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2025
Une étude récemment publiée par la Columbia Climate School révèle une réalité inquiétante : toutes les grandes villes des États-Unis, qu’elles se trouvent sur la côte ou à l’intérieur des terres, sont en train littéralement de s’enfoncer.
Et si, demain, une guerre nucléaire plongeait la planète dans l’obscurité, refroidissant brutalement le climat et provoquant une crise alimentaire mondiale ? Face à ce scénario d’hiver nucléaire de plus en plus plausible, des chercheurs néo-zélandais ont tenté de répondre à une question cruciale : comment nourrir durablement les habitants d’une ville moyenne dans un monde post-apocalyptique ? Leur réponse, aussi pragmatique qu’inattendue, repose sur une poignée de cultures résistantes… et une revalorisation massive des espaces verts urbains.
Une étude publiée mercredi 21 mai, ausculte le phénomène de surchauffe urbaine. Plus de cinq millions de Français sont particulièrement exposés, dont 1,7 million à Paris.
Dammam, en Arabie saoudite, Al-Jahra et Hawally, au Koweït, Bassorah, en Irak, et Ahvaz, en Iran, figurent parmi les villes les plus fréquemment couronnées. Leurs records ? Des températures de 50, 52, parfois 53 °C mesurées à l’ombre— et même 38,8 °C la nuit à Bassorah en 2016, un record mondial pour une température nocturne. Ces villes battent régulièrement des sommets de chaleur que l’on croyait autrefois réservés à des zones inhabitées comme la Vallée de la Mort, en Californie.
Un immense gâchis. Des millions de logements pourraient être chauffés grâce à la chaleur des centres de données gigantesques qui se multiplient. Mais faute de volonté politique, tout reste à faire.
Selon une étude sur la qualité de l'air publiée mardi 11 mars par l'entreprise suisse IQAir, avec le soutien de Greenpeace, seulement 17% des villes étudiées dans 138 pays avaient en 2024 un air qui respectait les recommandations de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) en termes de particules fines (PM2,5). C'est mieux que les 9% de 2023, mais un air pur reste une denrée rare.
L’entreprise suisse IQAir a publié ce mardi 11 mars un rapport sur la qualité de l’air dans le monde, qui révèle que 17 % seulement des centres urbains respectent les recommandations de l’OMS sur les concentrations de particules fines.
Une nouvelle étude dresse le classement des villes les plus polluées. Toutes sauf une se trouvent sur le continent asiatique.
Les seuils de pollution de l’air préconisés par l’OMS sont dépassés dans la quasi-totalité des pays, dont la France, d’après une étude d’IQAir. Seuls 12 territoires sur 138 évalués ne dépassent pas les normes de particules fines.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.