Jean-Marc Jancovici

OA - Liste

2025

Sur le champ de bataille, la Russie affirme ce jeudi matin être entrée dans la phase finale de son opération visant à éjecter les forces ukrainiennes de sa région de Koursk, a rapporté l’agence de presse Tass, citant le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. D’après le chef d’état-major Valéri Guerassimov, ses troupes ont repris au total «plus de 1 100 km²» de territoire à l’armée ukrainienne depuis l’offensive de ces dernières en août, «soit plus de 86 % de la zone précédemment occupée» par les forces de Kyiv.
La France insoumise et des députés communistes ont voté contre le texte, à valeur symbolique, sur lequel le Rassemblement national s’est, lui, abstenu. Les appels se multiplient en Europe en faveur d’une saisie des avoirs russes gelés, à laquelle s’oppose le gouvernement.
La reprise de la région de Koursk par la Russie se précise. Vladimir Poutine, lors d’une très rare visite dans la région russe, a exprimé ce mercredi 12 mars son espoir que celle-ci soit «complètement libérée» dans «un avenir proche», au moment où le commandant en chef de l’armée ukrainienne a suggéré que ses troupes se repliaient dans la zone face aux avancées russes.
Des officiels américains et ukrainiens sont tombés d’accord en Arabie saoudite. En retour, Washington a annoncé la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à l’Ukraine et du partage de renseignements avec Kiev. « La balle est à présent dans le camp » de la Russie, a dit le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio.
L’Ukraine a accepté, mardi 11 mars, une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, se disant « prête pour la paix » après plus de trois ans de guerre et appelant Moscou à se prononcer, à l’issue d’une rencontre américano-ukrainienne en Arabie saoudite. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.
Au moins une personne a été tuée et trois autres blessées mardi dans l'attaque "massive" de plusieurs dizaines de drones ukrainiens contre Moscou et sa région, a indiqué le gouverneur de la région de Moscou, Andreï Vorobiov.
Peu atteinte depuis 2022, la capitale russe a été la cible de centaines de drones ukrainiens dans la nuit de lundi à mardi 11 mars, à quelques heures de négociations en Arabie Saoudite pour des accords de paix en Ukraine.
Le président Emmanuel Macron reçoit mardi à Paris des responsables militaires de 30 pays appartenant à l'UE et/ou à l'Otan pour tenter de définir les garanties de sécurité à fournir à l'Ukraine en cas de cessez-le-feu et réfléchir à l'architecture de défense de l'Europe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le secrétaire d’État américain Marco Rubio sont en Arabie saoudite pour des discussions mardi qui pourraient s’avérer cruciales sur la guerre avec la Russie, Rubio jugeant prometteuse une proposition ukrainienne de cessez-le-feu partiel. Des responsables ukrainiens et américains doivent se retrouver à Jeddah pour discuter des moyens de mettre fin au conflit entre l’Ukraine et la Russie.
Après neuf heures de négociations en Arabie Saoudite, des représentants de Kyiv et Washington se sont mis d’accord sur le principe d’un cessez-le-feu immédiat, sur la signature d’un accord sur les minerais et sur la reprise de l’aide.
Dans une déclaration commune à l’issue de discussions en Arabie saoudite ce mardi 11 mars au soir, les représentants des Etats-Unis et de l’Ukraine ont fait part de plusieurs avancées notables dans le soutien contre l’invasion russe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky se rend ce lundi 10 mars à Riyad pour s’entretenir avec le prince héritier Mohammed ben Salmane. Mardi, une délégation ukrainienne rencontrera des responsables américains pour discuter de futures négociations de paix avec la Russie. Une première depuis la débâcle à Washington.
La délégation ukrainienne proposera une "trêve dans les airs" et "en mer" avec la Russie lors des négociations avec les États-Unis mardi en Arabie Saoudite, a indiqué lundi à l'AFP un haut responsable ukrainien.
Le gouvernement polonais enverra cette année à tous les foyers du pays un guide de survie en situation de crise, a annoncé lundi le ministère de l'Intérieur de ce pays du flanc oriental de l'Otan.
Des images et vidéos montrent des ânes et des chevaux transportant des soldats russes sur le front en Ukraine. Si leurs ennemis y voient une pénurie en véhicules de l’armée russe, ce recours à des moyens de transport d’un autre temps illustre aussi sa capacité d’adaptation.
Nate Vance s'est exprimé au sujet des récents propos de son cousin JD Vance et du président américain Donald Trump. ... Nate Vance explique : "Donald Trump et mon cousin croient clairement qu'ils peuvent apaiser Vladimir Poutine. Ils ont tort. Les Russes ne sont pas près d'oublier notre soutien à l'Ukraine. Nous sommes les idiots utiles de Vladimir Poutine."
Au moins 14 personnes sont mortes en Ukraine samedi dans des raids russes. Moscou revendique par ailleurs des avancées dans sa région de Koursk.
L'Australie pourrait envisager de prendre part à une mission de maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu, a indiqué dimanche son Premier ministre Anthony Albanese, tout en précisant qu'il était encore trop tôt pour un déploiement de ses forces armées.
La Russie a revendiqué dimanche 9 mars la prise d’un village dans la région ukrainienne de Soumy, ce qui serait une première depuis 2022, les soldats de Kyiv se trouvant en difficulté dans la région russe de Koursk qui lui fait face.
Le multimilliardaire Elon Musk, conseiller spécial de Donald Trump, a promis dimanche de maintenir l'accès ukrainien à son réseau de satellites Starlink, après de vifs échanges en ligne avec le ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski.
En cours depuis plus de trois ans, la guerre en Ukraine ravage l'environnement, en plus d'un bilan humain évidemment très lourd.
Les forces russes ont bombardé massivement dans la nuit de jeudi à vendredi les infrastructures énergétiques de l'Ukraine, a déploré le gouvernement de Kiev, quelques jours avant la tenue d'une réunion diplomatique en Arabie saoudite entre Américains et Ukrainiens.Ces bombardements interviennent au lendemain d'un sommet des 27 dirigeants européens qui, face au désengagement de Washington dans le conflit, ont affiché jeudi à Bruxelles leur volonté de renforcer les capacités de défense du continent.
Les forces russes ont bombardé massivement dans la nuit de jeudi à vendredi les infrastructures énergétiques de l'Ukraine, a déploré le gouvernement de Kiev, quelques jours avant la tenue d'une réunion diplomatique en Arabie saoudite entre Américains et Ukrainiens.
Paris va subventionner à hauteur de 200 millions d’euros l’installation de conduites d’eau, matériel de déminage, et divers projets d’infrastructures. Parmi les entreprises retenues figurent EDF, Saint-Gobain, des PME mais aussi General Electric.
Le ministre de la Défense Theo Francken a proposé jeudi lors d'une rencontre avec le président ukrainien une proposition concrète d'aide militaire à hauteur d'un milliard d'euros, a-t-il indiqué vendredi sur les ondes de la VRT-radio.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, mais a épargné Vladimir Poutine après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi à Bruxelles pour pallier l’arrêt de l’aide américaine à Kyiv. Ce qui signe peut-être, enfin, une meilleure politique de défense commune.
Les États membres de l'Union européenne et Volodymyr Zelensky se retrouvent jeudi pour un sommet extraordinaire sur l'Ukraine. Cette réunion est destinée à rassurer le pays, suite à son invasion par la Russie il y a plus de trois ans, et à muscler la défense européenne après l'altercation spectaculaire entre Donald Trump et le président ukrainien.
La Turquie, deuxième armée de l'Otan en nombre d'hommes, est prête à déployer des forces en Ukraine "si nécessaire" pour garantir la paix, a annoncé jeudi le ministère de la Défense.
Les États-Unis ont versé 114 milliards d’aide à l’Ukraine depuis 2022. Si ce montant avait été pris en charge par les Européens, il en aurait résulté un surcoût de 6 euros par mois et par habitant en moyenne
L’Allemagne, engagée dans une augmentation massive de ses investissements de défense, est prête à compenser en partie la suspension de l’aide militaire américaine à l’Ukraine, a promis jeudi son ministre de la Défense Boris Pistorius.
Les chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont donné un premier feu vert, jeudi à Bruxelles, au grand plan "Réarmer l’Europe" à 800 milliards d’euros. La Commission européenne est appelée à le développer en urgence, alors que les États-Unis ont amorcé un désengagement en Ukraine. Mais ils ne sont que 26 à avoir approuvé un texte ad hoc sur la stratégie de soutien à l’Ukraine, que le dirigeant hongrois Viktor Orban rejette.
Le chef de l’Etat a tenté de mettre des mots sur la bascule géopolitique en cours depuis que Donald Trump a renoué le dialogue avec Vladimir Poutine, dans une allocution télévisée d’une quinzaine de minutes.
A la veille du sommet de l’Union européenne sur l’Ukraine, le président de la République s’est adressé aux Français dans une allocution diffusée à 20 heures, ce mercredi 5 mars. Il est revenu sur les menaces qui planent sur l’Europe.
C’est l’une des annonces lourde de conséquences de Donald Trump pour mettre la pression sur Volodymyr Zelensky : la...
Les États-Unis ont "mis en pause" le partage de renseignement avec l'Ukraine, a dit mercredi le chef de la CIA John Ratcliffe, après que Washington a également gelé son aide militaire, si utile pour Kiev dans sa guerre contre l'invasion russe.
Alors que le dialogue avec Kiev était déjà tendu, le gouvernement de Donald Trump a décidé de mettre en pause, lundi, l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine, rapporte un responsable de la Maison Blanche sous couvert d'anonymat.
Le président américain a ordonné une pause dans l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine après l’altercation vendredi avec son homologue ukrainien, a indiqué lundi soir un responsable de la Maison-Blanche. Pour la presse américaine, cette décision met Volodymyr Zelensky au pied du mur.
Donald Trump a mis sa menace à exécution et ordonné lundi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Donald Trump a mis sa menace à exécution. Il a ordonné dans la nuit de lundi à mardi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le président finlandais Alexander Stubb a proposé que l'Ukraine devienne automatiquement membre de l'Otan si la Russie venait à rompre un cessez-le-feu, se faisant l'écho d'une suggestion émise par un sénateur américain proche de Donald Trump.
La fin de la guerre en Ukraine permettrait à la Russie de déployer ses activités hostiles ailleurs en Europe, préviennent mardi les services de renseignement finlandais (Supo).
Après l’humiliation infligée à Volodymyr Zelensky dans le bureau Ovale, le président américain consolide le rapprochement russo-américain. Alors qu’il lance dans le même temps une guerre commerciale avec le Canada et le Mexique, les alliés d’hier sont devenus des adversaires.
