa signature n'a pas débouché sur une paix durable sur le terrain, les violences étant toujours en cours en RDC, avec notamment la prise d'Uvira (est) par les rebelles du M23 la semaine passée.
Il faudra 500 milliards de dollars d'investissement dans les infrastructures minières d'ici 2040 pour répondre aux besoins attendus en cuivre, lithium, nickel, graphite et terres rares, a déclaré un représentant de la Banque mondiale vendredi lors d'une conférence à Paris.
Le nombre des animaux vivant dans les fonds marins a chuté de 37% dans une zone d'exploration minière en eaux profondes, selon une étude parue vendredi portant sur l'impact de cette activité sur la biodiversité.
L'Union européenne doit dévoiler mercredi de nouvelles mesures pour réduire sa dépendance à l'égard de la Chine concernant les terres rares et autres matières premières critiques, au coeur de tensions géopolitiques grandissantes. Néodyme, terbium, yttrium... Les terres rares sont des éléments métalliques devenus essentiels pour des pans entiers de l'économie, en particulier l'industrie automobile, les énergies renouvelables, le numérique ou la défense.
Le gouvernement travailliste a accepté de ne pas lancer d’appel d’offres pour ouvrir une partie des eaux norvégiennes à ces activités minières sous-marines, inédites en Europe, jusqu’en 2029, afin de faire adopter leur projet de budget 2026.
Le leader de la junte a revendiqué « le droit légitime du Niger de disposer de ses richesses naturelles ». La Somaïr, une filiale d’Orano, a été nationalisée en juin, privant le groupe français de son permis d’exploitation.
Alors que la Cop 30 touche à sa fin, le pays du président Lula fait face à ses contradictions : comment défendre la protection du climat et de la forêt amazonienne, tout en soutenant le boom de l'exploitation minière dans cette région ?
La justice britannique a jugé responsable vendredi le géant minier australien BHP de la rupture dévastatrice d'un barrage minier au Brésil en 2015, une décision très attendue qui ouvre la voie à des dizaines de milliards de livres de compensations.
Dans un jugement rendu vendredi 14 novembre, la justice britannique a rendu le géant minier australien responsable de la rupture dévastatrice d’un barrage minier au Brésil en 2015. La décision, très attendue, ouvre la voie à des dizaines de milliards de livres de compensations.
En novembre 2015, la rupture du barrage de Fundao, dans le sud-est du Brésil, avait entraîné une gigantesque coulée de boue de déchets toxiques qui s’était répandue sur 650 kilomètres, du Rio Doce jusqu’à l’océan Atlantique. La catastrophe a causé la mort de 19 personnes, tué des milliers d’animaux et dévasté des zones de forêt tropicale protégée.



