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2025
En Arctique, un territoire qui se réchauffe quatre fois plus vite que n'importe quelle autre région de la planète, les glaces fondent à vue d'œil, ouvrant de nouvelles routes maritimes et allongeant les périodes de navigation. Une perspective perçue par certains pays comme une grande opportunité économique mais qui risque d'aggraver encore plus la crise climatique.
La Conférence des Nations unies sur l’océan, qui se tient à Nice du 9 au 13 juin, va confier à une structure intergouvernementale une gigantesque boîte à outils destinée à mieux prévoir les impacts du changement climatique.
L’économie mondiale semble effectuer une transition du pétrole et du gaz-méthane vers l’électricité. A terme, les pétro-Etats pourraient se muter en électro-Etats pour deux raisons majeures. Les piètres performances énergétiques des moteurs thermiques, notamment pour les transports, ainsi que les limites géologiques des hydrocarbures ne pourront pas garantir la croissance économique dans les années à venir. De plus, une solide puissance armée sera un prérequis pour se réserver un accès direct au pétrole ou au méthane. La sortie du pétrole poussera les autres pays vers l'électrique. On peut comprendre l'empressement de l'Europe de rajouter des muscles pour ne pas rester sur le carreau.
La mission gouvernementale d'Elon Musk à peine terminée, les insultes et les révélations fusent entre le patron de Tesla et le président américain.
A deux reprises depuis fin 2024, des coupures géantes ont plongé dans le noir ce territoire américain des Caraïbes en proie à une grave crise énergétique causée par des décennies de sous-investissements et les ravages de l’ouragan Maria en 2017.
La première Conférence Internationale sur les Glaciers s'est déroulée ce weekend au Tadjikistan, alors que 2025 a été déclarée année internationale de la préservation des glaciers par les Nations Unies. Récit, avec le glaciologue belge Denis Samyn.
Durant plus d’un mois, en 2024, le physicien Stéphane Perrard a arpenté la banquise dans l’estuaire du Saint-Laurent, au Québec. Son but : mieux comprendre la fracturation de la glace sous l’effet des vagues, alors que le réchauffement climatique n’a de cesse de la fragiliser.
Tuvalu, Fidji, Maldives, Bahamas… ces pays sont plus que jamais menacés par la hausse du niveau des mers. À quelques jours de la conférence mondiale sur l’océan (Unoc), ils appellent les dirigeants du monde entier à mettre les questions liées à l’océan au centre de leurs politiques climatiques.
Cymene Howe et Dominic Boyer, de l’Université Rice, viennent de publier un commentaire dans Science qui ouvre un peu plus les yeux sur un sujet que l’on aimerait garder bien au frais : le coût humain de l’effondrement de nos glaciers. Spoiler alert : ce n'est pas pas un spin off des "Marcheurs Blancs" Game Of Thrones.
Under existing climate policies, global temperatures are projected to reach 2.7 degrees Celsius (4.9F) above pre-industrial levels by 2100—a pathway that would ultimately erase 76% of current glacier mass over the coming centuries. But if warming is held to the Paris Agreement's 1.5C target, 54% of glacial mass could be preserved, according to the study, which combined outputs from eight glacier models to simulate ice loss across a range of future climate scenarios.