Alors que les États-Unis lâchent peu à peu l’Ukraine, la Commission européenne propose un plan colossal pour “réarmer l’Europe”, et les Vingt-Sept doivent se réunir pour préparer leur défense commune. Le continent vit un tournant historique, constate ce journal néerlandais, qui en dresse l’inventaire des forces et des faiblesses.
Au lendemain de l'annonce de Donald Trump sur la suspension de l'aide américaine à l'Ukraine, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a présenté mardi un plan visant à mobiliser 800 milliards d'euros en faveur d'une défense européenne et d'une aide "immédiate" à l'Ukraine.
Un gel prolongé de l'aide militaire américaine à l'Ukraine impacterait lourdement des domaines où les Européens compensent mal le manque, mais la situation est moins tendue dans d'autres, comme les obus, selon plusieurs experts interrogés par l'AFP.
Le plan «Réarmer l’Europe» annoncé par Ursula von der Leyen mardi 4 mars vise à renforcer la défense des Vingt-Sept face à un «danger clair et immédiat». L’enveloppe prévoit également une aide pour l’Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est déclaré mardi prêt à "travailler sous le leadership" de Donald Trump pour "obtenir une paix durable" en Ukraine. Il a également proposé "une trêve" dans les airs et en mer, ainsi qu'un échange de prisonniers avec la Russie, comme "premières étapes" visant à "mettre fin à la guerre".
Le Premier ministre britannique a annoncé dimanche que plusieurs pays européens étaient prêts à soumettre un plan de paix aux États-Unis, avec l’espoir d’obtenir un soutien américain à des garanties de sécurité pour Kiev face à la Russie. Cette semaine pourrait “marquer un tournant”, note la presse européenne.
Les alliés européens se sont réunis dimanche au Royaume-Uni afin de montrer leur soutien à Kiev et d'afficher leur engagement à se réarmer face à la Russie. Paris et Londres ont proposé une trêve partielle d'un mois en Ukraine.
Deux jours après son altercation avec Donald Trump et J.D. Vance à la Maison Blanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est redit prêt, dimanche, à signer l'accord sur les minerais négocié avec les États-Unis.
Tandis que des dizaines de milliers de personnes ont rejoint des groupes sur Facebook en Suède ou au Danemark, appelant à ne plus acheter américain, la société norvégienne Haltbakk Bunkers a annoncé qu’elle ne livrerait plus les navires militaires américains en fuel.
Le président ukrainien, qui était à Londres avec ses partisans occidentaux après la réunion catastrophique de vendredi à Washington, a également rappelé qu’il n’était pas opposé à un départ dans le cas d’une adhésion de l’Ukraine à l’Otan.
Mine de rien. Vendredi, une altercation a opposé Donald Trump au président ukrainien Volodymyr Zelensky. Celui-ci était à Washington D.C. pour parler de la poursuite du soutien militaire et financier américain, en échange de contrats d’exploitation des minerais ukrainiens. Pourquoi les terres rares, le lithium ou encore le graphite sont-ils au cœur de ces négociations ? Vert fait le point.
A l’ouverture des échanges sur le continent ce lundi 3 mars au matin, les actions de Dassault Aviation et Thalès flambaient de près de 15%. Idem pour le Britannique BAE Systems, l’Allemand Thyssenkrupp ou encore le Suédois Saab.
Notre attitude est lâche, honteuse et contreproductive. Il est grand temps de se poser la question de nos priorités.
Il est fort probable que l’entente entre Donald Trump et Vladimir Poutine portant sur le dépeçage de l’Ukraine et l’éviction de l’indomptable Zelensky au nom d’une « paix » future ait été conclue en secret bien avant le clash spectaculaire à la Maison-Blanche. Pour Françoise Thom, l’Amérique de Trump procède en accéléré au changement d’un pays démocratique en un pays s’inspirant du modèle poutinien.
Une quinzaine de dirigeants alliés de Kiev se réunissent à Londres dimanche pour un sommet sur l'Ukraine et la sécurité. Quelques heures avant son ouverture, le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé que Londres et Paris travaillaient avec Kiev à un "plan" pour un cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie, qui sera ensuite soumis aux États-Unis.
L’Europe "doit faire le gros du travail" en Ukraine mais avec le soutien des États-Unis, a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer à l’issue du sommet organisé dimanche à Londres avec une quinzaine d’alliés de Kiev. "L’Europe doit faire le gros du travail, mais pour défendre la paix sur notre continent, et pour réussir, cet effort doit être fortement soutenu par les États-Unis", a déclaré le dirigeant britannique lors d’une conférence de presse.
Le premier ministre britannique Keir Starmer a souligné l’importance du soutien américain pour défendre la paix en Europe, alors que l’UE prépare un plan de réarmement.
Dimanche dans la capitale britannique, s’est tenu un sommet réunissant 19 pays occidentaux, en soutien au président ukrainien bousculé par Trump vendredi. Une réponse musclée de l’Europe qui montre qu’elle s’est réveillée.
Choqués par la spectaculaire altercation vendredi 28 février dans le Bureau ovale, qui a entraîné le départ prématuré du président ukrainien de la Maison Blanche, la plupart des dirigeants européens se sont empressés de le défendre.
La Belgique a assuré l'Ukraine de son soutien après l'altercation, vendredi soir à la Maison Blanche, entre le président des États-Unis Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
La grande majorité des dirigeants européens ont fait bloc derrière l'Ukraine après la vive altercation ayant opposé à la Maison Blanche le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, Moscou se félicitant toutefois de ce moment "historique".
L'altercation publique entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, vendredi à la Maison Blanche, fait éclater au grand jour le fossé qui s'est creusé entre Washington et Kiev, et interroge sur la suite, sous le regard ravi de Moscou et celui d'Européens médusés.
La violente altercation survenue entre Donald Trump, J. D. Vance et Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche, vendredi 28 février, illustre l’hostilité de la nouvelle administration américaine à l’égard de l’Ukraine et signe un point de rupture dans la relation entre les alliés.
Après le clash entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, les dirigeants européens se retrouvent dimanche à Londres pour une réunion informelle sur l’Ukraine et la sécurité. Avec le revirement américain sur le dossier ukrainien, les Européens sont en train de comprendre que "l’Europe doit assurer sa propre défense", selon une spécialiste des questions de défense européenne.
La plupart des médias ukrainiens, même ceux qui lui sont peu favorables, soutiennent Volodymyr Zelensky après l’échauffourée du Bureau ovale et critiquent sévèrement Donald Trump, JD Vance et leur équipe. Mais certains relèvent, aussi, deux erreurs du chef de l’État.
Le président ukrainien est arrivé à la mi-journée au Royaume-Uni, au lendemain de sa dispute avec Donald Trump et à la veille d’une réunion d’urgence sur la défense, présentée par la presse britannique comme “la plus importante depuis Yalta” pour le Vieux Continent.
La Russie a accusé samedi, pour la deuxième fois en deux mois, l'Ukraine d'avoir attaqué avec des drones des infrastructures du gazoduc TurkStream, la seule conduite d'acheminement de gaz russe menant vers l'Europe depuis l'arrêt du transit le 1er janvier via le territoire ukrainien. Selon le ministère russe de la Défense, les forces ukrainiennes ont tiré trois drones sur la station Rousskaïa située dans le village de Gaï-Kodzor, dans la région méridionale de Krasnodar.
Alors que Washington semble prêt à abandonner l’Ukraine, le soutien de l’UE à Kiev est plus vital que jamais. Pour l’Ukraine, bien sûr, mais aussi pour l’UE elle-même.
JD Vance was supposed to be the inconsequential vice-president. But his starring role in Friday’s blowup between Donald Trump and Volodymyr Zelenskyy – where he played a cross between Trump’s bulldog and a tech bro Iago – may mark the moment that the postwar alliance between Europe and the US finally collapsed.
Alors qu’ils doivent signer dans le Bureau ovale un accord sur les minerais rares, les échanges entre les présidents américain et ukrainien ont dégénéré.
Après l'altercation entre Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, le président français Emmanuel Macron a martelé vendredi qu'il y avait "un agresseur, la Russie" et un "peuple agressé" en Ukraine méritant le "respect".
« Concluez un accord ou nous vous laissons tomber », a lancé le président américain à son homologue ukrainien.
Alors que le président ukrainien rappelait que l’invasion russe remontait à l’annexion de la Crimée en 2014 et que l’Ukraine a déjà signé un cessez-le-feu que la Russie n’a pas respecté, le vice-président américain J.D. Vance l’a violemment interrompu, lui reprochant de plaider sa cause devant les médias américains, exigeant qu’il remercie Trump pour son soutien et insistant sur le fait que l’Ukraine manquait de soldats.
Pyongyang a envoyé des troupes supplémentaires en Russie et a déployé à nouveau des soldats nord-coréens dans la région de Koursk, a déclaré jeudi à l'AFP un responsable de l'agence d'espionnage sud-coréenne.
Volodymyr Zelensky et Donald Trump se rencontreront vendredi à Washington pour finaliser un accord cadre sur l'exploitation de minerais ukrainiens. Voici ce que l'on sait jusqu'à présent de cet accord.
Alors que les discussions se multiplient pour la résolution du conflit, la Russie a été claire sur le sujet des territoires ukrainiens qu'elle occupe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est invité au sommet spécial de l'UE sur la défense le 6 mars pour discuter des "garanties de sécurité" en faveur de l'Ukraine, a annoncé jeudi le président du Conseil européen Antonio Costa.
Le président américain avance régulièrement que le montant du soutien américain s’élève à 350 milliards de dollars, ou que l’Europe ne fait que prêter à l’Ukraine. Des déclarations fausses et trompeuses.
Donald Trump a affirmé que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, devait lui rendre visite vendredi pour signer cet accord sur les terres rares, essentielles aux nouvelles technologies et à la défense. Kiev n’a pas encore confirmé officiellement.
Après plusieurs semaines de négociations tendues, Kiev et Washington ont conclu mardi un accord sur l’exploitation des minerais ukrainiens. Les États-Unis auraient finalement renoncé à certaines exigences jugées “inacceptables” par l’Ukraine.
L’enlisement de la guerre entre l’Ukraine et la Russie et l’avènement des drones dans les combats a entraîné la multiplication des ateliers de fabrication au sein de la société ukrainienne.
Le président français a essayé lundi d’infléchir la position de son homologue américain sur l’Ukraine, cherchant notamment à obtenir des garanties de sécurité en cas de cessez-le-feu. Trump n’a pas pris d’engagement en ce sens. Mais la visite de Macron marque tout de même “le retour de la voix de l’Europe à la table des négociations”, note la presse internationale.
