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2025

Destiné à analyser la production, la réception et les usages des expertises et des argumentaires dans les procès climatiques, cet ouvrage est le résultat de travaux de recherche conduits dans le cadre du projet de recherche ANR PROCLIMEX dont l’un des objectifs est de mettre en lumière les stratégies judiciaires. L’ouvrage rassemble des chercheurs, des avocats, des juristes d’ONG qui étudient l’expertise sous l’angle du droit. Et afin de rendre compte de la finesse des jeux d’acteurs et des co-productions de savoirs complexes hors et dans le procès, des sociologues des sciences ou des usages militants du droit, ethnographes des mobilisations environnementales, politistes et climatologues éclairent les processus de construction de preuves (respect des trajectoires et objectifs climatiques), les discours et récits socio-juridiques à l’œuvre, les tentatives d’objectivation (comptabilité carbone). Déterminante pour l’issue du procès, la production des expertises soulève des questions fondamentales notamment liées

2024

Lassé·es d’alerter en vain sur la catastrophe écologique et sociale en cours, les scientifiques passent à l’action : marches, conférences sauvages, désobéissance civile non violente… jusqu’à finir en prison parfois. Face à la gravité de la situation, la « neutralité » scientifique vole en éclats. Il est de la responsabilité des chercheuses et des chercheurs de s’engager pour que le fruit de leurs travaux contribue à changer les politiques et les imaginaires.
Nos émissions de gaz à effet de serre ne faiblissent pas, au contraire. Les températures planétaires augmentent inexorablement. On nous annonce que la France doit se préparer à + 4° d'ici la fin du siècle : notre organisation sociale, notre modèle économique et nos modes de vie vont être bouleversés. Nous « adapter » va devenir une nécessité. Mais à quoi, comment, et jusqu'où ?
A en croire les milliardaires de la Silicon Valley, notre destin passe inéluctablement par les métavers, l'intelligence artificielle, les robots autonomes et la conquête de l'espace, tandis que les énergies renouvelables et les voitures électriques nous permettraient de garder notre niveau de vie tout en poursuivant la croissance économique et en sauvant la planète au passage.
Sur la planète Terre, une rivière vivante s’entoure de milieux humides qui protègent la vie. Pourtant, nous lui avons pris ces milieux pour déployer nos villes et nos agricultures industrielles. Corsetées, drainées, bétonnées, les rivières ne peuvent plus nous préserver d’un climat déréglé. Face au péril, il est temps de rendre l’eau à la terre, pour abreuver les déserts que l’extractivisme nous laisse en héritage. Comment ramener l’eau à la vie ?
Pour réagir de façon appropriée à la crise écologique actuelle, il faut comprendre ce qui en est à l’origine. Quelles sont les causes de la sixième extinction de masse dans laquelle nous sommes entrés ? Le réchauffement climatique est-il vraiment l’unique coupable ?
À l’heure où les déplacements contrariés (guerres, épidémies), les réalités économiques et les désastres environnementaux nous obligent à reconsidérer nos manières de voyager, Aude Vidal pointe notre grande ambivalence à ce sujet et les dégâts écologiques, culturels et sociaux que nous causons, à l’étranger comme en France, quand nous satisfaisons notre "besoin d’ailleurs". Si penser le tourisme et le voyage modernes, c’est penser une "économie du surplus" qui privilégie les désirs des uns aux dépens des besoins des autres, c’est aussi s’attaquer aux inégalités qui minent nos sociétés et à celles qui continuent de croître entre les sociétés.
In haar boek 'Laten we eerlijk zijn' is Anuna De Wever Van der Heyden tegelijkertijd radicaal, mild en zelfkritisch.
Du Big Bang à nos jours, notre Terre n’a cessé de se transformer sous les effets des mouvements tectoniques, des variations climatiques, de l’activité du Soleil ou encore des éruptions volcaniques. Comment ces changements ont-ils affecté l’histoire humaine ? Comment notre espèce s’est-elle adaptée à un environnement profondément modifié par les glaciations ou les périodes de réchauffement ?
Jean-Philippe Pierron, Je est un nous. Enquête philosophique sur nos interdépendances avec le vivant, Actes Sud, coll. « Mondes sauvages », février 2021, 176 pages.
Du changement climatique au terrorisme, la carte des risques a subi, en quelques décennies, une série de reconfigurations majeures, et l’on ne compte plus les discours qui alertent contre des menaces globales. En suivant les dynamiques à l’oeuvre dans les dossiers sanitaires, environnementaux et technologiques, cet ouvrage esquisse un modèle de transformation qui rompt avec le catastrophisme au profit de trois dimensions fondamentales de l’action et du jugement : la portée critique des modèles d’évaluation et de régulation ; la fabrique des scénarios et des visions du futur ; la créativité des milieux en interactions...
La démocratie, telle qu’elle fonctionne aujourd’hui, est le principal obstacle à la nécessaire transition écologique .. La démocratie du productivisme est celle du marché libre s’opposant à l’écologie à la fois par l’abondance des modèles de consommation et par divers obstacles culturels, sociaux, politiques, économiques, démographiques ou technologiques. Si les milliers d’expérimentations de l’Économie sociale et solidaire, ainsi que les politiques de préservation sont des plus utiles, elles n’agissent pas à la source sur les fondements du productivisme, sur les questions transversales de l’emploi industriel ou de l’urbanisation, ni sur les transports longue distance ou sur la préservation de la protection sociale...
Artisans d’un devenir technologique qui façonne nos existences et structure nos sociétés, les ingénieurs sont aujourd’hui de plus en plus nombreux à ressentir de la dissonance cognitive. Quelque chose en eux sait que leur travail creuse le sillon de trajectoires insoutenables pour nos vies et pour la Terre. Pourquoi alors n’y a-t-il pas plus d’ingénieurs qui désertent ? C’est la question que je me propose d’élucider dans ce livre, en me plaçant dans une perspective résolument politique
Pour Moscou, la politique climatique apparaît comme un moyen au service d’un objectif supérieur : l’intérêt national
Les fonds marins internationaux1 et leurs ressources minières font partie du Patrimoine Commun de l’Humanité (PCH), selon la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM) de 1982. Si l’idée juridique d’un res communis n’est pas vraiment une innovation de la modernité, sa mise en forme dans le cadre des négociations multilatérales au sein des Nations Unies (1973-1982) apporte des nouveautés importantes