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Sécheresse
La crise climatique menace notre droit à la vie, a alerté lundi le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, au moment où un intense phénomène de canicule se poursuit dans le sud de l'Europe. "La hausse des températures, l'élévation du niveau de la mer, les inondations, les sécheresses et les incendies de forêt menacent nos droits à la vie, à la santé, à un environnement propre, sain et durable, et bien plus encore", a déclaré Volker Türk, lors d'une discussion sur le changement climatique devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève.
Dans une note publiée le 25 juin, le Haut-commissariat au plan appelle à changer drastiquement nos usages de l'eau pour faire face au risque de sécheresse et à la crise climatique. Seule une transition vers la sobriété pourra protéger la France, selon le rapport.
Le manque d’eau assèche les sols et les rivières en France, et les réserves souterraines sont inégales. Les arrêtés incitant à économiser la ressource se multiplient.
Depuis le début du mois de juin, les arrêtés de restriction d’usage de l’eau liés à la sécheresse se multiplient. Alors que l’année 2024 avait été marquée par une légère accalmie, la trajectoire du nombre de restrictions prises par les préfectures en 2025 se rapproche de celles des années 2022 et 2023, sensiblement plus sèches.
Cinq mois après des inondations exceptionnelles et des crues records, le département breton affiche un déficit pluviométrique important, atteignant près de 70 % près du littoral.
Cyclones, sécheresse, montée du niveau de la mer ou encore disparition de la biodiversité… Les territoires d’Outre-mer souffrent tout particulièrement des impacts du changement climatique. Des conséquences encore peu documentées sur lesquelles le Réseau Action Climat fait la lumière dans une nouvelle étude.
Dans son bulletin mensuel, publié ce mercredi 11 juin, l’observatoire européen Copernicus avertit qu’une partie du Vieux Continent connaît des conditions particulièrement arides et que les rivières sont au plus bas pour la saison.
Le Réseau Action Climat alerte ce mardi 3 juin sur la grande vulnérabilité des territoires ultramarins français, précarisés, face à la hausse des températures et à leurs cortèges de phénomènes extrêmes.
En 2024, l'Europe a été frappée de plein fouet et ce n'est que le début… D'après le dernier rapport du service Copernicus (qui est un programme européen d’observation de la Terre) et de l'agence météorologique mondiale et bien.. l'Europe est le continent qui s'emballe le plus vite sur la planète. Et vous savez quoi ? Ce n'est pas un accident, c'est la triste réalité d'un système qui se réchauffe à une vitesse effrayante.
Du Royaume-Uni à l’Allemagne et des Hauts-de-France à la Suède, une large part du Vieux Continent traverse son printemps le plus sec depuis parfois plus de cent ans. Une situation qui menace les rendements agricoles et impose des restrictions d’usages.
Le manque d’eau et les températures anormalement chaudes inquiètent notamment les agriculteurs, dont les semis de printemps peinent à pousser.
La saison 2024-2025 a été une année record pour l’avocat marocain, qui a connu une croissance fulgurante au cours des dix dernières années. Un succès controversé dans un pays frappé par la sécheresse et le réchauffement climatique.
Des zones du nord et du centre de la Chine suffoquaient cette semaine sous des chaleurs record pour un mois de mai, a rapporté mardi un média d'État, le pays se préparant à un nouvel été de fortes températures. La Chine subit depuis plusieurs étés une série d'événements météorologiques extrêmes, des canicules aux sécheresses en passant par des pluies diluviennes et des inondations.
Alors que la facture climatique s’alourdit, le climatologue Jean Jouzel et Bertrand Delignon, de la Macif, redoutent l’explosion des sécheresses en France ainsi que la submersion du littoral.
La préfecture du Nord appelle ce lundi 19 mai l’ensemble des habitants «à diminuer leurs consommations d’eau potable ainsi que leurs prélèvements dans le milieu naturel».
Le printemps n'est pas encore fini, mais avec des niveaux de précipitations historiquement bas ces derniers mois, les cartes qui présentent le risque de sécheresse sont au rouge vif sur une bonne partie du territoire belge. Risque-t-on un épisode de sécheresse comme celui de l’année 1976, qui hante toujours les paysans belges ? Arnaud Ruyssen a posé la question à Aurore Degré, hydrologue à Gembloux Agro-Bio Tech et Pascal Mormal, météorologue à l'IRM dans le podcast "Les Clés".
Une femme et un homme se sont retrouvés piégés par les flammes dans leur maison, selon la police locale, alors que la sécheresse aggrave la situation dans la région.
Les pompiers de Bruxelles appellent à la prudence face aux risques d'incendie, alors que la sécheresse s'installe dans le pays. "L'Institut royal météorologique (IRM) n'a jamais enregistré aussi peu de précipitations depuis le 1er mars, et ce en 132 ans", a relevé le professeur Patrick Willems, ingénieur hydraulique à la KU Leuven. Le nord et l'ouest du pays sont les plus touchés.
Le soleil encore très généreux ce dimanche, comme il l’a été pendant la majeure partie des vacances scolaires qui s’achèvent. Il fait d’ailleurs exceptionnellement sec en cette période de l’année. On peut même parler d’un printemps record.
Pesticides, sécheresses, agriculture intensive… Alors que de nombreuses sources sont mises à mal par les activités humaines, des sites de captage sont contaminés. En première ligne, ceux exploités par Nestlé, accusé de fraude dans ses sites du Gard et des Vosges.