Le Kremlin a salué mardi la "position équilibrée" des Etats-Unis après que Washington a voté à l'ONU, aux côtés de Moscou, contre une résolution, préparée par Kiev et les Européens, qui condamne l'assaut de la Russie en Ukraine.
Alors que l’administration de Joe Biden avait toujours soutenu Kiev, les votes américains à l’Assemblée générale et au Conseil de sécurité mettent en lumière le changement radical de la politique américaine avec l’arrivée de Donald Trump.
Après trois ans d’une guerre dévastatrice, l’environnement international est totalement bouleversé. L’Ukraine joue sa survie, l’Europe son avenir.
La situation dans le conflit entre la Russie et l'Ukraine et la perspective d'une paix négociée définissent littéralement le terme "fluide". Des positions autrefois considérées comme gravées dans la pierre ont disparu, et des relations jugées solides comme du roc se sont effritées. Le vent de changement, qui balaye la politique intérieure américaine sous la présidence de Donald Trump, laisse le chaos dans son sillage. Il s'est déplacé vers des rivages étrangers, avec un impact non moins perturbateur.
L’Ukraine aura besoin de 524 milliards de dollars (506 milliards d’euros) pour son redressement et sa reconstruction, après trois ans de guerre provoquée par l’invasion russe, selon une nouvelle estimation publiée par la Banque mondiale.
Le média russe indépendant Mediazona a indiqué avoir identifié, en collaboration avec la BBC, plus de 95.000 soldats russes tués via des données en sources ouvertes, un bilan que le Kremlin n'a ni commenté ni démenti mardi.
L’administration Trump souhaite un accord avec Kiev donnant un accès aux minerais ukrainiens pour les entreprises américaines. Washington espère ainsi compenser son important soutien militaire et financier à l’Ukraine depuis le début de la guerre avec la Russie. De quels minerais s'agit-il ? Le pays possède-t-il aussi des terres rares ? France 24 fait le point sur les ressources ukrainiennes.
Les deux hommes, un ingénieur et un chimiste, avaient été interpellés lundi 24 février dans la soirée. Le consulat avait été pris pour cible lundi et visé par des jets de bouteilles suivis de « détonations », qui n’avaient fait ni dégât ni blessé.
Dans un vaste travail d’enquête, le média russe indépendant «Mediazona», en collaboration avec la BBC, affirme avoir confirmé la mort de 95 000 soldats russes depuis 2022.
Trois ans jour pour jour après le début du conflit, les présidents français et américain se sont entretenus à la Maison Blanche ce lundi 24 février. Ils assurent vouloir travailler pour une «paix durable».
Trois ans après l'invasion russe, l'Assemblée générale de l'ONU a réaffirmé lundi son attachement à l'intégrité territoriale de l'Ukraine, contre la volonté de Washington qui a échoué à faire passer un texte concurrent se contentant de demander une paix rapide sans autre condition.
L’administration Trump veut faire main basse sur les ressources stratégiques du pays fragilisé par trois ans de guerre. L’accord, dont les discussions ont démarré le 24 février, pourrait marquer un tournant dans ce conflit.
À l’heure où s’engage entre les États-Unis et la Russie une négociation à l’issue incertaine, où un défaitisme inquiétant semble prendre le dessus en Europe, il faut parvenir à regarder avec lucidité et réalisme les intentions et les motivations profondes du président russe.
Une raffinerie de pétrole a pris feu lundi à Riazan, au sud de Moscou, après une attaque de drones ukrainiens, ont indiqué les autorités et les médias locaux. Kiev a intensifié ses attaques aériennes contre les installations énergétiques et militaires russes ces derniers mois, une campagne décrite comme une réponse aux bombardements incessants de la Russie contre ses villes et son réseau énergétique.
La guerre contre la Russie est loin d'être terminée, mais Vladyslav Tchoumatchenko, un soignant sur le front, se prépare déjà à la suivante.
L'invasion russe de l'Ukraine, débutée il y a trois ans, a fait des milliers de victimes et a saccagé le pays. Au total, 230 millions de tonnes équivalent CO2 ont été émis, révèle une étude.
La vice-présidence ukrainienne a annoncé que les discussions entre les deux pays, dont les relations se sont tendues ces dernières semaines, s’approchaient de leur conclusion.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté lundi avec le soutien de la Russie une résolution américaine demandant une paix rapide en Ukraine mais sans référence à l'intégrité territoriale du pays, malgré les objections des alliés européens de Kiev.
Le chef du Kremlin s’est en outre dit favorable à des investissement américains pour exploiter les minerais stratégiques se trouvant dans le sol des territoires d’Ukraine occupés par l’armée russe.
L'éventuel accord sur les minerais entre l'Ukraine et les États-Unis ne comprendra pas de garanties de sécurité militaire, a déclaré dimanche le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent.
L’Europe, dont l’aide à Kyiv s’est montrée jusque-là insuffisante, n’a pas d’autre choix que d’intensifier son soutien, alors que Donald Trump cherche à monnayer le sien.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est dit prêt dimanche à quitter son poste "immédiatement" en échange d'une adhésion de l'Ukraine à l'Otan, intégration à laquelle Washington semble s'opposer sur font de tensions croissantes entre Kiev et Donald Trump.
Malgré les assauts répétés de la Russie, malgré l’épuisement de la société et l’inquiétude que suscitent les déclarations de Washington, l’Ukraine tient bon. Ce qu’entend démontrer, chiffres à l’appui, le site de cette chaîne de télévision ukrainienne autrefois russophone et pro-russe, aujourd’hui résolument patriote.
Le président ukrainien, critiqué pour ne pas avoir organisé d’élections après la fin de son mandat en mai 2024, a proposé, ce 23 février, de quitter son poste en échange d’une adhésion de son pays à l’Otan.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'est 'pas prêt' à signer un accord avec les Etats-Unis qui leur offrirait un...
Les services secrets ukrainiens ont piégé des milliers de lunettes destinées aux opérateurs contrôlant les drones de combat russes, rapporte le New York Times. Une opération qui n’est pas sans rappeler le sabotage des bipeurs du Hezbollah par le Mossad en septembre 2024.
Poutine restera dans l'Histoire comme celui qui a déclenché la plus grande guerre en Europe depuis la fin de la deuxième guerre mondiale il y a 80 ans. On retiendra que cette guerre n'aura pas eu de réel vainqueur et n'a fait que des perdants.
Trois ans après le début de l’invasion russe, l’armée ukrainienne fait face à une explosion du nombre de désertions. En 2024, au moins 30 000 soldats auraient quitté les rangs. Pour arrêter l’hémorragie, le gouvernement ukrainien a mis en place plusieurs techniques de recrutement.
Le président américain, Donald Trump, a estimé vendredi lors d'un entretien que la présence de son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, aux pourparlers pour mettre fin à la guerre entre la Russie et l'Ukraine n'était pas "très importante".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé vendredi les Européens à "faire plus pour garantir la paix" en Ukraine sur fond de tensions avec l'allié américain, qui a entamé cette semaine des pourparlers directs avec la Russie.
Les Etats-Unis ont proposé vendredi un projet de résolution à l'Assemblée générale de l'ONU qui réclame "une fin rapide" du conflit en Ukraine sans mention du respect de l'intégrité territoriale du pays, ont indiqué des sources diplomatiques à l'AFP avant un vote prévu lundi.
Après un mini-sommet informel lundi à l’Élysée avec sept pays européens, Emmanuel Macron a réuni mercredi 19 chefs d’État et de gouvernement de pays membres de l’UE ou de l’Otan dont la Norvège et le Canada, lors d’une visioconférence. Cet élargissement des discussions témoigne de l’impuissance de l’UE face à la crise ukrainienne, souligne la presse européenne.
Le président américain Donald Trump a affirmé mercredi soir que Moscou avait les "cartes en main" dans les négociations pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine, entamant un peu plus l'espoir de Kiev de voir Washington défendre ses intérêts.
Le président américain Donald Trump a accusé mercredi l'Ukraine d'avoir malmené le secrétaire au Trésor Scott Bessent la semaine dernière lors de sa visite à Kiev pour y rencontrer le président Volodymyr Zelensky.
Le Kremlin s'est dit jeudi "complètement d'accord" avec la position de l'administration du président américain Donald Trump concernant la nécessité de mettre fin rapidement au conflit en Ukraine, au lendemain de vives critiques croisées entre Kiev et Washington.
Le président américain, Donald Trump, s’intéresse aux minerais et aux hydrocarbures du sous-sol ukrainien. Si Kiev a repoussé une première offre, jugée “pire que le traité de Versailles” par le journal britannique “The Daily Telegraph”, le sujet risque de revenir sur la table des négociations.
"L'Ukraine est une démocratie, la Russie de Poutine non", a déclaré un porte-parole de l'Union européenne, interrogé jeudi après les propos de Donald Trump qui a qualifié Volodymyr Zelensky de "dictateur sans élections".
Le président américain a souvent exploité le conflit à des fins politiques. Mais il s’était toujours tenu à une position neutre, sans nier une « attaque » russe.
Avec l'Ukraine, Trump rebrasse les cartes de l'énergie mondiale, ...
Washington réclame 500 milliards de dollars de dédommagement pour l’aide déjà versée, payables en droits exclusifs sur les ressources minérales et les infrastructures d’un pays ravagé par la guerre.
Le président américain a enchaîné les accusations saugrenues contre le président ukrainien mardi 18 février au soir, allant même jusqu’à l’accuser d’avoir provoqué l’invasion russe.
Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Dans ce numéro, nous revenons sur la folle semaine diplomatique qui a vu les États-Unis enterrer méthodiquement l’alliance transatlantique, Donald Trump renouer avec Vladimir Poutine, et les Européens, écartés des négociations sur l’Ukraine trois ans après le début de la guerre, tenter de construire une riposte à l’initiative de la France. Nous revenons aussi très largement sur le blues des Allemands à la veille d’élections cruciales le 23 février. La fin d’un modèle, pour la presse étrangère.
Les cours du pétrole sont en légère hausse mercredi, soutenus par des dégâts infligés par des drones ukrainiens sur des infrastructures pétrolières russes qui devraient prendre des mois à être réparées."Le flux de pétrole en provenance du Kazakhstan pourrait être réduit de 30% jusqu'à ce que la station de pompage de pétrole de Kropotkinskaya (en Russie, ndlr) soit réparée", explique Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB.
Au moins 160.000 habitants d'Odessa étaient sans chauffage ni électricité mercredi après une frappe russe nocturne sur...
