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2025
Les pays du monde entier se trouvent à un moment critique de la bataille contre la pollution plastique. Alors que les négociations autour d’un traité mondial sur les matières plastiques touchent à leur fin, l’OCDE présente, dans ce rapport, les résultats d’un exercice de modélisation de scénarios d’action fondés sur différents types d’intervention : limiter la production et la demande, promouvoir l’écoconception, augmenter le recyclage et fermer les voies de rejet. Ce rapport éclaire sur les avantages environnementaux et les conséquences économiques qui pourraient découler des actions engagées pour mettre fin à la pollution par les plastiques d’ici à 2040, selon différents niveaux d’ambition : quels pays agissent, le caractère rigoureux des mesures et les phases du cycle de vie des plastiques auxquelles elles s'appliquent.
La crise humanitaire y « a atteint un tournant alarmant et mortel », souligne ce rapport, fruit du travail d’organisations non gouvernementales, d’institutions régionales et d’agences de l’ONU spécialisées.
Les besoins en investissements pour la transition sont énormes, chiffrés dans le plan fédéral énergie-climat de 2023 à environ 60 milliards dans l’énergie et l’isolation des bâtiments, et 22 à 27 milliards pour la mobilité décarbonée d’ici 2030. Une grande partie de ces investissements nécessaires devrait être publique, y compris au niveau fédéral. Pourtant, l’accord Arizona se distingue par l’absence de nouveaux investissements publics dans ces domaines. Pire, il acte des coupes budgétaires importantes dans des secteurs vitaux.
Les modèles climatiques utilisés par le GIEC, même les plus avancés tels CMIP6, intègrent les puits de carbone, mais le font de manière très incomplète et largement idéalisée. Ces modèles incluent des composantes biogéochimiques du sol et océaniques qui simulent le cycle du carbone dans les océans à travers des processus tels que la photosynthèse du phytoplancton, la respiration, la reminéralisation, la sédimentation, et la circulation océanique profonde.
Recent simulations using the Community Earth System Model (CESM) indicate that a tipping event of the Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC) would cause Europe to cool by several degrees. This AMOC tipping event was found under constant pre-industrial greenhouse gas forcing, while global warming likely limits this AMOC-induced cooling response. Here, we quantify the European temperature responses under different AMOC regimes and climate change scenarios. A strongly reduced AMOC state and intermediate global warming (C, Representative Concentration Pathway 4.5) has a profound cooling effect on Northwestern Europe with more intense cold extremes. The largest temperature responses are found during the winter months and these responses are strongly influenced by the North Atlantic sea-ice extent. Enhanced North Atlantic storm track activity under an AMOC collapse results in substantially larger day-to-day temperature fluctuations. We conclude that the (far) future European temperatures are dependent o
«Un scénario de mort» pour la science : le budget de la Nasa risque de chuter de près de 25% en 2026
- Camille Gévaudan
Avec un tiers des effectifs menacés et quarante missions annulées, le projet de budget de l’agence spatiale américaine que souhaite imposer l’administration Trump est une purge, dont les conséquences pour la recherche scientifique et l’exploration spatiale pourraient être durables.
L’intelligence artificielle (IA) révolutionne déjà notre quotidien, de la médecine à l’industrie, mais son impact dans le domaine militaire est en train de franchir un cap inédit. Une équipe chinoise dirigée par le professeur Fu Yanfang, de l’Université technologique de Xi’an, a mis au point un système d’IA capable de générer automatiquement des milliers de scénarios de combat simulés, réduisant drastiquement le temps nécessaire à la planification militaire. Cette innovation, incarnée par le modèle de langage étendu appelé DeepSeek, pourrait transformer les stratégies de guerre et bouleverser l’équilibre mondial.
C’est l’histoire d’une guerre qui défie le temps, les traités… et les marchés. Alors que le conflit russo-ukrainien s’enlise et que les perspectives de négociations paraissent de plus en plus incertaines, les experts de JPMorgan Chase, première holding bancaire américaine, dressent une cartographie des issues possibles. Derrière les scénarios dits géorgien, sud-coréen, israélien ou biélorusse, une même ligne de fracture : entre concessions politiques et garanties de sécurité, quelle paix peut encore émerger d’un champ de ruines ? À la clef, pour les marchés et les investisseurs, un enjeu stratégique majeur : évaluer les risques systémiques d’une guerre qui redessine l’ordre mondial et ses équilibres économiques.
Les pluies extrêmes en Belgique deviendront plus intenses et plus fréquentes d'ici 2100, avec des pics journaliers pouvant dépasser 100 mm tous les 20 ans dans certaines zones, selon une étude de l'ULiège et de l'Institut Royal Météorologique (IRM) publiée jeudi.
Have you ever thought about what would happen if all life in the ocean disappeared? A recent study explores this extreme scenario to understand how ocean biology shapes the past, present, and future climate. The ocean plays a critical role in regulating Earth's climate. It is a massive carbon store that absorbs about 25% of human-caused emissions and thus helps maintain a relatively low CO2 level in the atmosphere. But what would happen if all marine life—from the tiniest plankton to the largest whales—disappeared? A recent study delves into this extreme scenario to uncover the crucial role that ocean biology plays in mitigating climate change.