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Globale
2025
Lundi, plusieurs médias américains avaient rapporté qu’Amazon allait entamer mardi ce mouvement d’ampleur, évoquant un total de 30 000 postes touchés sur plusieurs mois à travers le monde.
La « socialisation » de la production d’énergie est nécessaire pour démocratiser l’économie et réduire les inégalités, estime le chercheur Lucas Chancel dans un nouvel essai d’histoire globale de l’énergie.
Pour appréhender l’ampleur de la destruction du climat, le chercheur Gaspard Lemaire plaide pour l’utilisation du concept d’« atrocité climatique ». Un terme qui permettrait de mieux pointer les responsabilités des États.
Pourquoi l’histoire de l’énergie est-elle intimement liée à celle des inégalités sociales ? Comment penser les débats sur la transition énergétique à l’aune des conflits de répartition des richesses ? Depuis des millénaires, l’usage de l’énergie façonne les sociétés humaines, structurant leurs hiérarchies et leurs rapports de pouvoir. Sa maîtrise est un vecteur d’émancipation autant qu’elle est un outil de domination. La propriété des ressources et des infrastructures énergétiques est un terrain de luttes sociales, politiques et géostratégiques. Selon qui possède l’énergie, des choix de société radicalement différents peuvent advenir. Mais comment le lien entre énergie et inégalités s’est-il construit depuis la Préhistoire ?
Est-ce déjà la fin de l'hydrogène dans le secteur automobile ? Stellantis vient de sabrer son programme d'utilitaires tandis que Renault a mis en liquidation début 2025 son usine d'utilitaires à hydrogène. Si certains constructeurs comme Toyota, continuent d'y croire, l'hydrogène vacille.
Malgré le ralentissement des émissions globales de gaz à effet de serre (GES), les voyants du climat restent dans le rouge, nous rappelle le rapport Indicators of Global Climate Change 2024 récemment publié. Ce rapport permet également d’identifier trois leviers d’action à mettre en œuvre pour stabiliser le stock atmosphérique de GES à l’origine du réchauffement global.
Christophe Cassou, climatologue et auteur du GIEC dans le groupe 1, est invité sur le plateau de franceinfo suite à une étude qu'il a sorti et pour parler des vagues de chaleur actuelles. Il y explique l'évolution des températures globales et leurs conséquences. Ça fout les boules, mais qu'est-ce que ça motive.
Cela fait bien longtemps que notre équipe n’avait plus émis d’alerte de ce niveau. Mais de nombreuses tendances de crise atteignent actuellement des points d’inflexion susceptibles de se renforcer en réaction en chaîne jusqu’à un choc systémique global à l’automne. Ce choc prendra notamment la forme d’une vaste crise des bons souverains, déclenchée par le Japon, qui accélèrera toutes les dynamiques de transformation du système monétaire et financier. Aussi émettons-nous en direction de nos lecteurs un avis d’ouragan qui sera assorti de recommandations de bon sens. Notre démonstration suivra la chronologie de l’enquête que nous avons menée.
Face à l’emballement simultané des crises écologiques, économiques, sociales, politiques et existentielles, nos sociétés semblent piégées dans une fuite en avant. Loin de simples dysfonctionnements, c’est un effondrement structurel qui se profile : celui des équilibres vitaux de notre biosphère, mais aussi de nos représentations collectives, de nos institutions démocratiques et de notre capacité à percevoir le réel. Dans cet article, Jacques de Gerlache explore les racines systémiques de cette crise de civilisation, et pointe notamment l’une de ses carences majeures : l’absence, au sein des mouvements socio-politiques constructifs du XXe siècle, d’une métaphysique émotionnelle et spirituelle capable de nourrir des récits mobilisateurs, porteurs d’espoir, d’incarnation et de plaisir partagé à construire ensemble.
L’accord sur les pandémies signé en mai 2025 par les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est présenté comme un succès historique du multilatéralisme. Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.