Après une réunion lundi avec sept grands pays européens, le président français Emmanuel Macron en organise mercredi une nouvelle sur le dossier ukrainien, avec la conviction que "la Russie constitue une menace existentielle" pour le continent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a jugé mercredi que son homologue américain vivait "dans un espace de désinformation" russe, au lendemain de critiques acerbes de Donald Trump reprenant la rhétorique du Kremlin, dans un contexte de rapprochement russo-américain.
Donald Trump a qualifié mercredi Volodymyr Zelensky de "dictateur sans élections", après que le président ukrainien eut rejeté les attaques à son encontre lancées la veille par le président américain.
Face aux initiatives de Washington sur le dossier ukrainien, des dirigeants européens se sont réunis en urgence à Paris lundi : ils ont appelé à augmenter les dépenses de défense mais n’ont pas réussi à s’entendre sur l’hypothèse d’un envoi de troupes de maintien de la paix en Ukraine. Cette question constitue pourtant “un véritable test d’unité”, note la presse européenne.
Emmanuel Macron réunissait huit dirigeants européens et les chefs de l’OTAN et des instances communautaires, lundi, moins d’une semaine après que Washington et Moscou ont convenu de lancer des négociations « immédiates » pour mettre fin au conflit.
Les dégâts causés par des drones ukrainiens contre une station de pompage russe risque d'entraîner une baisse d'"environ 30 %" du volume de pétrole pompé en provenance du Kazakhstan pendent environ deux mois , a annoncé mardi l'opérateur russe de l'oléoduc.Selon un communiqué de Transneft, sept drones explosifs ont visé lundi une infrastructure du Caspian Pipeline Consortium (CPC), un oléoduc acheminant du brut du Kazakhstan vers l'Europe via la Russie et la mer Noire.
Russes et Américains sont convenus mardi à Riad d’établir un "mécanisme de consultation" pour régler leurs contentieux et vont nommer des négociateurs pour le règlement de la guerre en Ukraine.
Donald Trump s'est dit mardi davantage "confiant" dans la possibilité d'un accord avec Moscou sur un possible règlement de la guerre en Ukraine, après les discussions entre Américains et Russes à Ryad, et a assuré qu'il rencontrerait "probablement" Vladimir Poutine avant la fin du mois.
Le Royaume-Uni s'est dit prêt à envoyer des soldats en Ukraine "si nécessaire", quelques heures avant une réunion de dirigeants européens lundi à Paris pour faire face à l'"accélération" de l'administration américaine sur le dossier ukrainien et définir une réponse commune pour renforcer la sécurité du Vieux continent.
Une dizaine de dirigeants de pays de l’UE et de l’Otan se réunissent lundi à Paris avec l’objectif de définir une réponse commune pour la sécurité du Vieux continent et faire face à l'"accélération" de l’administration américaine sur l’Ukraine.
À 90 km de Kiev, par équipages de quatre, ils guettent les drones Shahed sur des pickups équipés de mitrailleuses lourdes. Tous sont civils et volontaires pour défendre la capitale des attaques de drones quasi quotidiennes. Leur connaissance du terrain et un entraînement militaire soutenu font d'eux des chasseurs redoutables. L'unité de Pereiaslav a abattu 31 drones en un an. Reportage
La Suède "n'exclut pas" l'envoi de soldats de maintien de la paix en Ukraine, a indiqué lundi sa ministre des Affaires étrangères, après que le Royaume-Uni se soit déclaré disposé à contribuer avec des troupes sur le terrain à des garanties de sécurité pour Kiev.
Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a affirmé qu’il serait prêt à prendre cette décision pour «contribuer aux garanties de sécurité de l’Ukraine». La Suède a indiqué ce lundi 17 février être sur la même ligne.
Koursk, Orechnik, 61 milliards de dollars ... Voici des mots et des chiffres qui ont marqué la troisième année de guerre en Ukraine.
L'Ukraine a frappé avec des drones un oléoduc reliant la mer Caspienne à la mer Noire via le Sud de la Russie, provoquant l'arrêt d'une importante station de pompage, a annoncé lundi la compagnie exploitante.
Des pourparlers entre hauts responsables russes et américains, prévus mardi en Arabie Saoudite, visent au "rétablissement" des relations entre Moscou et Washington, notamment "de possibles négociations sur l'Ukraine" ainsi qu'un éventuel sommet Trump-Poutine, a indiqué lundi le Kremlin.
La réunion d'urgence de dirigeants européens lundi à Paris "a réaffirmé" que l'Ukraine "mérite la paix par la force", ont déclaré la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen Antonio Costa dans un message commun sur X.
De la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen au chef de l’Otan Mark Rutte en passant par Keir Starmer, les dirigeants européens ont multiplié les réactions ce lundi 17 février au soir à l’issue de la réunion d’urgence.
Le président ukrainien a égratigné ses soutiens dans une interview, enregistrée samedi mais diffusée lundi 17 février par la chaîne publique allemande ARD.
Varsovie a affirmé samedi que la réunion, prévue lundi et organisée à l’initiative d’Emmanuel Macron, visait à discuter des défis posés par le plan de paix ukrainien de l’administration Trump. Pour la presse européenne, la rapidité de la réponse européenne témoigne de “l’ampleur de l’anxiété” sur le continent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est dit certain, lors d'une interview à la télévision américaine diffusée dimanche, que la Russie va "déclarer la guerre à l'Otan" si Donald Trump diminue son soutien à l'Alliance atlantique et qu'elle se retrouve affaiblie.
Un mini-sommet européen est organisé ce lundi à Paris pour éviter qu’un accord de paix soit signé entre les Etats-Unis et la Russie sans les Européens et les Ukrainiens et pour accélérer le réarmement militaire des Vingt-Sept.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé, samedi, l'Europe "à agir pour son propre bien" et à adopter "une politique étrangère unifiée" pour se défendre face à la Russie, au moment où l'administration Trump entretient le doute sur l'implication des États-Unis dans la sécurité du continent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé samedi avoir refusé de signer un accord avec les États-Unis portant sur des minerais ukrainiens, estimant qu'il ne "protégeait pas" à ce stade son pays.
Le gouvernement étasunien a envoyé une lettre aux pays européens, leur posant la question de savoir combien de soldats ils seraient prêts à fournir pour assurer le maintien de la paix en Ukraine. Il est également question des armes qui pourraient être fournies et de ce qui est attendu des États-Unis.
Volodymyr Zelensky a dit samedi souhaiter que l'émissaire spécial du président américain pour l'Ukraine, Keith Kellogg, l'accompagne sur la ligne de front dans l'est de son pays et rende compte à Donald Trump des réalités du terrain.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé vendredi la Russie d'avoir endommagé avec un drone explosif l'arche de la centrale nucléaire de Tchernobyl, une structure de confinement du réacteur accidenté, assurant qu'aucune hausse des radiations n'avait été constatée.
À 35 km au nord de Kharkiv, face à l’armée russe, les soldats de la 127e brigade mènent une guerre électronique. En trois ans, les combats d'artillerie ont laissé place à une guerre des drones : surveillance des positions de l'ennemi, attaques de drones kamikazes. Conséquences : le front est gelé, les soldats s'enterrent dans des tranchées, les rotations ou les évacuations médicales sont très périlleuses. Reportage.
L'Ukraine a annoncé vendredi avoir remis aux Etats-Unis un projet de partenariat sur les ressources minières stratégiques du pays, alors que Donald Trump a affirmé début février vouloir obtenir un accès à ces richesses en échange du soutien américain."L'Ukraine a remis le document", a expliqué à la presse un membre de la délégation ukrainienne à la Conférence de Munich sur la sécurité, où Américains et Ukrainiens doivent se retrouver vendredi.Selon cette source, la partie américaine avait demandé un délai pour étudier le projet ukrainien.
En déplacement officiel en Europe, le vice-président américain, J. D. Vance, a tenu à souligner que toutes les options étaient encore sur la table pour mettre la pression sur Moscou afin de mettre un terme à la guerre en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé vendredi la Russie d'avoir endommagé avec un drone explosif l'arche de confinement de la centrale nucléaire accidentée de Tchernobyl, sans qu'une hausse des radiations soit constatée.M. Zelensky, rejoint sur ce point par la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas, y a vu une preuve que selon lui le président russe Vladimir Poutine "ne veut pas la paix".
Rebattant complètement les cartes après trois années de guerre, Donald Trump a convenu mercredi avec Vladimir Poutine de lancer des négociations “immédiates” sur l’Ukraine. Pour la presse européenne, les États-Unis montrent ainsi qu’ils sont “pressés de lâcher le Vieux Continent”.
Le Kremlin a indiqué jeudi vouloir "assez rapidement" une rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain Donald Trump, après l'appel téléphonique la veille entre les deux dirigeants, qui ont convenu de commencer à négocier la fin du conflit en Ukraine.
Plusieurs ministres de la Défense de l’Otan, réunis ce jeudi 13 février à Bruxelles, ont exprimé leur volonté d’impliquer l’Ukraine dans les pourparlers de paix, évoqués par les présidents américain et russe la veille.
Le Kremlin a indiqué jeudi vouloir 'assez rapidement' une rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et son...
La reprise d’un contact direct au plus haut niveau entre les États-Unis et la Russie était particulièrement attendue à Moscou, où la configuration bilatérale des pourparlers annoncés sur l’Ukraine est perçue comme la preuve de la faible influence des Européens. L’optimisme reste cependant mesuré, car les négociations concrètes s’annoncent difficiles.
John Bolton, conseiller à la Sécurité nationale lors du premier mandat de Trump, a vivement critiqué l'approche américaine concernant les négociations pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
Kiev a dit jeudi ne pas envisager de participer à une réunion à Munich (Allemagne) avec des responsables russes, annoncée par le président américain Donald Trump.
En renouant leur relation d’un coup de téléphone, mercredi 12 février, les présidents américain et russe ont rebattu les cartes du conflit, rappelant des souvenirs impérialistes.
Le président américain est revenu sur sa discussion avec son homologue russe. Et il a continué d'encenser la Russie.
Le chancelier allemand a mis en garde jeudi contre des négociations menant à une victoire russe et un "effondrement" de l'Ukraine, alors que les craintes s'accumulent en Europe à l'idée d'un règlement scellé entre Washington et Moscou aux dépens de Kiev.
Sur l’année 2024, les militaires russes ont conquis un peu moins de 4 200 kilomètres carrés, soit l’équivalent du tiers de l’Ile-de-France.
Le président ukrainien s’est dit prêt, mardi lors d’un entretien au « Guardian », à « un échange » de territoires avec le Kremlin, dans le cadre d’éventuelles négociations de paix sous l’égide des États-Unis.
