Jean-Marc Jancovici

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2025

Tempête Boris, pluies torrentielles en Espagne… En 2024, l’Europe n’a pas été épargnée par les conséquences du changement climatique. Le bilan annuel du climat de l'organisme européen Copernicus et de l'Organisation météorologique mondiale montre les conséquences dramatiques de l'année la plus chaude jamais enregistrée.
Le rapport sur l’état du climat européen en 2024, publié conjointement par le Service Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale (OMM) ce mardi 15 avril, décrit un Vieux Continent scindé par les extrêmes climatiques.
Le rapport sur l’état du climat de l’Europe en 2024 montre un contraste entre les conséquences de la crise climatique à l’est et à l’ouest du continent, alors qu’il est celui qui se réchauffe le plus vite sur la planète.
Les températures de la Planète augmenteront pendant les prochaines décennies. Les catastrophes climatiques s’aggraveront au cours de cette période. A 2°C, il y aura beaucoup plus d’inondations et des vagues de chaleur plus fortes. Nous les subirons de plein fouet, probablement au cours des vingt prochaines années (James E.Hansen).
Le mois de mars n’a pas dérogé à la tendance : les températures mondiales sont restées exceptionnellement élevées, dans la continuité de près de deux ans de chaleur anormale, et atteignant des niveaux proches du pire scénario envisagé par les scientifiques sur le réchauffement climatique.
L’Europe, qui se réchauffe plus vite que le reste du monde, a connu son mois de mars le plus chaud jamais enregistré, s’accompagnant de précipitations extrêmes dans certaines régions tandis que d’autres se trouvaient dans la sécheresse.
Les températures mondiales se sont maintenues à des niveaux historiquement élevés en mars, poursuivant une série de près de deux ans de chaleur extraordinaire sur la planète, dans la fourchette haute des prévisions scientifiques sur le réchauffement climatique.
Quel impact aura le changement climatique sur le PIB ? Une nouvelle étude estime que les pertes seront bien plus importantes qu'estimées jusqu'à présent, atteignant 40% de PIB en moins en moyenne par habitant et par an d'ici la fin du siècle dans un scénario de réchauffement à +4°C.
Le climat se réchauffe. Il va continuer à le faire. Alors le gouvernement français a demandé aux acteurs du pays de réfléchir à la manière de « s’adapter » à une hausse de la température moyenne en France de 4°C par rapport à l’ère préindustrielle, ce qui correspond à une hausse planétaire de +3 °C environ.
Températures et précipitations moyennes, variabilité interannuelle, événements extrêmes et impacts climatiques… À quoi ressemblera la France avec un réchauffement de 4 °C (par rapport à la période préindustrielle) ? Il est indispensable de connaître précisément les évolutions climatiques futures pour s’adapter.
Records de chaleurs, de pluies, de sécheresses... Dans un rapport, Météo-France décrit le climat d’une France à +4 °C, soit la hausse des températures prévue pour 2100. Des canicules s’étendant de mi-mai à mi-septembre, et pouvant durer deux mois continus ; des épisodes de sécheresse durant des années ; une multiplication par dix des jours de vagues de chaleur et de nuits tropicales ; des montagnes privées de neige pendant la majorité de l’hiver…
En effet, alors que ces 3 dernières années ont été particulièrement frappantes en termes de sécheresses, d’incendies et d'inondations, les discours climatosceptiques semblent non seulement resurgir dans l’opinion publique mais aussi prendre une nouvelle forme. Et pour parler de ce sujet, j’ai le plaisir d’accueillir Valérie Masson Delmotte. Elle est climatologue, membre du Haut Conseil pour le Climat, et ex-présidente du premier groupe de travail du GIEC.
Cette semaine, le rédacteur en chef de Vert a lu pour vous les 341 pages du plan national d’adaptation au changement climatique, présenté par le gouvernement lundi. Un document qui oscille entre bonnes idées et grandes inconnues.
Jean-François Soussana, le président de l’instance consultative indépendante, estime, dans un entretien au « Monde », que le plan, présenté lundi 10 mars par le gouvernement, ne propose pas assez d’adaptations de grande ampleur et que les financements restent très insuffisants.
La France s'adapte ... Vivre à plus de 4° - La trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique anticipe à ce jour une hausse de la température moyenne dans l’Hexagone qui atteindra +4 °C à la fin du siècle.
Le gouvernement présente lundi la version finale du plan national d’adaptation au changement climatique, qui vise à préparer les secteurs économique et social. Le littoral, la montagne, les secteurs agricole et forestier sont en première ligne.
Publiée avec plus d'un an de retard, la version finalisée du nouveau plan national d'adaptation au changement climatique, le PNACC 3, a été présentée ce lundi 10 mars. Il vise à s'adapter à un monde à +4°C.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut : après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l’hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète.
Depuis 2019, la France métropolitaine connaît une série d’hivers nettement plus doux que la normale, annonce ce jeudi 6 mars Météo France. Cette année, il a été plus chaud de 0,6°C, avec une grosse différence entre le Nord et le Sud.