Les Soulèvements de la Terre

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Climat médias
Éric Guilyardi est océanographe et climatologue, spécialiste de modélisation climatique. Il s’intéresse tout particulièrement au phénomène climatique El Niño. Il a été auteur principal du 5e rapport du GIEC et a contribué au 6e. Il anime également une réflexion sur l’éthique de l’engagement public des scientifiques. Ce grand entretien, mené par Benoît Tonson, est l’occasion de mieux comprendre les liens entre l’océan et le climat et de réfléchir à la place du scientifique dans les médias et plus généralement dans la société, au moment où se tient la troisième Conférence des Nations unies sur l’océan (Unoc 3) à Nice.
Des sénateur·ices viennent d’annoncer la création d’un groupe transpartisan pour améliorer le traitement de l’écologie dans les médias. Une initiative chapeautée par l’association Quota Climat, déjà engagée sur ce sujet à l’Assemblée nationale. On vous explique.
Trois ONG ont détecté 128 cas de désinformation climatique en seulement 3 mois d’analyse.
La désinformation climatique se "normalise" dans les médias français, selon un rapport publié par un consortium d'ONG spécialisées. Sud Radio et CNews représentent à eux seuls la moitié des cas de désinformation identifiés.
De janvier à mars, trois ONG environnementales ont passé au peigne fin les contenus des 18 principales chaînes de télévision et radios françaises. Selon les premiers résultats, publiés ce jeudi 10 avril, 128 cas de désinformation climatique ont été recensés, soit une dizaine de cas par semaine.
Après avoir passé au crible les programmes d’information des dix-huit principales chaînes de télévision et de radio au premier trimestre, des associations ont recensé 128 cas de désinformation sur le climat.
Dans cette nouvelle ère politique où la confusion et l’extrême droite marquent des points, le climat n’est plus seulement une affaire de polémiques : il devient un objet de bataille culturelle. Aux États-Unis, Donald Trump a fait de l’écologie une ennemie, une menace pour l’économie, le bouc émissaire parfait pour justifier sa politique de dérégulation totale. Mais en Europe aussi, l’écologie est de plus en plus décrite comme uniquement « idéologique », et « punitive» ; la droite et l’extrême droite du Parlement européen s’échinent à démanteler les politiques pour le climat ; et les scientifiques spécialistes du climat ou de la biodiversité sont attaqués pour leurs études. Comment et par qui ce grand déni est-il organisé ? Comment se protéger contre cette grande désinformation sur le climat et la biodiversité ?
La fin de la pensée critique et l’effondrement de la civilisation. À une époque où la logique et l’esprit critique sont plus importants que jamais, la société évolue dans la direction opposée – vers la désinformation, le mysticisme et les régimes autoritaires. Le monde est plongé dans un état permanent de polycrise : instabilité économique, effondrement écologique, tensions géopolitiques et fracture sociétale. Au lieu d’affronter ces crises avec logique et des solutions fondées sur des preuves, de vastes pans de la population se replient sur la superstition et l’autoritarisme.
Le 21 juin dernier, à l’occasion du "Show Your Stripes Day", vous avez certainement vu de nombreuses images de "bandes climatiques" rouges et bleues tourner sur vos réseaux sociaux. Chaque "stripe", chaque bande, représente une année en termes de température moyenne (bleu pour les plus froides, rouges pour les plus chaudes). C’était d’ailleurs tout le propos de notre article dédié à la "météo dans votre commune le jour de votre naissance", vous pouviez y encoder votre code postal et votre date de naissance afin de vous situer par rapport à la réalité du dérèglement climatique global.
A travers le monde, un flash info sur le climat va être diffusé ce jeudi.
Découvrez le Sommet Climate Chance Europe 2024 à Liège, un événement clé sur la résilience climatique et les solutions basées sur la nature.
Face aux dérèglements climatiques et à l’effondrement de la biodiversité, le futur apparait anxiogène tandis que le présent nous réconforte par son apparente stabilité. Il devient alors primordial de trouver de nouvelles méthodes pour communiquer sur l’urgence climatique et la nécessité du changement de comportement, tout en rassurant sur l’espoir et la capacité que nous pouvons, ensemble, construire un avenir meilleur. Quelle est la bonne façon de communiquer ? Quel message souhaitons-nous transmettre ? Qu’attend-on de nos sociétés ?
Un guide sur l’attribution pour les journalistes - traduction
Depuis 2022, Quota Climat fait un travail de veille autour du traitement médiatique des questions écologiques. Sur Twitter, notamment, le collectif épingle tantôt des JT pour des biais éditoriaux ou iconographiques contribuant à désinformer leurs publics, tantôt un entretien du JDD déroulant le tapis rouge au greenwashing de TotalEnergies, tantôt la publicité du Figaro pour un ouvrage climatosceptique, etc. Le 1er juin, nous avons échangé avec l’une de ses co-fondatrices et porte-parole, Eva Morel.
Selon Jean-Marc Jancovici, les sujets climatiques les plus importants sont mal traités par les médias.
La crise climatique s’accélère et la question de la transition s’invite dans les médias. Ces derniers l’ont bien compris mais ne sont néanmoins pas épargnés par la critique : trop peu présents ou, au contraire, trop militants. Alors, comment (bien) parler des changements climatiques et de leurs conséquences ? En Belgique, plusieurs académiques ont appelé les médias « à mener en leur sein une réflexion radicale et globale sur la manière d’aborder les enjeux et questions relatives au climat et à la biodiversité ». Un message (en partie) entendu dans les rédactions, notamment au Soir. Un pôle Planète avec sept journalistes a été créé pour traiter l’environnement, la mobilité ou l’énergie de manière globale. Mais les écoles de journalisme ne sont pas en reste et s’interrogent sur l’opportunité de modifier leurs programmes de cours pour y faire une meilleure place aux questions climatiques, environnementales et aux enjeux de la transition. Au-delà des écoles de journalisme, si les universités francophones sont à d
Des scientifiques sont confrontés à une déferlante d'insultes voire de menaces sur Twitter. Des scientifiques confrontés à une déferlante d'insultes, voire de menaces, sur Twitter quittent désormais le réseau social, où le négationnisme climatique a bondi depuis sa prise de contrôle par Elon Musk. Peter Gleick, un spécialiste du climat et de l'eau suivi par près de 99 000 personnes sur Twitter, a annoncé le 21 mai qu'il ne publierait plus de messages sur la plateforme, l'accusant d'amplifier le racisme et le sexisme.
Les questions de durabilité et de transition sont de plus en plus présentes dans les médias. Dans les rédactions et les écoles de journalisme, la manière d’appréhender ces thématiques est en pleine évolution. Et c’est également le cas au « Soir », où s’installe un pôle « Planète »
Les quatorze écoles de journalisme reconnues par la profession ont signé la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence climatique. Et amorcé une mue pédagogique. Reconnue pour sa filière journalisme scientifique et son master pro « Climat et Médias », l'ESJ Lille a aussi musclé son programme pour la filière généraliste. Reportage.
Face à l'urgence climatique, les médias jouent-ils pleinement leur rôle ? Une équipe de chercheurs de l’université de Lausanne a passé au crible les publications médiatiques traitant du réchauffement climatique en 2020. Conclusion : s’ils alertent sur les périls climatiques, les médias échouent à mobiliser le public en faveur de la planète. France 24 s’est entretenu avec Marie-Élodie Perga, l’une des cinq scientifiques à l’origine de l’étude.


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