Dans un entretien au «Guardian», le président ukrainien s’est dit ouvert ce mardi à des négociations avec Poutine, affirmant par ailleurs que «les garanties de sécurité sans l’Amérique ne sont pas de vraies garanties de sécurité».
Donald Trump réclame à l’Ukraine des contreparties à l’aide fournie par les États-Unis ces dernières années. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky se dit prêt à recevoir des "investissements" américains et compte faire peser les richesses du sol de son pays dans les négociations de paix. Titane, lithium, terres rares… quels sont ces minéraux si convoités en Ukraine ? Décryptage.
Les États-Unis ne considèrent pas l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan comme une issue réaliste à une fin négociée de la guerre en Ukraine, a déclaré jeudi le nouveau secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth. Washington estime également que le retour aux frontières ukrainiennes d'avant 2014 est un "objectif irréaliste". M. Hegseth a par ailleurs exclu l'envoi de troupes en Ukraine dans le cadre d'un éventuel accord de paix.
La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusées mercredi d'attaques qui ont empêché la rotation du personnel de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) présent à la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine. Cette centrale nucléaire, la plus grande d'Europe, a été capturée par la Russie dès les premières semaines de son invasion de l'Ukraine, et les deux pays se sont régulièrement accusés d'attaquer le site, faisant craindre une potentielle catastrophe.
Lors d’une conversation au téléphone ce mercredi 12 février, confirmée par les deux parties, les dirigeants russe et américain se sont mis d’accord pour entamer rapidement des négociations au sujet de l’Ukraine.
La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusées mercredi d'attaques qui ont empêché la rotation du personnel de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) présent à la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine.Cette centrale nucléaire, la plus grande d'Europe, a été capturée par la Russie dès les premières semaines de son invasion de l'Ukraine, et les deux pays se sont régulièrement accusés d'attaquer le site, faisant craindre une potentielle catastrophe.
Donald Trump a évoqué lundi la possibilité que l'Ukraine devienne "russe un jour", répétant vouloir un accès pour les Etats-Unis aux terres rares ukrainiennes en échange de l'aide américaine à Kiev face à la Russie.
Lundi 10 février, presque trois ans après le début de l’offensive de Moscou, le président des Etats-Unis a suggéré que l’Ukraine pourrait devenir russe et a réclamé que l’aide américaine versée à Kyiv soit compensée.
Face aux difficultés d’approvisionnement, l’armée russe utilise désormais des ânes pour acheminer des munitions sur le front ukrainien. Un choix que les autorités russes justifient comme une solution stratégique, mais qui soulève des questions sur leurs capacités logistiques.
Le journal d’opposition “Novaïa Gazeta Europe” a enquêté sur les pénuries de médicaments essentiels qui s’aggravent en Russie. Faute d’approvisionnement, la revente illégale de traitements inaccessibles explose sur Telegram.
Des drones, pré-installés près d'endroits stratégiques, s'élèvent au dernier moment pour atteindre leurs cibles.
Le président américain a annoncé qu’il pourrait fournir une aide militaire supplémentaire à Kiev contre les terres rares qu’abrite le sous-sol du pays. Les médias ukrainiens pèsent le pour et le contre de ce marché éventuel.
Un dépôt pétrolier a pris feu mercredi dans la région de Krasnodar (sud-ouest de la Russie), après une attaque de drones, a indiqué le gouverneur régional, Véniamine Kondratiev.Kiev a intensifié ses attaques aériennes contre les installations énergétiques et militaires russes ces derniers mois, une campagne décrite comme une juste réponse aux bombardements incessants de la Russie contre ses villes et son réseau énergétique.
"Nous disons à l’Ukraine qu’elle possède des terres rares de grande valeur. Il y a des milliards et des milliards de dollars en dessous." Donald Trump l'a bien compris. Il est l'homme fort pour déterminer l'avenir de l'Ukraine dans sa guerre face à la Russie. "Nous cherchons donc à conclure un accord avec l’Ukraine, où ils vont sécuriser ce que nous leur donnons avec leurs terres rares." Le président américain pose le stylo qu’il vient d’utiliser pour signer la nomination de Keith Kelloggs comme envoyé spécial pour "le problème de la Russie et de l’Ukraine".
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a lancé mardi son opération "2025 Ukraine Emergency Appeal". L'OMS est à la recherche de 68,4 millions de dollars (près de 66 millions d'euros). Le 24 février 2025 marquera les trois ans depuis le début de l'invasion russe en Ukraine. Le conflit bat toujours son plein et 12,7 millions de personnes nécessitent un besoin humanitaire urgent en raison de la crise humanitaire, note l'OMS.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré mardi que son pays était prêt à recevoir des "investissements d'entreprises américaines" dans ses terres rares, des métaux très utilisés dans l'électronique, auxquels Donald Trump avait semblé réclamer un accès en contrepartie de l'aide américaine.
Plusieurs sites énergétiques ont pris feu en Russie après une attaque de dizaines de drones ukrainiens dans la nuit de dimanche à lundi, selon les autorités et les médias locaux.
L'armée ukrainienne a dit lundi avoir mené des frappes de drones contre des installations pétrolières dans l'ouest de la Russie, dans la nuit de dimanche à lundi, déclenchant des incendies sur site.Kiev a intensifié ses attaques aériennes contre les installations énergétiques et militaires russes ces derniers mois, une campagne décrite comme une réponse aux bombardements de la Russie contre ses villes et son réseau énergétique depuis bientôt trois ans.
Donald Trump a dit lundi qu'il voulait négocier un "accord" avec l'Ukraine de manière à ce qu'elle offre une "garantie" sur ses "terres rares", des métaux très utilisés dans l'électronique, en échange de l'aide américaine.
Dysprosium, néodyme, cérium... les terres rares, que Donald Trump a mises lundi dans la balance d'un accord d'aide à l'Ukraine, sont des métaux stratégiques car indispensables à l'économie de demain, en particulier pour les grandes technologies de la transition énergétique.- D'où viennent ces métaux? Les terres rares sont composées de 17 matières premières, découvertes à la fin du XVIIIe siècle en Suède, et possédant chacune des propriétés différentes. Ces éléments ont été regroupés sous une même appellation, car ils sont souvent présents dans les mêmes sols.
Sans critiquer publiquement l’annonce de Donald Trump, le président Volodymyr Zelensky, ainsi que de nombreux secteurs touchés par l’arrêt brutal du financement de leurs activités, ont lancé des appels aux dons, vers l’Europe, notamment.
Au lendemain de l'invasion à grande échelle de l'Ukraine par la Russie, le 24 février 2022, des centaines de milliers d'Ukrainiens se sont précipités dans les centres de recrutement militaires pour défendre leur pays. Presque trois ans de guerre plus tard, l'élan s'est tari. Reportage de nos correspondants.
Les négociations de paix entre la Russie et l'Ukraine sont loin d'être terminées.
La campagne lancée par Kiev contre les infrastructures pétrolières russes ne faiblit pas. Au contraire, elle se durcit, rapportent les médias ukrainiens, frappant Moscou au portefeuille.
Plus d'un mois après le naufrage de deux pétroliers le 15 décembre, les côtes russes et ukrainiennes qui bordent la mer Noire sont touchées par une marée noire d'une ampleur inédite. Les ONG de défense de l'environnement alertent sur une "catastrophe écologique" et dénoncent une réponse trop tardive et insuffisante des autorités.
L’Ukraine confirme avoir frappé une raffinerie dans la région russe de Novgorod
Pour Oleksandr Danylyuk, membre du groupe de réflexion Royal United Services Institute, l'invasion russe en Ukraine aurait trois objectifs précis.
Le président russe Vladimir Poutine a fait savoir mardi que son pays pourrait participer des pourparlers de paix avec l'Ukraine, mais il a exclu de parler directement au président Volodymyr Zelensky, qu'il a qualifié d'"illégitime".
Le président ukrainien a affirmé samedi qu’aucune négociation de paix avec la Russie ne peut réussir sans l’Ukraine. Volodymyr Zelensky a demandé à ses alliés de définir un format de pourparlers incluant Kiev, dénonçant toute tentative de Moscou d’imposer un accord sans l’aval de l'Ukraine.
Le président Volodymyr Zelensky a expliqué samedi que des discussions de paix avec la Russie ne pouvaient pas avoir de "résultats réels" sans l'Ukraine, et a invité ses alliés à trouver un format de pourparlers en ce sens.
Le président russe Vladimir Poutine est "prêt" à parler à Donald Trump mais attend "des signaux" de Washington, a indiqué vendredi le Kremlin, rétorquant aussi à ce dernier qu'une baisse du prix du pétrole n'aurait aucune incidence sur le conflit en Ukraine.
Le président des Etats-Unis, Donald Trump, a jugé mardi "probables" de nouvelles sanctions à l'encontre de la Russie si Moscou ne négocie pas la fin de la guerre contre l'Ukraine.
Le président Volodymyr Zelensky a estimé qu'au moins 200.000 troupes européennes devraient être déployées pour garantir la sécurité de l'Ukraine en cas d'une trêve avec la Russie et éviter une nouvelle invasion, selon une vidéo diffusée par Kiev mercredi.
Si Moscou ne conclut pas d'accord avec l'Ukraine "maintenant", Donald Trump a assuré mercredi qu'il n'aurait "pas d'autre choix que d'imposer de hauts niveaux de taxes, de droits de douane et de sanctions sur tout ce que la Russie vend aux Etats-Unis et à d'autres pays".
Le président américain, tout juste de retour à la Maison Blanche, a sommé ce 22 janvier Moscou de trouver un accord pour clore la guerre en Ukraine, faute de quoi il lui imposerait des «hauts niveaux de taxes», des «droits de douanes»…
La transition de l'Ukraine vers des énergies renouvelables est "accélérée par la guerre", car c'est un moyen de sécuriser davantage son approvisionnement en énergie face aux attaques russes, explique le patron du plus gros producteur privé d'énergie du pays dans un entretien avec l'AFP.
L'armée ukrainienne a dit mardi avoir frappé dans la nuit de lundi à mardi un dépôt pétrolier et une usine aéronautique en Russie, lors d'une nouvelle série d'attaques de drones qui a aussi entraîné la mise à l'abri de la population civile de deux localités près du Kazakhstan.L'Ukraine frappe régulièrement des cibles militaires et des sites énergétiques en Russie, en riposte aux frappes quotidiennes du Kremlin qui endeuillent son territoire depuis février 2022.
