filtre:
israéliens
2025
Dix-neuf spécialistes du droit international et de philosophie juridique soulignent, dans un courrier adressé au premier ministre de l’Etat hébreu, que le droit de recourir à la force en état de légitime défense n’« est pas illimité ».
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël ont appelé, lundi, le président américain Donald Trump à faire pression sur Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza. "Traquer les derniers hauts responsables du Hamas peut être fait plus tard", mais les "otages ne peuvent pas attendre", insistent-ils.
Des hauts responsables, parmi lesquels plusieurs ex-patrons du Mossad et du Shin Bet, ont appelé le président américain à faire pression sur Benyamin Nétanyahou en vue d’un accord.
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël, parmi lesquels plusieurs ex-patrons du Mossad et du Shin Bet, ont appelé le président américain Donald Trump à faire pression sur le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza.
Des hameaux de la vallée du Jourdain, où des familles d’éleveurs résident depuis des décennies, se vident l’un après l’autre sous la violence des colons radicalisés, avec le soutien quasi officiel du gouvernement Nétanyahou.
Dans les camps de réfugiés de Tulkarem, plus de six mois d'une offensive militaire israélienne, présentée comme une chasse aux groupes armés palestiniens dans le nord de la Cisjordanie occupée, ont bouleversé le paysage urbain.
Cisjordanie : nouvelles attaques de colons israéliens contre des soldats, un site militaire incendié
- Afp,
Plusieurs dizaines d’Israéliens se sont rassemblés dans la nuit devant une base militaire en Cisjordanie occupée, où certains d’entre eux ont attaqué les forces de sécurité et vandalisé des véhicules et une installation militaire, a annoncé lundi l’armée.
Alors que les regards étaient braqués sur le conflit entre l’Etat hébreu et la République islamique, les extrémistes juifs ont multiplié les attaques contre les villages palestiniens. Mercredi, à Kafr Malik, l’armée israélienne a tué trois civils après « des jets de pierres ».
Dans un article publié par le quotidien «Haaretz», ce vendredi 27 juin, des militaires israéliens racontent avoir reçu l’ordre de tirer sur les foules de Gazaouis rassemblés pour recevoir de l’aide alimentaire, alors même qu’ils ne représentaient aucun danger.
Pour la spécialiste du droit international Monique Chemillier-Gendreau, la solution à deux États ne peut être le résultat d’une négociation, mais doit être imposée à Israël, notamment par des sanctions.
Le président américain mobilise des fondamentalistes chrétiens, idéologiquement proches des suprémacistes israéliens, en soutien à la campagne multiforme de destruction de Gaza, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
Un homme aurait utilisé un lance-flammes artisanal et un engin incendiaire pour brûler des manifestants, rassemblés dimanche 1er juin dans la ville de Boulder.
Les militaires ont ouvert le feu alors que des milliers de personnes convergeaient vers un centre de distribution américain.
À Paris, comme dans treize villes européenne était organisée une manifestation d'Israéliens réclamant l'interruption de la guerre à Gaza. L'historien et ex-ambassadeur Elie Barnavi a pris part à la mobilisation, dénonçant une "folie". "Nous avons la responsabilité de mettre fin à ce génocide", a souligné sur France 24 l'une des organisatrices du rassemblement.
Un bateau de la Flottille de la liberté a été pris pour cible par des drones israéliens ce vendredi 2 mai, affirment les membres de l’ONG. Un incendie s’est déclaré et la coque du bateau a été percée. Aucune victime n’est à déplorer.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.
Le président américain exige qu’Israël annule l’accord de cessez-le-feu si les otages ne sont pas « tous ramenés avant samedi midi ». Une réclamation qui va plus loin que l’accord de trêve qui se déroule depuis le 19 janvier.
2024
Plus de 1 000 Israéliens ou Franco-Israéliens, dont des universitaires et des artistes, appellent la communauté internationale à appliquer contre l’Etat hébreu toute sanction possible afin d’obtenir un cessez-le-feu immédiat.
La communauté internationale a largement critiqué vendredi les tirs israéliens sur des Casques bleus de la Force intermédiaire des Nations unies pour le Liban (Finul), blessant deux soldats de l'ONU vendredi.
Plus de 6 bâtiments sur 10 de l’enclave ont été détruits, ou possiblement endommagés. Plus de 60% du réseau de distribution électrique de l’enclave et 68% des routes sont endommagés.
Israël a à nouveau bombardé vendredi la capitale libanaise ainsi que la principale route menant en Syrie. La ville de Tulkarem, en Cisjordanie, a également été visée. L’Iran affirme que ses alliés du Hezbollah et du Hamas ne reculeront pas.
