Jean-Marc Jancovici

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2025

Alors que la trêve vacille, Tel-Aviv prive Gaza de sa dernière source d’électricité extérieure. Une stratégie qui vise à forcer le groupe islamiste à céder sur la gouvernance future de l’enclave, mais qui aggrave une situation humanitaire déjà critique.
Après avoir coupé, dimanche dernier, l’aide humanitaire à Gaza, Israël a annoncé ce dimanche couper l’approvisionnement en électricité de la zone. Cette annonce a été faite par le ministre de l’Energie Eli Cohen.
Les pays musulmans se sont réunis vendredi en Arabie saoudite pour discuter du plan arabe pour la reconstruction de Gaza, adopté en réponse à la proposition du président américain Donald Trump de prendre le contrôle du territoire palestinien.
Donald Trump a lancé mercredi un "dernier avertissement" au Hamas, l'enjoignant de libérer les otages, sans quoi le "peuple de Gaza" risque "la mort", le jour même où Washington a confirmé avoir eu des contacts directs avec le mouvement islamiste palestinien.
Lors d’un sommet organisé au Caire à l’initiative du président Sissi, les dirigeants de la Ligue arabe ont adopté ce mardi 4 mars un plan alternatif à celui proposé par Donald Trump, qui envisage le déplacement des Palestiniens.
Israël exige la "démilitarisation totale de la bande de Gaza" pour passer à la mise en oeuvre de la deuxième phase de l'accord de trêve conclu en janvier avec le Hamas par le biais d'une médiation internationale, a déclaré mardi le ministre des Affaires étrangères israélien.
L'Egypte a présenté un plan de 53 milliards de dollars pour reconstruire Gaza sur cinq ans, axé sur les secours d'urgence, la reconstruction et le développement économique à long terme, selon un projet de document que l'AFP a pu consulter.
Le sommet arabe a appelé mardi à unifier les rangs palestiniens sous la direction de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), ce qui aurait pour effet de mettre à l'écart le mouvement islamiste Hamas qui n'en fait pas partie.
Une enquête interne de l'armée israélienne sur l'attaque du 7 octobre a reconnu l'"échec total" de l'armée à empêcher l'attaque de commandos du Hamas à partir de Gaza, qui a fait plus d'un millier de morts en Israël, a déclaré un responsable militaire jeudi.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a rejeté mercredi les "propositions" d’annexion ou de transfert forcé des populations des Territoires palestiniens occupés, qui pourraient "menacer" toute la région.
Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a reporté sine die sa visite, prévue le 18 février, à Washington, où il devait discuter avec Donald Trump de l’avenir de Gaza et du plan concernant le “trumpsfert” de 2 millions de Palestiniens. Au risque de perdre le soutien financier et politique américain, explique le site d’information “Daraj”.
Le chef de l'opposition israélienne, Yaïr Lapid, a proposé mardi que l'Egypte assume la responsabilité de la bande de Gaza pour huit ans une fois la guerre terminée, en échange d'un allégement massif de sa dette.
Historienne et anthropologue, directrice de recherche au CNRS, Stéphanie Latte Abdallah est spécialiste du Moyen-Orient. Elle explique à Vert pourquoi l’écologie palestienne qu’elle qualifie d’«existentielle» est une forme de résistance à la destruction d’une terre et du peuple qui y vit.
Huit dirigeants arabes se réunissent, vendredi, en Arabie saoudite, pour discuter d'un projet alternatif à celui exposé par Donald Trump sur l'avenir de Gaza. Un plan égyptien en trois phases est à l'étude.
Le Hamas est prêt à libérer tous les otages restants dans la bande de Gaza, lors de la deuxième phase de la trêve entre le mouvement islamiste palestinien et Israël après 15 mois de guerre, a déclaré mercredi l'un de ses responsables.
Un État israélo-palestinien unique représente une possibilité crédible, à condition que des concessions importantes soient faites de part et d’autre.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.
Le président américain exige qu’Israël annule l’accord de cessez-le-feu si les otages ne sont pas « tous ramenés avant samedi midi ». Une réclamation qui va plus loin que l’accord de trêve qui se déroule depuis le 19 janvier.
Joseph Pelzman a envoyé un rapport de 49 pages à Donald Trump pour essayer de trouver des solutions. Objectif : transformer Gaza comme la Côte d'Azur du Moyen-Orient. Un pari aussi fou que contraire au droit international.
Le président des Etats-Unis affirme que les palestiniens déportés dans le cadre de son projet pour reconstruire la bande de Gaza n’auront pas le droit de revenir sur leurs terres, apprend-on ce lundi 10 février.