L'armée ukrainienne a dit mardi avoir frappé dans la nuit de lundi à mardi un dépôt pétrolier et une usine aéronautique en Russie, lors d'une nouvelle série d'attaques de drones qui a aussi entraîné la mise à l'abri de la population civile de deux localités près du Kazakhstan.L'Ukraine frappe régulièrement des cibles militaires et des sites énergétiques en Russie, en riposte aux frappes quotidiennes du Kremlin qui endeuillent son territoire depuis février 2022.
Le ministre allemand de la Défense s'est dit samedi ouvert à l'envoi de soldats allemands en Ukraine si une zone démilitarisée y était instaurée, pour garantir le respect d'un hypothétique cessez-le-feu avec la Russie.
La guerre en Ukraine semble s’intensifier à quelques jours de l’investiture de Donald Trump à la présidence américaine. Russes et Ukrainiens multiplient leurs frappes pour tenter d’améliorer leurs positions avant d’éventuelles négociations.
L'armée ukrainienne a accusé vendredi les forces russes d'avoir frappé avec des drones FPV une école située à Soudja, dans la partie de la région russe de Koursk occupée par l'Ukraine et qui sert de refuge à une centaine de civils russes.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer est arrivé jeudi matin à Kiev, où il a signé un partenariat de sécurité "sur 100 ans" avec l'Ukraine, à quelques jours du retour à la Maison Blanche de Donald Trump. Une sirène aérienne suivie par de fortes explosions a retenti à Kiev dans le même temps.
La Russie s'est emparée de gisements de lithium en Ukraine. Des gisements encore inexploités qui constituaient un atout non négligeable pour le président ukrainien.
Au lendemain de la plus importante attaque aérienne ukrainienne contre le territoire russe depuis le début du conflit entre Moscou et Kiev, l'armée russe a lourdement frappé mercredi des "infrastructures essentielles" du réseau énergétique en Ukraine.
La Russie a lancé mercredi près de 120 missiles et drones contre le réseau énergétique ukrainien, une nouvelle attaque "massive" qui a provoqué des coupures d'électricité dans plusieurs régions de l'Ukraine pendant la visite du président Zelensky en Pologne.
L'Ukraine a lancé dans la nuit de lundi à mardi une attaque majeure de drones et de missiles sur plusieurs régions russes. Kiev assure avoir frappé une usine chimique produisant des explosifs pour l'armée russe dans la région frontalière russe de Briansk.
L’Ukraine accélère à tel point ses attaques de drones contre des sites russes liés à la production et à l’exportation d’hydrocarbures que Moscou accuse désormais Kiev de "terrorisme énergétique". Une arme importante dans l’arsenal ukrainien, utilisée depuis maintenant près d’un an.
Le géant industriel ukrainien Metinvest a annoncé mardi la mise à l'arrêt de la mine de Pokrovsk, essentielle à l'économie nationale, en raison du rapprochement des soldats russes de cette ville de l'est de l'Ukraine, importante pour la logistique de l'armée de ce pays. Voici ce que l'ont sait sur la mine de Pokrovsk.- Seule mine de coke -La mine de Pokrovsk est la seule sous contrôle de Kiev à produire du coke, un charbon nécessaire à la fabrication de l'acier, qui occupe la deuxième place dans les exportations ukrainiennes.
L'armée russe a revendiqué lundi la prise de Pichtchané, village minier près de Pokrovsk dans l'est de l'Ukraine et zone où les forces de Moscou progressent lentement mais sûrement depuis plusieurs mois, avec de lourdes pertes.Le ministère russe de la Défense a dit avoir "libéré" cette localité, située à moins de 10 km au sud-ouest de Pokrovsk et qui abrite un important site minier d'extraction de charbon.
La Russie a accusé lundi l'Ukraine d'avoir attaqué par les airs et sans succès une station de distribution gazière du gazoduc TurkStream, seul voie d'acheminement de gaz russe vers l'Europe depuis l'arrêt du transit le 1er janvier via le territoire ukrainien.Le secteur énergétique est un champ de bataille clé du conflit: depuis près de trois ans, Moscou est largement amputé de revenus clés, le marché européen du gaz s'étant en grande partie refermé en représailles de l'assaut et du fait du sabotage de Nord Stream en mer Baltique en septembre 2022.
Le géant gazier russe Gazprom, en proie à des difficultés financières résultant de l'assaut de Moscou contre l'Ukraine, envisage de supprimer environ 40% des postes au sein de son siège à Saint-Pétersbourg (nord-ouest), a indiqué lundi à l'AFP un porte-parole du groupe. Cette annonce intervient deux semaines après la fin du lucratif transit de gaz russe via l'Ukraine, une décision prise par Kiev pour limiter les revenus de Moscou après trois ans de conflit.
Si aujourd’hui les extrêmes droites russe et ukrainienne sont des ennemies mortelles, elles ont longtemps eu, en la personne de Jean-Marie Le Pen, un allié français commun.
Les gouvernements américain et britannique ont annoncé vendredi de nouvelles sanctions coordonnées contre le secteur énergétique russe, notamment contre Gazprom Neft, afin de saper "la plus grande source de financement du Kremlin" au service de l'effort de guerre en Ukraine.A quelques jours de l'investiture le 20 janvier du président américain élu Donald Trump, le département du Trésor a détaillé une série de sanctions visant entre autres deux des principales sociétés russes du secteur, Gazprom Neft et Sourgoutneftegaz.
Moscou a accusé samedi les Etats-Unis d'être prêts à risquer l'instabilité énergétique mondiale en imposant de nouvelles sanctions de grande envergure au secteur énergétique russe.Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont annoncé vendredi de nouvelles sanctions contre le secteur énergétique russe --notamment le géant pétrolier Gazprom Neft--, afin de saper "la plus grande source de financement du Kremlin" au service de l'effort de guerre en Ukraine, quelques jours seulement avant le départ du président Joe Biden.
La police ukrainienne a annoncé vendredi mener "plus de 600 perquisitions" dans le cadre d'une "opération spéciale".
Le président russe est prêt à rentrer en contact avec son homologue américain sans la moindre modalité, saluant sa volonté de «résoudre les problèmes par le dialogue» selon une annonce du Kremlin ce vendredi 10 janvier.
Les gouvernements américain et britannique ont annoncé vendredi de nouvelles sanctions coordonnées contre le secteur énergétique russe, notamment contre Gazprom Neft, afin de saper "la plus grande source de financement du Kremlin" au service de l'effort de guerre en Ukraine. A quelques jours de l'investiture le 20 janvier du président américain élu Donald Trump, le département du Trésor a détaillé une série de sanctions visant entre autres deux des principales sociétés russes du secteur, Gazprom Neft et Sourgoutneftegaz.
Depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine, le nombre de navires pétroliers à la propriété opaque ou dépourvus d'assurance appropriée a grimpé, permettant à la Russie de constituer une flotte clandestine pour exporter son pétrole malgré les sanctions.
Un incendie se poursuit jeudi pour le deuxième jour consécutif sur un site pétrolier à Engels, dans la région russe de Saratov, frappé la veille par des drones ukrainiens, en riposte, selon Kiev, aux bombardements sur l'Ukraine. "Les services de secours continuent à lutter contre les conséquences de l'attaque de drones", a indiqué le gouverneur régional, Roman Boussarguine, sur Telegram.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé jeudi qu'un éventuel déploiement de troupes occidentales en Ukraine aiderait à "forcer la Russie à la paix", assurant voir une "période d'opportunités" s'ouvrir avec l'arrivée prochaine de Donald Trump à la Maison Blanche.
Une coalition internationale visant à fournir des drones à l’Ukraine, codirigée par le Royaume-Uni et la Lettonie, va envoyer 30.000 nouveaux engins à Kiev, a annoncé jeudi le ministère britannique de la Défense.
L'armée ukrainienne a affirmé mercredi avoir frappé pendant la nuit un site pétrolier en Russie situé à 500 kilomètres de la frontière et approvisionnant l'aviation militaire russe qui bombarde l'Ukraine.Les autorités régionales russes ont fait état d'une "attaque massive" de drones ukrainiens sur les villes de Saratov et Engels situées à quelque 700 kilomètres au sud-est de Moscou qui a infligé des "dommages" à une "entreprise industrielle", y provoquant un "incendie".
L'armée ukrainienne a affirmé mercredi avoir frappé pendant la nuit un site pétrolier en Russie situé à 500 kilomètres de la frontière et approvisionnant l'aviation militaire russe qui bombarde l'Ukraine.Les autorités régionales russes ont fait état d'une "attaque massive" de drones ukrainiens sur les villes de Saratov et Engels situées à quelque 700 kilomètres au sud-est de Moscou qui a infligé des "dommages" à une "entreprise industrielle", y provoquant un "incendie".
Un bombardement aérien russe sur la ville ukrainienne de Zaporijjia a fait au moins 13 morts mercredi, ont indiqué les autorités de cette grande cité méridionale, visée ces dernières semaines par des attaques croissantes de Moscou.
Près de trois ans après l’invasion de l’Ukraine, l’économie de la Russie montre des signes de surchauffe. L’inflation explose à cause des dépenses militaires massives et des sanctions occidentales. Si la propagande russe maquille les problèmes, 2025 pourrait être une année charnière pour le Kremlin.
Moscou a affirmé dimanche repousser une offensive de Kiev dans cette région frontalière russe, où les forces ukrainiennes avaient déjà surpris la Russie en août. À l’approche de l’investiture de Donald Trump, l’Ukraine cherche à apparaître en meilleure posture, en vue d’éventuelles négociations avec Moscou, note la presse internationale.
Dans une longue interview publiée dimanche 5 janvier, le président ukrainien a multiplié les compliments envers Donald Trump qu’il voit comme «plus influent» que son prédécesseur pour mettre fin à la guerre avec la Russie.
Moscou a annoncé lundi avoir pris le contrôle de la ville de Kourakhové, dans la région de Donetsk, après avoir passé trois mois à combattre les forces ukrainiennes. La perte de cette ville, située près d'un important gisement de lithium, n'a pas été pour l'heure confirmée par l'armée ukrainienne.
Zelensky s'est exprimé dans une interview avec Lex Fridman. ... Si Trump a promis de mettre fin à la guerre rapidement une fois élu, Zelensky craint la suite des évènements si le futur président décide de se retirer de l'alliance. Newsweek rapporte les propos du président ukrainien : "Pour mettre fin aux combats, l'Ukraine a besoin de garanties de sécurité. Et si vous dites qu'il y a un risque que le président Trump se retire de l'OTAN, par exemple, c'est une décision des États-Unis. Je dis simplement que si cela se produit, Poutine détruira l'Europe. Il détruira tout autour."
Les militaires ukrainiens se sont réjouis des avancées dans la région lundi 6 janvier, au lendemain de l’annonce par la Russie d’une nouvelle offensive dans cette région dont les forces de Kyiv contrôlent des centaines de kilomètres carrés.