Une vidéo extraite d’un documentaire du média public turc TRT World montre des Israéliens prendre des bateaux pour observer Gaza et réfléchir à la réimplantation de colonies dans le nord de l’enclave. Des images représentatives de la volonté de recoloniser le territoire palestinien exprimée depuis plusieurs mois par une frange radicale de la société israélienne.
Fatigués de partir et repartir inlassablement, les déplacés palestiniens ne veulent plus bouger malgré les ordres d’évacuation quasi-quotidiens lancés par l’armée israélienne. «Aucun endroit n’est sûr» à Gaza, répète l’ONU.
Des frappes israéliennes sur le camp de Nousseirat dans le centre de la bande de Gaza et dans Gaza-ville ont fait au moins 24 morts samedi, selon les responsables des services de santé. Parmi les victimes figure un journaliste et sa famille, portant à 161 le nombre de journalistes palestiniens tués par des tirs israéliens depuis le 7 octobre.
Israël continue de bombarder la bande de Gaza mardi, émettant des ordres d'évacuations qui ont contraint des centaines d'habitants à fuir à nouveau plusieurs secteurs du sud du territoire palestinien, déjà dévasté par près de neuf mois de guerre. L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) estime "qu'environ 250 000 personnes ont été touchées par ces ordres".
Samedi 8 juin, Tsahal a libéré 4 otages israéliens grâce à une opération spéciale dans le camp de Nuseirat, situé au centre de la bande de Gaza. Selon les chiffres fournis par le Hamas, ce raid aurait néanmoins causé la mort d’au moins 274 Palestiniens, ce qui a provoqué de fortes réactions au sein de la communauté internationale.
Un groupe de militants pacifistes israéliens ont tenté de protéger dimanche un convoi humanitaire à destination de la bande de Gaza, pour empêcher qu'il soit attaqué par des activistes israéliens comme d'autres ces derniers jours, a constaté une correspondante de l'AFP.
De violents combats ont eu lieu lundi entre les soldats israéliens et le Hamas à Rafah et à Jabaliya, dans le sud et dans le nord de la bande de Gaza. Des Palestiniens ont continué de fuir des secteurs de Rafah, mais certains disent ne pouvoir partir faute de moyens.
«Lutter contre le terrorisme des extrémistes palestiniens exige de s’attaquer aux causes qui sont à l’origine de leurs actions», selon Bernard Adam, ancien directeur du Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité.
Il reste encore 129 Israéliens entre les mains du Hamas, dont 34 sont morts selon Tel Aviv. L’organisation islamiste palestinienne dit avoir besoin de «temps et de sécurité» pour les retrouver, car ils se trouvent détenus par «différents gr
Depuis le début de la guerre civile en Syrie, en 2011, Israël a mené des centaines de frappes visant l’armée syrienne, mais aussi les groupes pro-iraniens qui combattent aux côtés du régime de Damas.
Ils sont une "toute petite minorité", leur voix est quasiment inaudible, et ils le savent. Mais quelques dizaines de jeunes activistes israéliens ont malgré tout organisé jeudi un très symbolique convoi d’aide alimentaire vers la bande de Gaza, vite refoulé par la police.
Le 28 janvier, plusieurs ministres du gouvernement Nétanyahou ont participé à une conférence organisée par l’extrême droite prônant la réinstallation des Israéliens à Gaza et le départ “volontaire” des Palestiniens de la bande de Gaza. Les images de l’ambiance festive régnant dans la salle ont suscité l’émoi sur les réseaux sociaux.
Des dizaines de Palestiniens ont été tués dans des frappes israéliennes jeudi dans la bande de Gaza, où l'armée a annoncé une progression de ses soldats dans la ville méridionale de Khan Younès et de violents combats contre le Hamas.
Les deux ministres, également chefs de partis d’extrême droite, avaient appelé à un retour des colons juifs dans la bande de Gaza à la fin du conflit armé.
Les deux ministres, également chefs de partis d’extrême droite, avaient appelé à un retour des colons juifs dans la bande de Gaza à la fin du conflit armé.
2023
L'armée israélienne a annoncé vendredi que des soldats opérant dans la bande de Gaza ont tué trois otages israéliens "identifiés par erreur" comme une "menace".
La montée des violences en Cisjordanie occupée inquiète le gouvernement allemand, assure “Die Welt”. L’Allemagne appelle désormais à suivre l’exemple de Washington en mettant en place des mesures strictes à l’encontre des colons israéliens les plus extrémistes.
L'armée israélienne a intensifié mardi ses opérations contre des combattants du mouvement islamiste palestinien Hamas...
Depuis un mois et demi, l’ONG britannique travaille méthodiquement à l’identification des victimes civiles des frappes sur Gaza. Sur 60 «incidents» documentés pour l’heure, plus de 45 % des victimes sont des mineurs.