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bactérie
2025
Cette infection bactérienne très contagieuse peut s’attaquer aux voies respiratoires ou à la peau, avec des formes parfois mortelles. Une étude de l’institut Pasteur et Santé publique France révèle que les migrants et les SDF sont particulièrement touchés.
C’est une découverte à peine croyable mais terriblement réelle : une « superbactérie » fréquente dans les hôpitaux est capable de se nourrir du plastique utilisé dans les sutures, pansements et autres implants médicaux. Pire : en digérant ces matériaux, elle devient plus résistante aux antibiotiques. Une nouvelle arme dans l’arsenal d’un microbe déjà responsable de centaines de milliers de morts chaque année.
Als we ons afvalwater beter en goedkoper kunnen zuiveren, dan zijn we beter gewapend tegen droogte. Bacteriën en andere microben kunnen daar een belangrijke rol in spelen. Eos-redacteur Ilse Boeren bezocht een microbenlab in Gent en vertelt in deze podcastaflevering alles over de mogelijkheden aan collega Liesbeth Gijsel.
Bijna een derde van alle antibiotica die door mensen wordt ingenomen, komt uiteindelijk in onze rivieren terecht. Dat is schadelijk voor het waterleven, en het kan ook bacteriën resistenter maken, waarschuwen experts.
Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Nocives pour la santé et l’environnement, capables de charrier bactéries et produits toxiques, ces particules souvent invisibles à l’œil nu sont omniprésentes dans la Garonne, la Tamise ou le Tibre, dévoile ce lundi une étude inédite.
Des chercheurs travaillent sur le développement de "bactéries miroir", qui pourraient aider à traiter des maladies qui restent incurables jusqu'à présent. Celles-ci représentent toutefois un risque non-négligeable pour l'humanité.
Certains chercheurs explorent actuellement la possibilité de construire la vie en utilisant une structuration inverse à celle observée dans la nature – un phénomène appelé "vie miroir". Ces recherches ont pour but de développer des protéines miroirs et d'en tirer un potentiel thérapeutique. Un groupe de scientifiques alerte sur les risques potentiellement "dévastateurs" pour l'homme, les animaux et les écosystèmes si ces bactéries étaient créées et relâchées dans la nature. Éclairage.
Ces organismes hypothétiques pourraient-ils ravager le monde si les biologistes parvenaient à les créer ? Faut-il interdire absolument toute recherche en ce sens ? Un collectif de trente-huit scientifiques a appelé à un débat mondial dans le journal « Science ». Revue de détail d’un scénario apocalyptique.
2024
info rapide. En cette fin du premier quart de ce 21ième siècle, une annonce pas banale attire l’attention. Elle émane d’une quarantaine de scientifiques de pointe dans leur domaine. Et porte sur le risque de voir l’humanité capable – d’ici une dizaine d’années – de créer des bactéries dites « miroirs ».
Un groupe d'experts tire la sonnette d'alarme sur un potentiel risque mortel de ces "bactéries miroirs".
Une équipe de 38 scientifiques appelle à interrompre les recherches sur les bactéries miroir en raison des risques potentiels liés à ces organismes synthétiques.
Wetenschappers waarschuwen voor de grote risico’s van het creëren van spiegelbacteriën. Dat zijn hypothetische organismen die volledig zijn opgebouwd uit spiegelbeeldige biologische moleculen. In plaats van de normale moleculen die in alle bekende levensvormen voorkomen, zouden deze organismen bijvoorbeeld “rechtsdraaiende” eiwitten en “linksdraaiend” DNA bevatten.
Près de 40 scientifiques de renom ont cosigné un article, jeudi, dans la revue Science pour mettre en garde contre la création d’une “bactérie miroir”. Ils estiment que les “nouvelles formes de vie miroir” qui n’existent pas encore mais pourraient arriver d’ici une décennie, posent un risque important pour l’humanité. De quoi s’agit-il ?
Alors que l’humanité s’adapte à des défis majeurs tels que les pandémies, les crises climatiques et les progrès rapides de l’intelligence artificielle, une nouvelle menace pourrait surgir d’un domaine encore peu exploré : celui des « formes de vie miroir ». Un collectif de 40 scientifiques de renommée internationale alerte sur les risques posés par ces créations biologiques synthétiques.
Spiegelmicroben zijn kunstmatig vervaardigde bacteriën die spiegelbeelden zijn van natuurlijke microben. In de synthetische biologie wordt daar momenteel volop onderzoek naar gedaan, maar dat is allesbehalve zonder risico.
All known life is homochiral. DNA and RNA are made from “right-handed” nucleotides, and proteins are made from “left-handed” amino acids. Driven by curiosity and plausible applications, some researchers had begun work toward creating lifeforms composed entirely of mirror-image biological molecules. Such mirror organisms would constitute a radical departure from known life, and their creation warrants careful consideration. The capability to create mirror life is likely at least a decade away and would require large investments and major technical advances; we thus have an opportunity to consider and preempt risks before they are realized. Here, we draw on an in-depth analysis of current technical barriers, how they might be eroded by technological progress, and what we deem to be unprecedented and largely overlooked risks (1). We call for broader discussion among the global research community, policy-makers, research funders, industry, civil society, and the public to chart an appropriate path forward.
This report describes the technical feasibility of creating mirror bacteria and the potentially serious and wide-ranging risks that they could pose to humans, other animals, plants, and the environment. It accompanies the Science Policy Forum article titled “Confronting risks of mirror life”, published December 12, 2024.
Experts warn that mirror bacteria, constructed from mirror images of molecules found in nature, could put humans, animals and plants at risk of lethal infections
La qualité de l’eau potable est de nouveau en question dans plusieurs communes. Une contamination bactérienne a conduit à une interdiction de la consommation d’eau du robinet. Retour sur les faits et sur les mesures prises pour protéger les habitants.