Selon Moscou, les forces armées ukrainiennes ont lancé ce dimanche une «contre-attaque» dans la région russe de Koursk. Une manière de montrer les muscles avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exprimé dans une interview publiée dimanche son souhait de rencontrer Donald Trump pour évoquer un plan de paix avant toute négociation avec Vladimir Poutine. 
Les territoires libérés de l'Ukraine ont un immense besoin en démineurs. De nombreuses femmes s'attellent à cette tâche et se forment au Kosovo, un pays reconnu pour son expertise en la matière.
La Transdniestrie, territoire séparatiste prorusse de Moldavie, a annoncé l'instauration de coupures de courant vendredi soir pour la population en raison de l'arrêt des livraisons de gaz russe, vitales pour son demi-million d'habitants.Des coupures entre 18h et 22hCe petit territoire qui échappe au contrôle de la capitale Chisinau depuis la chute de l'URSS avait déjà mis à l'arrêt jeudi de nombreuses entreprises industrielles face au manque d'électricité. Cette fois, les habitants sont concernés.
L’arrêt, mercredi, du transit du gaz russe via l’Ukraine risque d’avoir un impact disproportionné sur la Moldavie. Le pouvoir russe semble même prêt à sacrifier ses alliés en Transnistrie, ultra-dépendant du gaz russe, si cela peut permettre de déstabiliser le gouvernement pro-Européen de la présidente Maia Sandu.
Selon l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW), les forces russes ont avancé de près de 4 000 km2 en Ukraine en 2024, soit près de sept fois plus qu'en 2023. Une dynamique favorable obtenue au prix du sacrifice de centaines de milliers de soldats. Et face aux nombreuses troupes déployées par la Russie, l'Ukraine souffre mais ne craque pas.
Selon le Financial Times, des documents secrets révèlent des plans militaires russes dans le cadre d'une potentielle guerre contre le Japon et la Corée du Sud.
Le mégawattheure a plusieurs fois dépassé 50 euros depuis mardi, son niveau le plus élevé depuis octobre 2023, contre moins de 30 euros à la même époque l’année dernière.
Le président ukrainien a prononcé ses vœux à la nation, mardi 31 décembre, souhaitant que l’année commençante soit «l’année de l’Ukraine», et assurant que le pays ferait «tout pour arrêter la Russie et mettre fin à la guerre».
Un gazoduc transnational a été fermé mercredi 1er janvier après que Kiev a refusé de renouveler un accord autorisant le transit de gaz russe sur son territoire. Un arrêt qui s’inscrit dans le cadre d’une campagne menée par l’Ukraine et ses alliés pour saper la capacité de Moscou à financer son effort de guerre, observe la presse internationale.

2024

Une attaque ukrainienne de drones a entraîné mardi matin un incendie ainsi qu'une fuite dans un dépôt de pétrole de la région de Smolensk, dans l'ouest russe, a affirmé le gouverneur local, sans mentionner de quelconques victimes.
La Moldavie a déjà commencé à éteindre ses lumières, la Slovaquie menace l'Ukraine de représailles: l'annonce par Kiev de la fin du transit du gaz russe sur son territoire sème le trouble en Europe de l'Est. Aucune livraison n'est prévue mercredi 1er janvier, selon des données publiées mardi par l'opérateur ukrainien GTSOU, actant l'expiration d'un contrat établi en 2019 entre la compagnie Naftogaz et le géant russe Gazprom.Dans ce contexte, le cours du gaz européen a atteint la barre symbolique des 50 euros le mégawattheure, une première depuis plus d'un an.
Le président russe Vladimir Poutine a présenté samedi ses excuses à son homologue azerbaïdjanais après le crash mercredi d’un avion d’Azerbaijan Airlines, sans aller jusqu’à assumer clairement la responsabilité de l’accident, se bornant à reconnaître qu’il avait eu lieu “dans l’espace aérien russe”.
Dans quelques jours, l'Ukraine n'autorisera plus le transit du gaz russe sur son territoire en direction des pays européens, a prévenu son président Volodymyr Zelensky. Une décision qui affectera la Slovaquie, la Moldavie et dans une moindre mesure la Hongrie.- Une dépendance qui reste forte -Dans l'Union européenne (UE), les importations de gaz en provenance de Russie ont chuté à moins de 10% en 2023, contre plus de 40% en 2021.
"Plusieurs" soldats nord-coréens blessés sont morts en Ukraine après avoir été faits prisonniers, a annoncé vendredi soir le président ukrainien Volodymyr Zelensky, accusant la Russie d'avoir offert à ces soldats "une protection minimale".
Selon le président ukrainien, la Russie a lancé plus de 70 missiles et 100 drones ce mercredi, ciblant des structures énergétiques du pays.
La Russie a lancé mercredi plus de 70 missiles et plus de 100 drones explosifs sur l'Ukraine dont elle a visé le système énergétique, une attaque qui a causé la mort d'une personne et laissé, selon Kiev, des centaines de milliers de foyers sans électricité ni chauffage le jour de Noël. Le président russe Vladimir "Poutine a consciemment choisi Noël pour son attaque. Qu'est-ce qui peut être plus inhumain?" a lancé son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky sur Telegram.
La Russie a lancé mercredi plus de 170 missiles et drones sur le système énergétique de l'Ukraine, une attaque "inhumaine" qui a causé la mort d'une personne, selon Kiev, et laissé des centaines de milliers de foyers sans électricité ni chauffage le jour de Noël.Le président russe Vladimir "Poutine a consciemment choisi Noël pour son attaque. Qu'est-ce qui peut être plus inhumain?", a lancé son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky sur Telegram.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé lundi le Premier ministre slovaque, qui a visité Moscou la veille, de vouloir "aider" Vladimir Poutine "à gagner de l'argent pour financer la guerre avec Kiev", en pleine tension autour du transit de gaz russe vers l'UE.Confrontée depuis bientôt trois ans à l'invasion russe, l'Ukraine a fait savoir l'été dernier qu'elle ne renouvellerait pas le contrat la liant jusqu'à la fin de l'année à la Russie pour faire transiter le gaz russe vers l'Europe via son réseau étendu de gazoducs.
Plus de 3000 soldats nord-coréens ont été "tués" ou "blessés" dans les combats avec les forces ukrainiennes dans la région frontalière russe de Koursk, dont ces dernières occupent une partie du territoire, a assuré lundi le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé samedi qu'il avait vu directeur de la CIA William Burns en Ukraine, alors que ce type de rencontre est rarement dévoilé depuis l'invasion déclenchée par la Russie.
Vladimir Poutine s’est prêté jeudi à son exercice annuel de questions-réponses télévisé, répondant pendant plus de quatre heures aux questions des Russes et des médias. Interrogé sur la guerre en Ukraine, il s’est dit prêt à faire des “compromis” pour mettre fin au conflit, et disposé à en discuter avec Donald Tump “à n’importe quel moment”.
Au moins 100 soldats nord-coréens envoyés combattre aux côtés des forces russes contre l'Ukraine ont été tués sur le champ de bataille en décembre, a affirmé jeudi un député sud-coréen, Lee Seong-kweun.
Lors de sa très longue conférence de presse annuelle à Moscou ce jeudi 19 décembre, le président russe s’est dit prêt à échanger avec Donald Trump, potentiellement autour d’un cessez-le-feu en Ukraine.
Le commandant des forces russes de défense radionucléaire, chimique et biologique a été tué ce mardi 17 décembre dans une explosion survenue près d’un immeuble résidentiel, un assassinat revendiqué par les services secrets ukrainiens.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé mardi à "une paix durable" en Ukraine, lors d'une réunion de responsables de dix pays européens à Tallinn en Estonie, estimant que la guerre pouvait s'achever l'an prochain.
L’officier, tué mardi 17 décembre dans un attentat commis dans la capitale russe, était, selon les autorités britanniques et américaines, l’un des principaux relais de la propagande du Kremlin. A Kiev, il était considéré comme un criminel de guerre.
L'Ukraine a affirmé samedi avoir bombardé pendant la nuit un site pétrolier dans la région russe d'Oriol (ouest), déclenchant un incendie, les autorités locales confirmant une "attaque massive" de drones.
"L'ennemi continue avec la terreur. Une fois encore, le secteur énergétique, à travers l'Ukraine, est la cible d'une attaque massive", a indiqué le ministère ukrainien de l'Energie.
Le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre polonais Donald Tusk ont martelé jeudi à Varsovie que la paix en Ukraine ne pouvait se faire aux dépens des Ukrainiens et discuté d'un potentiel envoi de troupes européennes dans ce pays, à un mois du retour de Donald Trump à la Maison Blanche.
Le Kremlin a salué vendredi la dernière déclaration de Donald Trump s'opposant à l'emploi par l'Ukraine de missiles américains contre le territoire russe.
"Tout est cher". A Dedovsk, une petite ville à 40 km au nord-ouest de Moscou, certains dépriment face à une hausse des prix largement alimentée par l'assaut en Ukraine, près de trois ans après son déclenchement par le Kremlin.
En raison des sanctions imposées à Moscou après l’invasion de l’Ukraine, le secteur traverse une zone de fortes turbulences, montre l’enquête de “Novaïa Gazeta Europe”. Obligées de se fournir en pièces détachées au marché noir, les compagnies enregistrent des pannes à répétition.
Les chefs de la diplomatie de six pays européens et l'UE ont réaffirmé jeudi soutenir l'Ukraine sur sa voie "irréversible" vers l'adhésion à l'Otan, estimant aussi que "la paix en Ukraine et la sécurité en Europe sont indissociables".
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a condamné jeudi "une attaque directe" ayant visé plus tôt cette semaine un véhicule officiel de l'instance onusienne en Ukraine, évoquant "une intention claire" de nuire." Mardi, un drone a frappé un véhicule clairement identifié de l'AIEA qui achevait la rotation du personnel de l'agence" à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), a rappelé Rafael Grossi à l'ouverture à Vienne d'un Conseil extraordinaire des gouverneurs sur la situation dans le pays en guerre.
Une frappe russe menée mardi sur Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, a fait sept morts et 22 blessés, selon un nouveau bilan fourni mercredi par les autorités, alors que secouristes tentent toujours de retrouver des survivants sous les décombres. Cette frappe, qui a notamment détruit une clinique privée et un immeuble de bureaux, est la dernière en date d'une série d'attaques qui se sont intensifiées dans le sud de l'Ukraine, renforçant les craintes d'une nouvelle offensive russe dans la région.