Dans un extrait d’une interview qui doit être diffusée sur Fox News lundi 10 février au soir, le président américain a déclaré vouloir attribuer aux Gazaouis un “endroit permanent” autre que la bande de Gaza, ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas.
La porte-parole de la Maison-Blanche a tenté mercredi de clarifier les annonces faites la veille par Donald Trump sur la présence américaine dans l’enclave palestinienne.
L’administration américaine s’est efforcée mercredi de nuancer la proposition du président Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza, et le chef de l’ONU a mis en garde contre un «nettoyage ethnique» dans le territoire palestinien.
Les déclarations du président américain du mardi 4 février sur sa volonté de faire de Gaza la «Côte d’Azur du Moyen-Orient» se heurtent, en réalité, à bien plus d’obstacles que ne le laisse entendre le milliardaire républicain.
Donald Trump a fait une annonce extraordinaire mardi, disant vouloir prendre "le contrôle" de la bande de Gaza dévastée par la guerre, une proposition qui pourrait "changer l'Histoire" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le président républicain a affirmé mardi que les États-Unis souhaitaient développer le territoire palestinien et a répété que ses habitants pourraient être transférés vers la Jordanie ou l’Égypte. Une annonce extraordinaire qui, si elle était appliquée, pourrait avoir des “implications considérables” pour le Moyen-Orient, note la presse américaine.
En prônant une prise de contrôle durable de la bande de Gaza par les Etats-Unis après en avoir chassé les Palestiniens, le président américain fait sienne la vision de l’extrême droite raciste et suprémaciste israélienne et annonce un crime de guerre.
La déclaration choc du président américain, mardi, d’expulser tous les Palestiniens de l’enclave pourrait mettre à mal le troisième échange d’otages prévu ce week-end et anéantir tous les plans de paix possibles.
Après les déclarations polémiques mardi soir du président américain, Paris a affirmé ce mercredi 5 février que «l’avenir de Gaza doit s’inscrire […] dans le cadre d’un futur Etat palestinien.»
Le président américain a suscité mardi 4 février, une vague de stupeur internationale en annonçant son ambition de faire de Gaza «la Côte d’Azur du Moyen-Orient». Retour sur ses propos.
"Prendre le contrôle de la bande de Gaza" et transférer ses habitants vers d’autres pays, le projet du président états-unien Donald Trump pour l’enclave palestinienne a provoqué mercredi une vague de réactions internationales plus ou moins indignées. Le petit territoire palestinien jouit depuis le 19 janvier d’une trêve entre le mouvement islamiste du Hamas, qui le gouverne, et Israël, après plus d’un an de guerre qui l’a laissé exsangue. La suite de cette trêve est en négociation.
Les propos de Trump en faveur d'un déplacement forcé des Gazaouis ont trouvé un écho négatif dans l’ensemble de la communauté internationale, à l’exception des républicains américains et de la coalition nationaliste au pouvoir en Israël.
Steve Witkoff, émissaire de Donald Trump pour le Moyen-Orient, juge «grotesque» l’idée que la bande de Gaza puisse être habitable d’ici cinq ans, comme le prévoit l’accord de cessez-le-feu avec Israël.
La neutralité est une complicité. Il est urgent que nos universités assument une responsabilité collective, défendent sans équivoque la justice et alignent leurs politiques sur leurs principes déclarés.
La fin annoncée jeudi 30 janvier des activités de l’agence officielle représente un traumatisme pour les millions de personnes qui en bénéficient, à travers écoles, soins et services essentiels, depuis des années.
Des milliers d’Israéliens, parfois des familles entières, ont quitté le pays pour s’installer à l’étranger. En cause, l’insécurité et la guerre à Gaza, mais aussi la politique du gouvernement Nétanyahou et le poids de la religion dans le pays.
L'idée lancée par Donald Trump de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers la Jordanie et l'Egypte s'est heurtée à de nouvelles critiques mardi, pendant que des milliers de Palestiniens continuaient à rentrer dans le nord du territoire, en ruines après 15 mois de guerre.
Le président américain Donald Trump a confirmé samedi avoir débloqué une livraison de bombes de 2.000 livres (907 kg) à Israël, suspendue l'an dernier par l'administration de son prédécesseur Joe Biden.
A bord d’Air Force One, le républicain a exposé samedi 25 janvier sa solution pour abriter les Gazaouis forcés au déplacement après quinze mois de bombardements sur leur territoire.