Kiev a développé depuis 2022 une vraie supériorité en matière de drones longue distance, une arme sur laquelle les autorités restent encore très discrètes mais qui leur permet de frapper en Russie sans l’aval des Occidentaux.
Dans l’est de l’Ukraine, l’officier ukrainien 'Goth' allume sa pipe, insensible aux explosions autour de lui, stressé...
Le président américain élu Donald Trump a appelé dimanche à un "cessez-le-feu immédiat" et des négociations pour mettre fin au conflit en Ukraine, sur sa plateforme Truth Social. "Il devrait y avoir un cessez-le-feu immédiat et des négociations devraient commencer. Trop de vies ont été perdues en vain, trop de familles ont été détruites, et si ça continue, cela pourrait se transformer en quelque chose de plus gros, et bien pire", a-t-il écrit en affirmant que l'Ukraine a perdu "de façon ridicule" 400.000 soldats et "bien plus de civils".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a insisté samedi, lors d'une rencontre à Paris avec Donald Trump, sur la nécessité de conclure une "paix juste" avec la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit dimanche rechercher une "paix durable" pour son pays, que la Russie ne pourra pas "détruire dans quelques années" en lançant un nouveau conflit, des propos qui font suite à une rencontre la veille avec le président élu américain Donald Trump à Paris.
De “la chair à canon” : ces trois derniers mois, l’armée russe aurait perdu 125 000 combattants pour prendre ou reprendre 2 350 km2 de territoire, selon un rapport de l’Institute for the Study of War. Tant pour Moscou que pour Kiev, les recrutements ne parviendraient plus à compenser les pertes.
Le président élu américain a affirmé dimanche que le dirigeant ukrainien et son pays « aimeraient conclure un accord et mettre fin à la folie ».
Des révélations lourdes de conséquences.
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken s'en est pris jeudi à son homologue russe Sergueï Lavrov, l'accusant de propager un "tsunami de désinformation" et rendant Moscou responsable de l'escalade en Ukraine.
Des nouvelles attaques russes contre des infrastructures en Ukraine ont provoqué de vastes coupures d'électricité dans l'ouest du pays, à des centaines de kilomètres de la ligne de front, ont déclaré mardi les autorités ukrainiennes. Pendant la nuit de lundi à mardi, un drone russe a frappé un "site des infrastructures électriques" à Ternopil, cité comptant plus de 220.000 habitants, a indiqué son maire, Serguiï Nadal, sur Telegram.
Le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte ne voit aucun signe indiquant que le président russe Vladimir Poutine souhaite mettre fin à la guerre en Ukraine.
Washington a annoncé lundi une aide militaire supplémentaire pour l'Ukraine, évaluée à 725 millions de dollars et comprenant notamment des missiles et d'autres munitions, selon un communiqué du secrétaire d'État américain, Antony Blinken.
L'armée russe a avancé sur 725 kilomètres carrés en territoire ukrainien au cours du mois de novembre, son gain territorial le plus important en un mois depuis mars 2022 et les premières semaines de la guerre, d'après une analyse de l'AFP lundi à partir des données de l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW).
Le chancelier allemand Olaf Scholz a promis lundi au président ukrainien Volodymyr Zelensky que la Russie n'imposerait pas ses conditions à l'Ukraine dans l'hypothèse de négociations de paix entre les deux pays."Rien de ce qui concerne l'Ukraine ne se décidera sans l'Ukraine", a déclaré le chancelier allemand lors d'une visite à Kiev où il a évoqué avec M. Zelensky la perspective de pourparlers. "La Russie ne peut pas dicter la paix à l'Ukraine", lui a-t-il assuré, disant vouloir "explorer les voies qui peuvent conduire à une paix juste et durable pour l'Ukraine".
Le général américain à la retraite Keith Kellogg, choisi par Donald Trump pour devenir l'émissaire pour l’Ukraine et la Russie, a des idées très précises pour mettre fin aux combats en Ukraine. Son plan fait largement écho aux revendications russes.
En intégrant 10 000 soldats nord-coréens dans les forces russes qui combattent sur le front ukrainien, Kim Jong-un et Vladimir Poutine ont rebattu les cartes du grand jeu stratégique. Dans ce nouveau rapport de force, quels sont les alliés de Moscou ? Et à qui font-ils face ? Le point en carte.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré dimanche qu'une invitation à intégrer l'Otan était "nécessaire à la survie" de l'Ukraine, près de trois ans après le début de l'invasion russe du pays.
Alors que les appels à entamer des négociations avec Moscou se font plus pressants, y compris chez les alliés de Kiev, Volodymyr Zelensky a assuré que son pays avait besoin "d'armes" et d'un "pas en avant avec l'Otan".
Le président ukrainien s’est dit prêt, vendredi sur la chaîne Sky News, à figer les positions actuelles si l’Alliance atlantique garantissait la protection des territoires contrôles par Kiev, afin de « mettre fin à la phase chaude de la guerre » menée par la Russie. Il espère ensuite « récupérer l’autre partie [du] territoire par des voies diplomatiques ».
Volodymyr Zelensky avait jusqu'à présent exclu de céder des territoires en échange de la paix. Le chef d'État ukrainien s’est dit prêt, vendredi, à accepter des garanties de protection de l’Otan limitées dans un premier temps aux territoires contrôlés par Kiev.
Le président ukrainien a laissé entendre vendredi 30 novembre qu’il était disposé à attendre avant de récupérer les zones occupées par l’armée russe - près d’un cinquième du pays - afin de «mettre fin à la phase chaude de la guerre».
Plus d'un million d'Ukrainiens sont privés d'électricité jeudi matin après une nouvelle attaque aérienne "massive" de la Russie contre les infrastructures énergétiques, en pleine escalade des menaces de Moscou contre l'Ukraine et l'Occident.Cette vague d'attaques intervient à un moment où Moscou intensifie sa pression militaire sur l'Ukraine, en attendant, comme les Européens, l'arrivée à la Maison Blanche en janvier de l'imprévisible Donald Trump.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi la Russie d'avoir frappé son infrastructure énergétique avec des bombes à sous-munitions, minant de facto ces sites et compliquant les réparations, une escalade "méprisable".
Le président russe Vladimir Poutine a une nouvelle fois vanté jeudi la puissance de l'Orechnik, son missile hypersonique dernière génération conçu pour porter des têtes nucléaires, utilisé pour la première fois en Ukraine la semaine dernière.
La Russie a toujours été prête à utiliser l'arme nucléaire. Depuis le premier jour de l'invasion de l'Ukraine jusqu'à aujourd'hui.
«The Financial Times» a révélé, dimanche 24 novembre, que la Russie comptait dans ses rangs des rebelles houthis du Yémen, avec qui ils partagent un même adversaire, les Etats-Unis, pour continuer la guerre contre l’Ukraine.
Donald Trump a annoncé mercredi nommer l'ancien général Keith Kellogg, qui lui est très fidèle, comme émissaire pour l'Ukraine et la Russie. "Il est avec moi depuis le début! Ensemble, nous obtiendrons la paix par la force et nous rendrons l'Amérique et le monde sûrs à nouveau!", a écrit le président élu dans une publication sur son réseau Truth Social.
A l’approche de l’investiture de Donald Trump en janvier et du troisième anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine en février, le conflit s’accélère. C’est aux pays européens les plus déterminés d’organiser, d’urgence, la réponse à un éventuel désengagement américain.
Un tribunal russe a ordonné l'arrestation de Catherine Norris Trent, grand reporter pour France 24, a rapporté mardi l’agence de presse russe Tass. Accusée d'avoir pénétré "illégalement" dans la région frontalière russe de Koursk, la journaliste franco-britannique avait accompagné l'armée ukrainienne sur le terrain. France 24 rappelle que ce reportage "embarqué" est "protégé par les droits accordés aux journalistes en vertu de la convention de Genève et du droit international".
Moscou a rapporté mardi avoir été visé ces derniers jours par deux nouvelles frappes ukrainiennes réalisées à l'aide de missiles américains ATACMS, plusieurs missiles ayant "atteint leurs cibles".
Dans la perspective d’un désengagement américain vis-à-vis de Kiev en raison du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, Paris et Londres n’excluent pas de prendre la tête d’une coalition en Ukraine, selon des modalités qui restent à préciser.
Les autorités allemandes ont annoncé lundi qu’elles étaient en train de répertorier bunkers et abris où la population pourrait trouver refuge en cas d’attaque, souhaitant augmenter leur nombre, dans un contexte de tensions accrues avec la Russie. "Tous les bâtiments – propriétés privées comprises – qui pourraient servir d’abri, tels que les caves, les garages et les stations de métro" sont en train d’être inventoriés, a déclaré un porte-parole du ministère allemand de l’Intérieur, lors d’un point presse régulier à Berlin. "Un répertoire numérique de tous les bunkers sera établi afin que les gens puissent les trouver rapidement à l’aide de leur téléphone portable", a-t-il ajouté.
Le pape François a dénoncé lundi au Vatican "l'arrogance de l'envahisseur" en Ukraine mais aussi en "Palestine", une rare prise de position contre la politique israélienne, une semaine après avoir évoqué pour la première fois les accusations de "génocide" à Gaza.
Pour l'ancien commandant en chef militaire ukrainien Valeri Zaloujny, la guerre en Ukraine est entrée dans une nouvelle dimension et s'apparente désormais à une Troisième Guerre mondiale.
Fortement impacté par les sanctions occidentales, le pétrole russe est aujourd'hui en grande difficulté et des raffineries pourraient fermer.
Plusieurs centaines de combattants yéménites combattent actuellement en Ukraine, révèle le “Financial Times”. Leur présence dans les rangs de l’armée russe montre que Moscou recrute de plus en plus de mercenaires étrangers à mesure que les pertes augmentent, l’objectif du Kremlin étant d’éviter une mobilisation générale.
Le président russe a directement menacé jeudi les alliés de l’Ukraine, après avoir lancé sur l’Ukraine un nouveau type de missile balistique, conçu pour porter une ogive nucléaire.
Selon l’Open Source Centre, un centre de recherches britannique, les pétroliers nord-coréens ont effectué plusieurs voyages vers la Russie depuis mars 2024.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné vendredi de produire en série et de continuer à tester au combat le nouveau missile balistique hypersonique Orechnik, utilisé la veille pour frapper l'Ukraine. Une arme inconnue jusque-là, testée pour la première fois par Moscou contre Kiev et comme une mise en garde à l'Occident.
Alors que les tirs inédits de missiles balistiques par la Russie sur Dnipro représentent un seuil supplémentaire dans l’escalade, les pays occidentaux affirment qu’ils ne se laisseront pas intimider et poursuivront leur soutien à l'Ukraine.